Les expos du Mois D'avril à Paris
AVRIL, nom évocateur de renouveau, de printemps, de floraison, redonne vie, forme et pensée à des fragments abandonnés.
Dans une horizontalité colorée, journaux et magazines sont roulés, comprimés, ensachés comme pour mieux contenir le flux incessant d’informations délétères et n’en extirper que la quintessence.
Une explosion de couleurs habille l’ensemble de gaieté et de légèreté comme pour atténuer la gravité des questions essentielles qu’elle soulève ici.
Le cerveau, siège d’une mémoire faillible, est ici, sujet d’études.
En effet comment cet organe complexe et fragile gère t-il la surcharge d’informations d’un XXI ème siècle saturé de nouvelles quotidiennes où l’horreur peut côtoyer le superficialité la plus affligeante, comme le fait d’histoire le plus marquant.
Avril s’interroge, explore.
Comment faire le tri, face à cette déferlante informationnelle.
Que retient-on, que reste-t-il après le naufrage de l’oubli ?
A l’heure où Alzheimer fait des ravages, comment retenir l’essentiel, comment répondre à la mémoire qui se lézarde dans une société devenue folle où le temps n’est plus que frénésie et course contre la montre.
L’artiste nous propose alors, un instant d’ intériorité, un voyage au centre de la mémoire, qui se matérialise sous forme de strates, qui telles les couches sédimentaires de la roche se superposent dans des variations esthétiques et colorées.
Ainsi tel le géologue qui sait que « rien ne se perd, rien ne se crée mais que tout se transforme », Avril nous offre une coupe stratigraphique de la mémoire.
Elle s’affranchit ainsi de l’immédiateté, de l’extériorité et de la turbulence, en nous offrant une pause, une mise à distance, une prise de hauteur face aux faits, grâce à ses instantanés, de mémoires captives, figées pour l’éternité, dans ses toiles éclatantes et emballées de transparence afin de protéger l’Essentiel.
Dans une horizontalité colorée, journaux et magazines sont roulés, comprimés, ensachés comme pour mieux contenir le flux incessant d’informations délétères et n’en extirper que la quintessence.
Une explosion de couleurs habille l’ensemble de gaieté et de légèreté comme pour atténuer la gravité des questions essentielles qu’elle soulève ici.
Le cerveau, siège d’une mémoire faillible, est ici, sujet d’études.
En effet comment cet organe complexe et fragile gère t-il la surcharge d’informations d’un XXI ème siècle saturé de nouvelles quotidiennes où l’horreur peut côtoyer le superficialité la plus affligeante, comme le fait d’histoire le plus marquant.
Avril s’interroge, explore.
Comment faire le tri, face à cette déferlante informationnelle.
Que retient-on, que reste-t-il après le naufrage de l’oubli ?
A l’heure où Alzheimer fait des ravages, comment retenir l’essentiel, comment répondre à la mémoire qui se lézarde dans une société devenue folle où le temps n’est plus que frénésie et course contre la montre.
L’artiste nous propose alors, un instant d’ intériorité, un voyage au centre de la mémoire, qui se matérialise sous forme de strates, qui telles les couches sédimentaires de la roche se superposent dans des variations esthétiques et colorées.
Ainsi tel le géologue qui sait que « rien ne se perd, rien ne se crée mais que tout se transforme », Avril nous offre une coupe stratigraphique de la mémoire.
Elle s’affranchit ainsi de l’immédiateté, de l’extériorité et de la turbulence, en nous offrant une pause, une mise à distance, une prise de hauteur face aux faits, grâce à ses instantanés, de mémoires captives, figées pour l’éternité, dans ses toiles éclatantes et emballées de transparence afin de protéger l’Essentiel.
GALERIE MENOUAR
16 rue du Parc Royal 75003 Paris
Tél : +33 (0)148 87 60 90
Contact contact@galeriemenouar.com
Directrice : Rabiaâ Menouar
Site Internet.
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