Michel Dréano traque l’émotion où elle se trouve. Autant dans la métropole agitée que sur les landes de la Bretagne de ses ancêtres. Capable de passer d’une drôlerie de môme à une tendresse poétique, il n’oublie jamais de s’amuser avec les mots.
Mais il sait aussi tisser, avec rigueur et efficacité, des petits scénari, très visuels. L’artiste, à la fois musicien et slameur, s'assume en tant que baladin, ouvert à de nombreuses influences et refuse qu'on lui colle, au pays de Descartes, une étiquette sur le dos.
Miguel Sévilla accompagné de la jeune et talentueuse guitariste Lucie Delahaye. Tangos, slams et coplas, parce que ces trois formes d’ex- pression poétique sont liées à la vie de l’auteur et relient l’Andalousie au nord de l’Argentine et Buenos Aires à Paris.
Tangos, slams et coplas, parce que ces trois formes de poé- sie sont populaires : elles traduisent ce que vit, ressent et ce dont rêve une partie importante de la population et contreviennent à l’hermétisme élitiste. Il s’agit d’une poésie ouverte, habitée par un même état d’esprit, por- tée par un parti pris de simplicité.
Tangos, slams et coplas traitent souvent d’amour et de mort, sans jamais oublier le monde du travail dont elles sont issues. Mais il y a, en quelque sorte, une différence de surface : si les coplas nous parlent davantage de la campagne et évoquent de beaux paysages, tango et slam nous parlent de la ville et d’un environnement qui n’est pas nécessairement « beau ».
21 octobre 2011 : Concert de Michel Dreano à 20h30
Préau de l'école buissonnière
37 rue Alexandre Dumas 75011 Paris.
Miguel Sévilla accompagné de la jeune et talentueuse guitariste Lucie Delahaye. Tangos, slams et coplas, parce que ces trois formes d’ex- pression poétique sont liées à la vie de l’auteur et relient l’Andalousie au nord de l’Argentine et Buenos Aires à Paris.
Tangos, slams et coplas, parce que ces trois formes de poé- sie sont populaires : elles traduisent ce que vit, ressent et ce dont rêve une partie importante de la population et contreviennent à l’hermétisme élitiste. Il s’agit d’une poésie ouverte, habitée par un même état d’esprit, por- tée par un parti pris de simplicité.
Tangos, slams et coplas traitent souvent d’amour et de mort, sans jamais oublier le monde du travail dont elles sont issues. Mais il y a, en quelque sorte, une différence de surface : si les coplas nous parlent davantage de la campagne et évoquent de beaux paysages, tango et slam nous parlent de la ville et d’un environnement qui n’est pas nécessairement « beau ».
21 octobre 2011 : Concert de Michel Dreano à 20h30
Préau de l'école buissonnière
37 rue Alexandre Dumas 75011 Paris.