Le feu d'artifice du 14 juillet est toujours un événement très attendu par les parisiens, les franciliens et les touristes français et étrangers de passage dans l'une des plus belles villes du monde. Offert par la Ville de Paris, le feu d'artifice musical du 14 juillet 2011 vaut le détour, avec un thème imposé par la Mairie de Paris : "Les grandes comédies musicales".
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En proposant "Les comédies musicales de Broadway à Paris" et forte de son savoir-faire, la société Lacroix-Ruggieri, une entreprise familiale fabriquant des feux d’artifice depuis 1848, remporte le marché en mai 2011. Le montant, 418.000 euros HT (499.928 euros TTC), est voté au conseil de Paris du mois de juin.
Avec 130 employés, le groupe Lacroix-Ruggieri est au premier rang européen des concepteurs de spectacles pyrotechniques et gère un centre de formation des artificiers agréé par l’Etat ; 80% de ses fusées sont tirées le 14 juillet.
Avec la complicité de Jean-Luc Choplin, directeur général du Théâtre du Châtelet, dans le 1er arrondissement de Paris, chargé de la bande-son du spectacle, le feu d'artifice devient chantant avec une sonorisation exceptionnelle de 27 extraits de comédies musicales célèbres pour un voyage pyrotechnique unique "de Broadway à Paris".
Un spectacle habillé de paillettes dorées, orchestré par Claude Devernois, directeur artistique, chargé de peindre le ciel dessiné par David Proteau, champion du monde des artificiers, et lanceur d'étoiles du feu d'artifice parisien du 14 juillet 2011.
La musique joue avec les feux et la pyrotechnie joue sur la musique. Les couleurs donnent du volume aux airs célèbres comme My Fair Lady, Le Magicien d'Oz, Un américain à Paris, Evita, Chicago, ..., tantôt majestueux, tantôt fluides.
Peu avant le final, les organisateurs demandent aux spectateurs présents sur le quai Branly au pied de la Tour Eiffel de "rallumer" les téléphones portables "pour illuminer Paris des écrans et des flashs" afin de "créer" une "fresque de lumière". Appel entendu. Des dizaines de petites lucioles s'allument à la fin du décompte. Les spectateurs aussi font le spectacle.
Avec 130 employés, le groupe Lacroix-Ruggieri est au premier rang européen des concepteurs de spectacles pyrotechniques et gère un centre de formation des artificiers agréé par l’Etat ; 80% de ses fusées sont tirées le 14 juillet.
Avec la complicité de Jean-Luc Choplin, directeur général du Théâtre du Châtelet, dans le 1er arrondissement de Paris, chargé de la bande-son du spectacle, le feu d'artifice devient chantant avec une sonorisation exceptionnelle de 27 extraits de comédies musicales célèbres pour un voyage pyrotechnique unique "de Broadway à Paris".
Un spectacle habillé de paillettes dorées, orchestré par Claude Devernois, directeur artistique, chargé de peindre le ciel dessiné par David Proteau, champion du monde des artificiers, et lanceur d'étoiles du feu d'artifice parisien du 14 juillet 2011.
La musique joue avec les feux et la pyrotechnie joue sur la musique. Les couleurs donnent du volume aux airs célèbres comme My Fair Lady, Le Magicien d'Oz, Un américain à Paris, Evita, Chicago, ..., tantôt majestueux, tantôt fluides.
Peu avant le final, les organisateurs demandent aux spectateurs présents sur le quai Branly au pied de la Tour Eiffel de "rallumer" les téléphones portables "pour illuminer Paris des écrans et des flashs" afin de "créer" une "fresque de lumière". Appel entendu. Des dizaines de petites lucioles s'allument à la fin du décompte. Les spectateurs aussi font le spectacle.
De 700.000 à 900.000 personnes environ ont suivi les tableaux de bombes colorées mis en musique, depuis la place du Trocadéro et du 11 novembre ou encore depuis le pont de l'Alma, de la passerelle Debilly ou du Palais de Tokyo, dans le 16e arrondissement, depuis le Champ de Mars et l'Ecole militaire dans le 7e arrondissement, ou encore depuis Montmartre dans le 18e arrondissement mais sans la bande-son, sauf à l'avoir captée sur la fréquence 103.1 de RMC, partenaire de l'opération.
Le show faisant coïncider musiques et effets pyrotechniques est retransmis en direct sur le site www.paris.fr et sur Facebook. Il est actuellement disponible sur le site de la Ville de Paris http://14juillet.paris.fr.
Paris Tribune n'est pas en reste : retrouvez bientôt en ligne les airs les plus connus du music-hall, dessinés et mis en lumière par les artificiers de Lacroix-Ruggieri. 35 minutes de fusées multicolores et de chansons retracent l'historique des comédies musicales : les racines, de belles histoires d'amour, rêves, fantaisies, le renouveau des années 80, en France aujourd'hui, revues et cabarets, le phénomène Starmania, et le final avec West Side Story. Le public a la tête dans les étoiles tandis que les noms célèbres de Broadway à Paris retrouvent leur place parmi les astres du firmament sous la voûte céleste...
Séquence nostalgie avec un extrait revisité, en noir et blanc, du spectacle pyrotechnique musical reprenant l'air "Les parapluies de Chergbourg, suite symphonique" de Michel Legrand (voir la vidéo de Julie Hammett).
Le feu d'artifice du 14 juillet 2011 n'est pas mort, vive le feu d'artifice 2012 !
Le show faisant coïncider musiques et effets pyrotechniques est retransmis en direct sur le site www.paris.fr et sur Facebook. Il est actuellement disponible sur le site de la Ville de Paris http://14juillet.paris.fr.
Paris Tribune n'est pas en reste : retrouvez bientôt en ligne les airs les plus connus du music-hall, dessinés et mis en lumière par les artificiers de Lacroix-Ruggieri. 35 minutes de fusées multicolores et de chansons retracent l'historique des comédies musicales : les racines, de belles histoires d'amour, rêves, fantaisies, le renouveau des années 80, en France aujourd'hui, revues et cabarets, le phénomène Starmania, et le final avec West Side Story. Le public a la tête dans les étoiles tandis que les noms célèbres de Broadway à Paris retrouvent leur place parmi les astres du firmament sous la voûte céleste...
Séquence nostalgie avec un extrait revisité, en noir et blanc, du spectacle pyrotechnique musical reprenant l'air "Les parapluies de Chergbourg, suite symphonique" de Michel Legrand (voir la vidéo de Julie Hammett).
Le feu d'artifice du 14 juillet 2011 n'est pas mort, vive le feu d'artifice 2012 !
Le public est invité à participer au feu d'artifice avec les téléphones portables. Photo : Julie Hammett.
Feu d'artifice du 14 juillet 2011 à Paris par la société Lacroix-Ruggieri avec Jean-Luc Choplin. Photos : Julie Hammett et Vaea Devatine.