(c) Menlibayeva
Primé à Karlovy Vary et à Hambourg, le court métrage de Gyula Nemes est présenté dans le cadre du festival Signes de Nuit.
Programme :
- Mondes perdus (2008) de Gyula Nemes
Durée : 20 minutes
La démolition, puis la reconstruction du boulevard Kopaszi, au centre du Budapest, entre 1998 et 2007. Habitations de fortune, particuliers affrontant l'intempérie et la poussée des investisseurs.
- Coagulate (2008) de Mihai Grecu
Durée : 6 minutes
Absences, présences et distorsions aquatiques dans une chorégraphie des fluides. Des forces énigmatiques contorsionnent les lois physiques et affectent le comportement des êtres vivant dans des espaces épurés.
- Exodus (2009) d’Almagul Menlibayeva
Durée : 11 minutes
Exodus, à la manière d'un conte étrange et puissant, documente d'anciennes traditions aujourd'hui disparues au Kazakhstan.
- Présence simple futur parfait (2008) de Davide Pepe
Durée : 5 minutes
Voyage retentissant dans un espace de nervosité magnifique où la menace est partout. La beauté se dépare et l'alphabet existentiel.
- Dissolution (2008) d’Umesh Vinayak Kulkarni
Durée : 12,30 minutes
Le monde d'hier. Où les journées étaient à la paresse, et les portes sans verrous. Où on croyait encore à l'espoir et au bonheur. Ce monde se termine. Avec lui disparaît l'ombre de ma grand-mère.
- Journal de Fin (2009) de Juan Alejandro Ramirez
Durée : 24 minutes
Une femme, affrontant le plus morne futur, conte sa vie par des sketches, par des épisodes apparemment pris au hasard. Confessions presque viscérales, brutalement lucides, et néanmoins libératoires.
- Clean up (2008) de Sebastian Mez
Durée : 9 minutes
Son travail est de nettoyer les chambres où l'on administre la peine capitale par injection létale. Un rituel dans le quel le spectateur devient témoin d'une exécution.
"Festival Signes de Nuit" à l'Institut hongrois de Paris , 92 rue Bonaparte 75006 Paris.
Entrée : 12 / 7 €
Programme :
- Mondes perdus (2008) de Gyula Nemes
Durée : 20 minutes
La démolition, puis la reconstruction du boulevard Kopaszi, au centre du Budapest, entre 1998 et 2007. Habitations de fortune, particuliers affrontant l'intempérie et la poussée des investisseurs.
- Coagulate (2008) de Mihai Grecu
Durée : 6 minutes
Absences, présences et distorsions aquatiques dans une chorégraphie des fluides. Des forces énigmatiques contorsionnent les lois physiques et affectent le comportement des êtres vivant dans des espaces épurés.
- Exodus (2009) d’Almagul Menlibayeva
Durée : 11 minutes
Exodus, à la manière d'un conte étrange et puissant, documente d'anciennes traditions aujourd'hui disparues au Kazakhstan.
- Présence simple futur parfait (2008) de Davide Pepe
Durée : 5 minutes
Voyage retentissant dans un espace de nervosité magnifique où la menace est partout. La beauté se dépare et l'alphabet existentiel.
- Dissolution (2008) d’Umesh Vinayak Kulkarni
Durée : 12,30 minutes
Le monde d'hier. Où les journées étaient à la paresse, et les portes sans verrous. Où on croyait encore à l'espoir et au bonheur. Ce monde se termine. Avec lui disparaît l'ombre de ma grand-mère.
- Journal de Fin (2009) de Juan Alejandro Ramirez
Durée : 24 minutes
Une femme, affrontant le plus morne futur, conte sa vie par des sketches, par des épisodes apparemment pris au hasard. Confessions presque viscérales, brutalement lucides, et néanmoins libératoires.
- Clean up (2008) de Sebastian Mez
Durée : 9 minutes
Son travail est de nettoyer les chambres où l'on administre la peine capitale par injection létale. Un rituel dans le quel le spectateur devient témoin d'une exécution.
"Festival Signes de Nuit" à l'Institut hongrois de Paris , 92 rue Bonaparte 75006 Paris.
Entrée : 12 / 7 €