Bénédicte des Mazery a fait des études de journalisme. Après avoir été rédactrice dans des revues d'entreprise, elle se consacre aujourd'hui à l'écriture journalistique et romanesque.
1999 - Pour solde de tout compte, éditions Bérénice, 2005 - Les morts ne parlent pas, éditions Anne Carrière
2005 - L'Opus Dei, enquête sur une église au cœur de l'église, avec Patrice des Mazery, document, éditions Flammarion, 2008 - La Vie tranchée, éditions Anne Carrière
2012 - L'ombre d'un homme édition Anne Carrière.
Un roman qui mêle la petite histoire à la grande, celle de ces hommes et ces femmes pas tout à fait juifs, pas toujours déportés, mais victimes du régime nazi, et dont le sort reste souvent méconnu.
1999 - Pour solde de tout compte, éditions Bérénice, 2005 - Les morts ne parlent pas, éditions Anne Carrière
2005 - L'Opus Dei, enquête sur une église au cœur de l'église, avec Patrice des Mazery, document, éditions Flammarion, 2008 - La Vie tranchée, éditions Anne Carrière
2012 - L'ombre d'un homme édition Anne Carrière.
Un roman qui mêle la petite histoire à la grande, celle de ces hommes et ces femmes pas tout à fait juifs, pas toujours déportés, mais victimes du régime nazi, et dont le sort reste souvent méconnu.
2012 le nouveau roman de Bénédicte des Mazery, "L'ombre d'un homme" édition Anne Carrière.
Bénédicte des Mazery 2012 - L'ombre d'un homme édition Anne Carrière. Présentation Françoise Henry, lecture Marie Abada-Simon.
Un roman qui mêle la petite histoire à la grande, celle de ces hommes et ces femmes pas tout à fait juifs, pas toujours déportés, mais victimes du régime nazi, et dont le sort reste souvent méconnu.
Résumé : Alfred Vigneux n’a jamais oublié Charlotte, son amour de jeunesse.
Des décennies plus tard, sortant d’une existence recluse et solitaire, le vieillard décide d’héberger gratuitement dans un appartement dont il est le propriétaire une famille, Adèle, son mari et leur jeune fils, Léo. En échange, il viendra dîner avec eux chaque soir.
Cette famille, il ne l’a pas choisie au hasard…
Alfred a des comptes à régler avec son passé, qui remonte au temps de l’occupation allemande, à Paris, lorsque Charlotte, demi-juive, a été arrêtée et internée à Lévitan.
Ce camp parisien – une annexe du camp de Drancy –, tenu par les Allemands dans le 10e arrondissement, regroupait les prisonniers qui n’étaient pas déportés sur-le-champ en raison de leurs origines.
Un roman qui mêle la petite histoire à la grande, celle de ces hommes et ces femmes pas tout à fait juifs, pas toujours déportés, mais victimes du régime nazi, et dont le sort reste souvent méconnu.
Résumé : Alfred Vigneux n’a jamais oublié Charlotte, son amour de jeunesse.
Des décennies plus tard, sortant d’une existence recluse et solitaire, le vieillard décide d’héberger gratuitement dans un appartement dont il est le propriétaire une famille, Adèle, son mari et leur jeune fils, Léo. En échange, il viendra dîner avec eux chaque soir.
Cette famille, il ne l’a pas choisie au hasard…
Alfred a des comptes à régler avec son passé, qui remonte au temps de l’occupation allemande, à Paris, lorsque Charlotte, demi-juive, a été arrêtée et internée à Lévitan.
Ce camp parisien – une annexe du camp de Drancy –, tenu par les Allemands dans le 10e arrondissement, regroupait les prisonniers qui n’étaient pas déportés sur-le-champ en raison de leurs origines.
Ils étaient chargés de trier les meubles et les objets saisis dans les appartements juifs et destinés à être expédiés à la population allemande, contribuant malgré eux à l’entreprise de destruction des nazis.
Au fil des dîners, l’histoire familiale se révèle peu à peu, sous la pression du jeune Léo, bien décidé à en découvrir le secret.
Mais le passé peut-il être réparé ? Et quelles traces les fautes commises ou subies laissent-elles sur les descendants ?
Mardi 20 mars 2012 : Bénédicte des Mazery fait son mardi littéraire à 20h30
1er étage du Café de la mairie
Place Saint Sulpice 75006 Paris.
Au fil des dîners, l’histoire familiale se révèle peu à peu, sous la pression du jeune Léo, bien décidé à en découvrir le secret.
Mais le passé peut-il être réparé ? Et quelles traces les fautes commises ou subies laissent-elles sur les descendants ?
Mardi 20 mars 2012 : Bénédicte des Mazery fait son mardi littéraire à 20h30
1er étage du Café de la mairie
Place Saint Sulpice 75006 Paris.