Sur une idée originale de Françoise DUMAINE fondatrice de Sophro-management
François Dumaine, fondatrice de Sophro-management © DR.
FD est issue du monde de la gestion, elle a traversé de nombreuses crises économiques, plusieurs restructurations d’entreprise en tant que salariée puis indépendante dans une TPE. Pour mieux faire face à ce monde mouvant, elle se forme à la sophrologie sur un cursus long de trois ans, alors même que la crise éclate en 2008.
Ces expériences mêlées lui ouvrent un nouveau regard mais aussi de nouvelles perspectives de développement personnel directement appliquées à son quotidien de travail. Elle découvre une compréhension nouvelle dans l’art de décider. Loin de se retirer du monde de la gestion, elle cherche des voies pour y introduire le sensible et la bienveillance. Son leitmotiv est la recherche de performance socio-économique. Le social et l’économique, souvent mis dos à dos, demandent au contraire à être réconciliés et harmonisés. Clé d’une compétitivité solide et pérenne, le durable ne peut se construire que par l’humanité et la diversité qui le constituent. Les talents sont souvent à l’insu de ceux qui les portent. Leur combinaison est un bien commun qui demande à être identifié, reconnu et valorisé par notre société.
Ces expériences mêlées lui ouvrent un nouveau regard mais aussi de nouvelles perspectives de développement personnel directement appliquées à son quotidien de travail. Elle découvre une compréhension nouvelle dans l’art de décider. Loin de se retirer du monde de la gestion, elle cherche des voies pour y introduire le sensible et la bienveillance. Son leitmotiv est la recherche de performance socio-économique. Le social et l’économique, souvent mis dos à dos, demandent au contraire à être réconciliés et harmonisés. Clé d’une compétitivité solide et pérenne, le durable ne peut se construire que par l’humanité et la diversité qui le constituent. Les talents sont souvent à l’insu de ceux qui les portent. Leur combinaison est un bien commun qui demande à être identifié, reconnu et valorisé par notre société.
La pratique, la meilleure façon de faire vivre les concepts
Merveilleuse découverte pour elle que la sophrologie, comme science de l’émergence. Rien de mieux pour que les talents se révèlent, mais cette pratique reste malheureusement peu connue dans l’univers de la gestion.
FD se décide alors à retourner sur les bancs de l’université pour donner du sens à ses deux métiers. Elle obtient un Master 2 - Management Travail et Développement Social - Université Paris Dauphine/Anact (Agence Nationale d’Amélioration des Conditions de Travail) et co-écrit avec Chantal Maillet un mémoire : « Changements et restructurations : redonner du sens au travail dans un contexte d’incertitude ».
Elle apporte la cohérence de ses expériences dans un projet d’entreprise, Sophro-management, dont l’axe principal est l’intervention en qualité de vie au travail. En créant la société Sophro-mangement, elle vise une performance sociale, économique et organisationnelle dépouillée de toutes sortes de jugements et de clivages. Elle devient spécialiste de la prévention des burn-out, maladie de la perte de sens en entreprise.
Ses plans d’action très concrets sont adaptés à la réalité du vécu en entreprise. La co-création avec les acteurs de l’entreprise (Direction, CHSCT, IRP) est fondamentale et relève d’une vraie méthode proche du conseil en stratégie.
Mais comment faire diffuser cette philosophie de gestion dans l’entreprise. Comment prouver ce qui s’éprouve ?
La pratique lui apparaît être la meilleure façon de faire vivre les concepts.
FD se décide alors à retourner sur les bancs de l’université pour donner du sens à ses deux métiers. Elle obtient un Master 2 - Management Travail et Développement Social - Université Paris Dauphine/Anact (Agence Nationale d’Amélioration des Conditions de Travail) et co-écrit avec Chantal Maillet un mémoire : « Changements et restructurations : redonner du sens au travail dans un contexte d’incertitude ».
Elle apporte la cohérence de ses expériences dans un projet d’entreprise, Sophro-management, dont l’axe principal est l’intervention en qualité de vie au travail. En créant la société Sophro-mangement, elle vise une performance sociale, économique et organisationnelle dépouillée de toutes sortes de jugements et de clivages. Elle devient spécialiste de la prévention des burn-out, maladie de la perte de sens en entreprise.
Ses plans d’action très concrets sont adaptés à la réalité du vécu en entreprise. La co-création avec les acteurs de l’entreprise (Direction, CHSCT, IRP) est fondamentale et relève d’une vraie méthode proche du conseil en stratégie.
Mais comment faire diffuser cette philosophie de gestion dans l’entreprise. Comment prouver ce qui s’éprouve ?
La pratique lui apparaît être la meilleure façon de faire vivre les concepts.
Les ateliers « Sophro-décideurs »
Elle crée alors les ateliers « Sophro-décideurs », elle cherche à réunir des décideurs, de vrais décideurs, prêts à s’engager dans la démarche, pour eux-mêmes mais également pour le bénéfice de l’organisation qu’ils représentent.
Le concept suppose que les décideurs se retrouvent hors de l’entreprise, entre pairs, de milieux et d’univers différents, ne se connaissant pas mais se reconnaissant entre eux par les échanges d’expérience et d’émergence (puisque la sophrologie est révélatrice de talents).
Pour être efficace, ce concept suppose une certaine régularité des rencontres/pratiques. Ces temps morts sont de vrais temps de vie qui seront mis ultérieurement au bénéfice du collectif d’appartenance.
Sophro-décideurs n’a pas de vocation élitiste, son ambition est d’accompagner au mieux les mutations sociétales actuelles, elle suppose un engagement de tout le corps social.
Ces ateliers lui semblent être le point initial de son projet, pour permettre une large diffusion de cette « nouvelle qualité de vie au travail ». Elle a constaté que ses pratiques suscitaient la cohésion sociale puisque qu’elles apportent une réponse aux demandes des CHSCT (Comité d’Hygiène Sécurité et Conditions de Travail).
Convaincue, elle propose son projet dans les différents univers qu’elle côtoie ISR (Investissement socialement responsable), RSE (Responsabilité Sociétale en entreprise), santé au travail…. Elle rencontre alors l’amiral Olivier LAJOUS, élu DRH de l’année 2012, DRH de la Marine Nationale.
Rencontre lumineuse et déterminante pour l’avancement de son projet. L’amiral croit déjà fermement dans les bienfaits de la sophrologie mais en faire un outil de management, voilà qui l’interpelle.
Alors quel merveilleux cadeau que de trouver soutien auprès de l’auteur de « L’Art de diriger ? » Il n’y avait plus qu’un pas pour lui proposer de monter des protocoles adaptés. La sophrologie sur les lignes de force de « l'Art de diriger ? »
Le point d’interrogation du titre de l’œuvre montre toute l’alchimie de cet art. FD navigue alors sur des concepts croisés:
- stratégie, engagement, confiance, autorité, courage, discipline du bonheur… d’une part,
- respiration, relaxation dynamique, perception positive, sens, intuition, neurosciences…d’autre part, qu’elle aime mettre en musique pour qu’émerge l’intelligence collective.
Elle ne sait pas encore elle-même ce qui émergera à travers les ateliers « Sophro-décideurs » mais déjà un nouveau réseau de décideurs se profile…éthique, authentique, durable. Il a de quoi passer les caps contre les vents et marées de notre monde en mutation.
Le concept suppose que les décideurs se retrouvent hors de l’entreprise, entre pairs, de milieux et d’univers différents, ne se connaissant pas mais se reconnaissant entre eux par les échanges d’expérience et d’émergence (puisque la sophrologie est révélatrice de talents).
Pour être efficace, ce concept suppose une certaine régularité des rencontres/pratiques. Ces temps morts sont de vrais temps de vie qui seront mis ultérieurement au bénéfice du collectif d’appartenance.
Sophro-décideurs n’a pas de vocation élitiste, son ambition est d’accompagner au mieux les mutations sociétales actuelles, elle suppose un engagement de tout le corps social.
Ces ateliers lui semblent être le point initial de son projet, pour permettre une large diffusion de cette « nouvelle qualité de vie au travail ». Elle a constaté que ses pratiques suscitaient la cohésion sociale puisque qu’elles apportent une réponse aux demandes des CHSCT (Comité d’Hygiène Sécurité et Conditions de Travail).
Convaincue, elle propose son projet dans les différents univers qu’elle côtoie ISR (Investissement socialement responsable), RSE (Responsabilité Sociétale en entreprise), santé au travail…. Elle rencontre alors l’amiral Olivier LAJOUS, élu DRH de l’année 2012, DRH de la Marine Nationale.
Rencontre lumineuse et déterminante pour l’avancement de son projet. L’amiral croit déjà fermement dans les bienfaits de la sophrologie mais en faire un outil de management, voilà qui l’interpelle.
Alors quel merveilleux cadeau que de trouver soutien auprès de l’auteur de « L’Art de diriger ? » Il n’y avait plus qu’un pas pour lui proposer de monter des protocoles adaptés. La sophrologie sur les lignes de force de « l'Art de diriger ? »
Le point d’interrogation du titre de l’œuvre montre toute l’alchimie de cet art. FD navigue alors sur des concepts croisés:
- stratégie, engagement, confiance, autorité, courage, discipline du bonheur… d’une part,
- respiration, relaxation dynamique, perception positive, sens, intuition, neurosciences…d’autre part, qu’elle aime mettre en musique pour qu’émerge l’intelligence collective.
Elle ne sait pas encore elle-même ce qui émergera à travers les ateliers « Sophro-décideurs » mais déjà un nouveau réseau de décideurs se profile…éthique, authentique, durable. Il a de quoi passer les caps contre les vents et marées de notre monde en mutation.
Infos pratiques
Prochain Atelier Sophro-décideurs le mardi 14 avril 2015.
Suivre l'actualité de l'événement sur http://sophro-management.fr
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