Le 15 avril 2011, un appel parvient au « 17 police secours », un homme semblant pris de boisson signale « une alerte à la bombe à Saint Lazare ».
Les enquêteurs de la brigade criminelle localisent l’origine de l’appel : une cabine téléphonique située dans la station RER Auber dans le 9e arrondissement. Si aucune empreinte n’est exploitable, la vidéoprotection permet d’identifier l’individu : il s’agit d’un homme d’une cinquantaine d’années paraissant tituber et… bien connu des policiers. En effet, ils l’avaient précédemment interpellé en octobre dernier pour deux fausses alertes à la bombe en date des 30 septembre et 1er octobre. Il avait alors été condamné à 2 ans d’emprisonnement dont 16 mois avec sursis et mise à l’épreuve de 3 ans avec obligation de soin ainsi qu’à plus de 11 000 euros de dommages et intérêts ; il avait été libéré le 21 mars 2011.
Interpellé le 31 mai 2011, il a reconnu les faits et a été déféré au Parquet de Paris.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.
Les enquêteurs de la brigade criminelle localisent l’origine de l’appel : une cabine téléphonique située dans la station RER Auber dans le 9e arrondissement. Si aucune empreinte n’est exploitable, la vidéoprotection permet d’identifier l’individu : il s’agit d’un homme d’une cinquantaine d’années paraissant tituber et… bien connu des policiers. En effet, ils l’avaient précédemment interpellé en octobre dernier pour deux fausses alertes à la bombe en date des 30 septembre et 1er octobre. Il avait alors été condamné à 2 ans d’emprisonnement dont 16 mois avec sursis et mise à l’épreuve de 3 ans avec obligation de soin ainsi qu’à plus de 11 000 euros de dommages et intérêts ; il avait été libéré le 21 mars 2011.
Interpellé le 31 mai 2011, il a reconnu les faits et a été déféré au Parquet de Paris.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.