Le camion bétonnière a été évacué peu avant 13h30. Le boulevard Jourdan dans le 14e arrondissement de Paris a été réouvert à la circulation après avoir été fermé, dans un premier temps entre l'avenue du Général Leclerc et la rue du Père Corentin, puis dans un second temps, entre la rue de la Tombe Issoire et l'avenue du Général Leclerc.
Que s'est-il passé exactement aux environs de 10h30 le 1er mars 2012 ? Une femme traverse au passage piéton de la rue du Père Corentin, une rue à double sens donnant sur les maréchaux.
Avec elle, deux enfants : l'un dans une poussette et l'autre marchant à ses côtés.
Une bétonnière montée sur camion vient de franchir le passage piéton et fait mine de vouloir traverser les rails du tramway pour tourner sur le boulevard Jourdan, direction Montsouris.
Pour une raison inconnue, il s'arrête dans son élan et fait marche arrière. Il recule au moment où la nounou et les deux enfants traversent la rue du Père Corentin.
Le choc est inévitable. La poussette est aspirée par les roues du camion. La dame et le 2e enfant évitent le pire.
Suite au commentaire d'un membre de la famille de l'enfant, déposé à 20h42 le jour de l'accident, nous apprenons que l'enfant en poussette est décédé. La police vient de nous informer le 2 mars que le pronostic vital était engagé au moment de l'accident. L'enfant n'a donc pas survécu à ses blessures.
Avec elle, deux enfants : l'un dans une poussette et l'autre marchant à ses côtés.
Une bétonnière montée sur camion vient de franchir le passage piéton et fait mine de vouloir traverser les rails du tramway pour tourner sur le boulevard Jourdan, direction Montsouris.
Pour une raison inconnue, il s'arrête dans son élan et fait marche arrière. Il recule au moment où la nounou et les deux enfants traversent la rue du Père Corentin.
Le choc est inévitable. La poussette est aspirée par les roues du camion. La dame et le 2e enfant évitent le pire.
Suite au commentaire d'un membre de la famille de l'enfant, déposé à 20h42 le jour de l'accident, nous apprenons que l'enfant en poussette est décédé. La police vient de nous informer le 2 mars que le pronostic vital était engagé au moment de l'accident. L'enfant n'a donc pas survécu à ses blessures.
L'enfant qui n'était pas dans la poussette a été envoyé à l'Hôpital Necker. Il a reçu un coup au genou, et est choqué psychologiquement. La femme a les jambes touchées.
Il n'a pas été facile d'en savoir plus au moment de l'accident.
Interrogé quelques heures après l'accident, le Service du traitement judiciaire des accidents (STJA) déclarait à Paris Tribune : "comme il s'agit d'un cas judiciaire, je ne donne aucun renseignement."
Il est probable que le chauffeur du camion bétonnière ait été placé en garde à vue.
Le STJA est chargé d’enquêter sur les accidents les plus graves qui ont eu lieu dans la capitale.
En 2011, 50 personnes (automobilistes, conducteurs de deux-roues et aussi des piétons) ont trouvé la mort dans un accident à Paris, et la police a dénombré plus de 8 000 accidents corporels.
Pour faire face à la délinquance routière (vitesse excessive, traversées irrégulières de la chaussée, changement de voies, consommation d’alcool et de stupéfiants, ...) différents services de la police travaillent en synergie pour lutter contre l’insécurité routière : la Compagnie du périphérique, les unités motocyclistes qui n'hésitent pas à envoyer des motocyclistes en civil pour repérer les contrevenants, et le fameux Service du traitement judiciaire des accidents, placé sous l'autorité du commandant Jurkowski.
Il n'a pas été facile d'en savoir plus au moment de l'accident.
Interrogé quelques heures après l'accident, le Service du traitement judiciaire des accidents (STJA) déclarait à Paris Tribune : "comme il s'agit d'un cas judiciaire, je ne donne aucun renseignement."
Il est probable que le chauffeur du camion bétonnière ait été placé en garde à vue.
Le STJA est chargé d’enquêter sur les accidents les plus graves qui ont eu lieu dans la capitale.
En 2011, 50 personnes (automobilistes, conducteurs de deux-roues et aussi des piétons) ont trouvé la mort dans un accident à Paris, et la police a dénombré plus de 8 000 accidents corporels.
Pour faire face à la délinquance routière (vitesse excessive, traversées irrégulières de la chaussée, changement de voies, consommation d’alcool et de stupéfiants, ...) différents services de la police travaillent en synergie pour lutter contre l’insécurité routière : la Compagnie du périphérique, les unités motocyclistes qui n'hésitent pas à envoyer des motocyclistes en civil pour repérer les contrevenants, et le fameux Service du traitement judiciaire des accidents, placé sous l'autorité du commandant Jurkowski.
This browser does not support the video element.