Le 6 février 2012 dans le 6e arrondissement de Paris, la brigade anti criminalité locale interpelle trois personnes de nationalité roumaine en possession de 21 cartes bancaires et de plus de 3 500 euros. Alertés par le comportement de trois hommes, les policiers décident de les surveiller.
Ils les voient ainsi entrer dans un magasin de vêtements, procéder à quelques achats et ressortir précipitamment. Les policiers s’entretiennent avec le vendeur : le règlement a été opéré avec une carte étrangère ne disposant pas de code confidentiel et avec présentation d’une pièce d’identité hollandaise.
Le trio tente ensuite d’acheter des chaussures féminines mais ressort les mains vides. Le vendeur a refusé le paiement estimant la carte - étrangère - non suffisamment sécurisée pour une transaction d’un tel montant.
Ils remportent plus de succès avec des modèles pour homme dans un autre magasin.
Les policiers décident alors de les contrôler, l’un d’eux essaie de s’enfuir, vainement. Ils sont trouvés en possession de 21 cartes bancaires supportant trois identités différentes, chacun ayant un titre d’identité correspondant à l’un des trois noms usurpés.
Le 7 février 2012, la brigade des fraudes aux moyens de paiement (BFMP) est chargée par le Parquet de Paris de la poursuite des investigations.
Les enquêteurs perquisitionnent la chambre d’hôtel occupée par les trois escrocs présumés et y découvrent six tablettes tactiles, un ordinateur portable, un smartphone, des valises, parfums, vêtements, maroquinerie, chaussures et lunettes de grandes marques.
Le trio tente ensuite d’acheter des chaussures féminines mais ressort les mains vides. Le vendeur a refusé le paiement estimant la carte - étrangère - non suffisamment sécurisée pour une transaction d’un tel montant.
Ils remportent plus de succès avec des modèles pour homme dans un autre magasin.
Les policiers décident alors de les contrôler, l’un d’eux essaie de s’enfuir, vainement. Ils sont trouvés en possession de 21 cartes bancaires supportant trois identités différentes, chacun ayant un titre d’identité correspondant à l’un des trois noms usurpés.
Le 7 février 2012, la brigade des fraudes aux moyens de paiement (BFMP) est chargée par le Parquet de Paris de la poursuite des investigations.
Les enquêteurs perquisitionnent la chambre d’hôtel occupée par les trois escrocs présumés et y découvrent six tablettes tactiles, un ordinateur portable, un smartphone, des valises, parfums, vêtements, maroquinerie, chaussures et lunettes de grandes marques.
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Les achats ont été effectués au moyen de 30 fausses cartes bancaires réencodées avec des pistes correspondant à celles de vrais clients d’une station service située en Autriche.
Les officiers de liaison roumains en poste à la direction de la police judiciaire ont activement collaboré avec la BFMP servant d’interface avec les services de police de Roumanie.
L’interpellation de ces trois Roumains, âgés de 27, 35 et 41 ans, appartenant à un réseau structuré, confirme une tendance récente qui voit des délinquants originaires de ce pays opérer des « raids d’achats » à travers les grandes villes européennes.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.
Les officiers de liaison roumains en poste à la direction de la police judiciaire ont activement collaboré avec la BFMP servant d’interface avec les services de police de Roumanie.
L’interpellation de ces trois Roumains, âgés de 27, 35 et 41 ans, appartenant à un réseau structuré, confirme une tendance récente qui voit des délinquants originaires de ce pays opérer des « raids d’achats » à travers les grandes villes européennes.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.