Conçues par l'architecte Minoru Yamasaki et inaugurées le 4 avril 1973, les 2 tours jumelles du World Trade Center à Manhattan New York ont été détruites par 2 avions détournés le 11 septembre 2001. Pour les Américains, cela a eu un retentissement extraordinaire car c'était la première fois que le "sanctuaire américain", c'est-à-dire le pays tout entier, était le centre d'une attaque.
Le 11e anniversaire de la destruction des tours jumelles du World Trade Center revendiquées par des terroristes musulmans ayant jeté l'opprobre sur l'ensemble des communautés musulmanes dans le monde, rappelle également que ces 11 dernières années, la France a été préservée des attaques terroristes.
Certes, il y a eu l'explosion d'un hangar de l'usine chimique AZF à Toulouse le 21 septembre 2001, appartenant une filiale d'Atofina née de la fusion en 2000 de Total et d'Elf-Aquitaine mais il n'a jamais été prouvé qu'il s'agissait d'une action terroriste. Il y a également eu les actes terroristes dans la tragique affaire Merah, et cela reste des actes isolés. Pour condamnable qu'il soit, il faut reconnaître que la France n'a pas payé un lourd tribut en nombre de vies et de blessés sur les 11 années écoulées dû au terrorisme.
C'est vrai que Jacques Chirac et son Ministre des Affaires Etrangères, Dominique de Villepin, avaient décidé de ne pas participer à la dernière guerre en Irak et que la France a eu traditionnellement une politique étrangère équilibrée vis-à-vis du Proche-Orient et des conflits qui s'y déroulent.
En revanche, depuis le Printemps Arabe, la politique étrangère française est peu lisible car il demeure des interrogations sur l'intérêt qu'il y avait à intervenir en Libye et sur la politique future de la France en Syrie.
L'Histoire est tragique : le XXIe siècle a commencé le 11 septembre 2001 par l'attentat contre les Tours du World Trade Center visant les symboles de l'Amérique, le XXe siècle a débuté avec la déclaration de guerre en 1914 et le XIXe siècle a commencé par la décapitation de Louis XVI.
La fin du terrorisme passe par l'identification et une répression sans faille des terroristes avec une coopération internationale.
Cela passe aussi par des concessions de l'Etat d'Israël pour que les Palestiniens aient un avenir en Palestine. Car il existe une dernière menace non négligeable : le risque d'une frappe militaire israélienne en Iran qui enflammerait toute la région. Si cela devait se produire, les conséquences mondiales seraient beaucoup plus dramatiques que le 11 septembre.
Et dans ce cas, le 11 septembre resterait une simple date de l'imaginaire collectif car toute personne adulte ou adolescente en France et plus encore aux Etats-Unis d'Amérique se souvient où elle était et ce qu'elle faisait ce jour-là.
Article du dimanche 8 avril 2012 : Faire "comme Merah" dans le 17e arrondissement.
Certes, il y a eu l'explosion d'un hangar de l'usine chimique AZF à Toulouse le 21 septembre 2001, appartenant une filiale d'Atofina née de la fusion en 2000 de Total et d'Elf-Aquitaine mais il n'a jamais été prouvé qu'il s'agissait d'une action terroriste. Il y a également eu les actes terroristes dans la tragique affaire Merah, et cela reste des actes isolés. Pour condamnable qu'il soit, il faut reconnaître que la France n'a pas payé un lourd tribut en nombre de vies et de blessés sur les 11 années écoulées dû au terrorisme.
C'est vrai que Jacques Chirac et son Ministre des Affaires Etrangères, Dominique de Villepin, avaient décidé de ne pas participer à la dernière guerre en Irak et que la France a eu traditionnellement une politique étrangère équilibrée vis-à-vis du Proche-Orient et des conflits qui s'y déroulent.
En revanche, depuis le Printemps Arabe, la politique étrangère française est peu lisible car il demeure des interrogations sur l'intérêt qu'il y avait à intervenir en Libye et sur la politique future de la France en Syrie.
L'Histoire est tragique : le XXIe siècle a commencé le 11 septembre 2001 par l'attentat contre les Tours du World Trade Center visant les symboles de l'Amérique, le XXe siècle a débuté avec la déclaration de guerre en 1914 et le XIXe siècle a commencé par la décapitation de Louis XVI.
La fin du terrorisme passe par l'identification et une répression sans faille des terroristes avec une coopération internationale.
Cela passe aussi par des concessions de l'Etat d'Israël pour que les Palestiniens aient un avenir en Palestine. Car il existe une dernière menace non négligeable : le risque d'une frappe militaire israélienne en Iran qui enflammerait toute la région. Si cela devait se produire, les conséquences mondiales seraient beaucoup plus dramatiques que le 11 septembre.
Et dans ce cas, le 11 septembre resterait une simple date de l'imaginaire collectif car toute personne adulte ou adolescente en France et plus encore aux Etats-Unis d'Amérique se souvient où elle était et ce qu'elle faisait ce jour-là.
Article du dimanche 8 avril 2012 : Faire "comme Merah" dans le 17e arrondissement.
Coucher de soleil sur New-York © rabbit75_fot - Fotolia.com