Il est des faits dont il est difficile de savoir s'ils sont avérés ou non. Ainsi ceux relatés par une habitante qui les tient de son voisin, tous deux habitant la rue Fénelon.
Selon cette personne, deux agressions ont eu lieu la nuit, l'une il y a quatre mois sur un chauffeur de taxi et l'autre il y a environ deux semaines (ndlr : au moment de la réunion soit autour du 24 mars) sur une jeune fille. "Aplatie sur le trottoir devant le lycée Fénélon", la victime a eu la vie sauve mais a dû céder son téléphone portable et son sac.
Lors de la réunion publique, ni le maire ni le commissaire de police n'ont fait de commentaires.
Contactée pour confirmer ou infirmer l'information, la direction de la police d'agglomération de Paris ne dit pas si les faits sont exacts et si une enquête est en cours.
Si les victimes ne portent pas plainte, aucune enquête n'est ouverte et si aucune des victimes ne déposent de main courante, il n'existe aucune trace de leurs mésaventures.
Selon cette personne, deux agressions ont eu lieu la nuit, l'une il y a quatre mois sur un chauffeur de taxi et l'autre il y a environ deux semaines (ndlr : au moment de la réunion soit autour du 24 mars) sur une jeune fille. "Aplatie sur le trottoir devant le lycée Fénélon", la victime a eu la vie sauve mais a dû céder son téléphone portable et son sac.
Lors de la réunion publique, ni le maire ni le commissaire de police n'ont fait de commentaires.
Contactée pour confirmer ou infirmer l'information, la direction de la police d'agglomération de Paris ne dit pas si les faits sont exacts et si une enquête est en cours.
Si les victimes ne portent pas plainte, aucune enquête n'est ouverte et si aucune des victimes ne déposent de main courante, il n'existe aucune trace de leurs mésaventures.
Le quartier Saint André des Arts, un ghetto des loisirs selon une habitante, aurait connu 2 agressions en 4 mois
Lire l'annonce de la présentation par Antoine Salmon, Commissaire central du 6ème arrondissement, des bilans de la police dans le 6ème et des statistiques relatives à la délinquance entre le 1er mars 2009 et le 1er mars 2010.