Rencontre avec un candidat aux élections législatives dans la 8e circonscription de Paris, qui regroupe une partie du 12e et du 20e arrondissement : Christian Vauge, soutenu par le Rassemblement Bleu Marine - SIEL.
Particularité : il a tenu à se faire prendre en photo sur la Coulée Verte à Daumesnil, "une réalisation de la droite" dont il est fier, avec sa promenade plantée traversant le 12e arrondissement de Paris dans toute sa longueur, soit 4,5 km, empruntant le trajet d'une ancienne voie ferrée. Selon lui, la droite peut reconquérir l'Est parisien à la condition de "renouveler le paysage politique", avec "des gens qui ont marché droit".
Particularité : il a tenu à se faire prendre en photo sur la Coulée Verte à Daumesnil, "une réalisation de la droite" dont il est fier, avec sa promenade plantée traversant le 12e arrondissement de Paris dans toute sa longueur, soit 4,5 km, empruntant le trajet d'une ancienne voie ferrée. Selon lui, la droite peut reconquérir l'Est parisien à la condition de "renouveler le paysage politique", avec "des gens qui ont marché droit".
Christian Vauge : un certain regard sur sa circonscription
Christian Vauge est entré en politique le 11 mai 1981 "quand j'ai vu l'arrivée de la gauche au pouvoir". Il intègre le parti démocrate français proche de Jacques Chirac puis "le vaisseau amiral" le RPR jusqu'à sa fusion avec l'UDF pour donner naissance à l'UMP.
Viscéralement gaulliste souverainiste et admirateur du Général de Gaulle de la 1ere époque, avant la guerre d'Algérie, Christian Vauge fait de la politique jusqu'en 2007 où il soutient "avec enthousiasme" Nicolas Sarkozy.
Lorsqu'il découvre la composition du nouveau gouvernement, "avec Kouchner et des candidats députés parachutés comme Klarsfeld" investis dans l'ancienne 8e circonscription de Paris, le 12e arrondissement, puis aux municipales dans le 12e "avec Jean-Marie Cavada pour tête de liste (...) qui n'a pris que des copains", il déchire sa carte d'adhérent à l'UMP et la renvoie par la poste.
Il entreprend "une errance auprès de partis souverainistes", auprès de Nicolas Dupont-Aignan qui, selon lui, "a des idées que l'on pourrait calquer sur les idées de Marine Le Pen", du Rassemblement pour la France, ... Il se sent tiraillé.
Parce que les formations souverainistes n'arrivent pas à s'unir, parce qu'elles ne se présentent "pas pour gagner mais pour faire des sous" ; parce qu'il "ne (veut) pas faire partie du clan des floués" au sein de l'UMP local,
- avec Corinne Atlan-Tapiero (UMP), conseillère d'arrondissement du 12e, pour qui il a battu le rappel, et qui a du renoncer à sa candidature,
- avec un candidat investi, Charles Beigbeder, qui n'a pas pris dans son équipe de campagne le conseiller régional Franck Margain (UMP), devenu candidat dissident,
- avec une suppléante Valérie Montandon (UMP), conseillère de Paris du 12e qui semble marri de n'avoir pas été mise en première ligne,
"cela fait beaucoup d'aigreur qui s'accumule" constate Christian Vauge.
Il décide de sauter le pas et, "pour renouveler le paysage politique à Paris", se présente sous les couleurs du Rassemblement Bleu Marine dans la nouvelle 8e circonscription de Paris.
Au 1er tour, Christian Vauge compte faire dans sa circonscription aussi bien que Marine Le Pen au plan national au 1e tour de l'élection présidentielle.
Sa consigne pour le 2e tour : "Tout sauf la gauche (...) on serrera les rangs (...)".
Viscéralement gaulliste souverainiste et admirateur du Général de Gaulle de la 1ere époque, avant la guerre d'Algérie, Christian Vauge fait de la politique jusqu'en 2007 où il soutient "avec enthousiasme" Nicolas Sarkozy.
Lorsqu'il découvre la composition du nouveau gouvernement, "avec Kouchner et des candidats députés parachutés comme Klarsfeld" investis dans l'ancienne 8e circonscription de Paris, le 12e arrondissement, puis aux municipales dans le 12e "avec Jean-Marie Cavada pour tête de liste (...) qui n'a pris que des copains", il déchire sa carte d'adhérent à l'UMP et la renvoie par la poste.
Il entreprend "une errance auprès de partis souverainistes", auprès de Nicolas Dupont-Aignan qui, selon lui, "a des idées que l'on pourrait calquer sur les idées de Marine Le Pen", du Rassemblement pour la France, ... Il se sent tiraillé.
Parce que les formations souverainistes n'arrivent pas à s'unir, parce qu'elles ne se présentent "pas pour gagner mais pour faire des sous" ; parce qu'il "ne (veut) pas faire partie du clan des floués" au sein de l'UMP local,
- avec Corinne Atlan-Tapiero (UMP), conseillère d'arrondissement du 12e, pour qui il a battu le rappel, et qui a du renoncer à sa candidature,
- avec un candidat investi, Charles Beigbeder, qui n'a pas pris dans son équipe de campagne le conseiller régional Franck Margain (UMP), devenu candidat dissident,
- avec une suppléante Valérie Montandon (UMP), conseillère de Paris du 12e qui semble marri de n'avoir pas été mise en première ligne,
"cela fait beaucoup d'aigreur qui s'accumule" constate Christian Vauge.
Il décide de sauter le pas et, "pour renouveler le paysage politique à Paris", se présente sous les couleurs du Rassemblement Bleu Marine dans la nouvelle 8e circonscription de Paris.
Au 1er tour, Christian Vauge compte faire dans sa circonscription aussi bien que Marine Le Pen au plan national au 1e tour de l'élection présidentielle.
Sa consigne pour le 2e tour : "Tout sauf la gauche (...) on serrera les rangs (...)".
Qui est vraiment Christian Vauge ?
Christian Vauge devant la coulée verte à Daumesnil dans le 12e arrondissement de Paris : "une réalisation de la droite" - Photo : VD.
Quand le candidat Franck Margain (Divers Droite) fait une campagne à l'américaine avec distribution de tee-shirts, quand le candidat Charles Beigbeder (UMP) réserve des théâtres pour faire campagne, lui le chercheur en physique fondamentale, fils d'un cheminot et d'une mère au foyer, compte sur "le travail de terrain" et "la théorie de la pelure" avec un noyau dur et des gens autour.
Christian Vauge est un universitaire atypique. Jeune, il aime les études. Il obtient une bourse de la SNCF, devient manoeuvre à la gare de Lyon, brosse à la javel les bancs en bois et "n'a qu'une envie : ne pas rester dans la classe ouvrière".
Son père, cheminot passionné par l'aéronautique, le pousse à faire des études techniques : en 5 ans, Christian Vauge devient technicien supérieur en aéronautique. "Mon rêve à l'époque, raconte le candidat, c'était de continuer mais je n'avais pas le bac." Qu'à cela ne tienne : il se présente en candidat libre et l'empoche au bout de 2 ans.
Commence alors une carrière d'universitaire en physique dure.
Il a la chance d'être remarqué par l'académicien Pierre Grivet qui le prend dans son laboratoire à Orsay. Devenu Docteur d'Etat es Sciences en 1973, il reçoit un courrier du Brésil. A l'intérieur, une lettre et un billet d'avion : 'Nous avons eu vent de vos travaux, voici un billet d'avion et une réservation d'hôtel'. Il y va. Le consul de France annonce au cours d'une réunion qu'un poste d'attaché scientifique est vacant depuis 6 mois. Christian Vauge se souvient : "Georges Pompidou, le Président de la République à cette époque, voulait donner l'image d'une France forte, scientifique, et pas que la France des parfums et des fanfreluches".
Il présente sa candidature, rentre à Paris, et avec un peu de sable de la plage de Copacabana, convainc son épouse, institutrice, qui faisait bouillir la marmite, de partir au Brésil.
Installés tous deux à Brasilia, son éposue remontera l'école française qui perdait des élèves pour atteindre une centaine d'inscriptions à la fin de leur séjour.
Lui, est à l'origine "d'une sérieuse économie du programme Ariane" car "au début, la France voulait construire la base de suivi de la fusée le plus proche possible de l'équateur, en plein mer". Il propose la frontière commune entre le Brésil et la Guyane française. Il négocie. Le Brésil accepte : l'installation de la station de poursuite se fait sur la terre ferme.
Son intelligence fait également merveille lorsqu'il s'agit de réimplanter le CNRS au Brésil ou encore de sauver l'Institut Pasteur sur place. C'est décoré de la Légion d'Honneur brésilienne, au grade d'Officier de l'Ordre de la Croix-du-Sud, qu'il quitte ce pays au bout de 4 ans.
Le retour en France au mois de novembre est difficile : "les 6 mois les plus difficiles" raconte-t-il.
Le Brésil achetait à l'Irak son énergie, il est chargé de proposer des énergies renouvelables. C'était pendant le choc pétrolier. Il prend ses fonctions à l'Université d'Orsay, puis demande une nouvelle chaire ailleurs et travaille sur l'environnement et la maîtrise d’énergie.
Lorsqu'il voit "débarquer tous les apparatchik en 1982" au lendemain de la victoire de François Mitterrand avec "les budgets publics qui bénéficiaient surtout à des sites amis", il quitte son poste et candidate pour l'Université Paris XII.
Il enseigne en DUT et DESS (Master 2). Il met au point une formule : 'les labos de l'instrumentation physique' avec pour mission de prendre des contrats auprès d'entreprises d'Ile-de-France pour développer avec ses étudiants leurs logiciels, etc...
"Je mettais ces contrats en forme avec mes collègues et on délivrait un message : 'si vous souhaitez que le labo travaille sur vos prototypes, vous devez prendre en stage chez vous les étudiants du labo et plus, si affinités'. Beaucoup d'embauches ont eu lieu". Mais la plus grande récompense et joie de Christian Vauge est de recevoir régulièrement des nouvelles de ses anciens étudiants.
Pour les syndicalistes de l'université de Créteil, il était "devenu 'un suppôt du patronat' (car) j'avais un contact direct et amical avec des patrons".
Christian Vauge est un universitaire atypique. Jeune, il aime les études. Il obtient une bourse de la SNCF, devient manoeuvre à la gare de Lyon, brosse à la javel les bancs en bois et "n'a qu'une envie : ne pas rester dans la classe ouvrière".
Son père, cheminot passionné par l'aéronautique, le pousse à faire des études techniques : en 5 ans, Christian Vauge devient technicien supérieur en aéronautique. "Mon rêve à l'époque, raconte le candidat, c'était de continuer mais je n'avais pas le bac." Qu'à cela ne tienne : il se présente en candidat libre et l'empoche au bout de 2 ans.
Commence alors une carrière d'universitaire en physique dure.
Il a la chance d'être remarqué par l'académicien Pierre Grivet qui le prend dans son laboratoire à Orsay. Devenu Docteur d'Etat es Sciences en 1973, il reçoit un courrier du Brésil. A l'intérieur, une lettre et un billet d'avion : 'Nous avons eu vent de vos travaux, voici un billet d'avion et une réservation d'hôtel'. Il y va. Le consul de France annonce au cours d'une réunion qu'un poste d'attaché scientifique est vacant depuis 6 mois. Christian Vauge se souvient : "Georges Pompidou, le Président de la République à cette époque, voulait donner l'image d'une France forte, scientifique, et pas que la France des parfums et des fanfreluches".
Il présente sa candidature, rentre à Paris, et avec un peu de sable de la plage de Copacabana, convainc son épouse, institutrice, qui faisait bouillir la marmite, de partir au Brésil.
Installés tous deux à Brasilia, son éposue remontera l'école française qui perdait des élèves pour atteindre une centaine d'inscriptions à la fin de leur séjour.
Lui, est à l'origine "d'une sérieuse économie du programme Ariane" car "au début, la France voulait construire la base de suivi de la fusée le plus proche possible de l'équateur, en plein mer". Il propose la frontière commune entre le Brésil et la Guyane française. Il négocie. Le Brésil accepte : l'installation de la station de poursuite se fait sur la terre ferme.
Son intelligence fait également merveille lorsqu'il s'agit de réimplanter le CNRS au Brésil ou encore de sauver l'Institut Pasteur sur place. C'est décoré de la Légion d'Honneur brésilienne, au grade d'Officier de l'Ordre de la Croix-du-Sud, qu'il quitte ce pays au bout de 4 ans.
Le retour en France au mois de novembre est difficile : "les 6 mois les plus difficiles" raconte-t-il.
Le Brésil achetait à l'Irak son énergie, il est chargé de proposer des énergies renouvelables. C'était pendant le choc pétrolier. Il prend ses fonctions à l'Université d'Orsay, puis demande une nouvelle chaire ailleurs et travaille sur l'environnement et la maîtrise d’énergie.
Lorsqu'il voit "débarquer tous les apparatchik en 1982" au lendemain de la victoire de François Mitterrand avec "les budgets publics qui bénéficiaient surtout à des sites amis", il quitte son poste et candidate pour l'Université Paris XII.
Il enseigne en DUT et DESS (Master 2). Il met au point une formule : 'les labos de l'instrumentation physique' avec pour mission de prendre des contrats auprès d'entreprises d'Ile-de-France pour développer avec ses étudiants leurs logiciels, etc...
"Je mettais ces contrats en forme avec mes collègues et on délivrait un message : 'si vous souhaitez que le labo travaille sur vos prototypes, vous devez prendre en stage chez vous les étudiants du labo et plus, si affinités'. Beaucoup d'embauches ont eu lieu". Mais la plus grande récompense et joie de Christian Vauge est de recevoir régulièrement des nouvelles de ses anciens étudiants.
Pour les syndicalistes de l'université de Créteil, il était "devenu 'un suppôt du patronat' (car) j'avais un contact direct et amical avec des patrons".
La physique et les mathématiques ne trompent pas
Il le reconnaît : il fait de la politique en tant que soutien.
"Il faut tout remettre à plat, faire sortir la Grèce de l'Euro mais en payant une partie de sa dette, ou bien la mettre sous tutelle (...) je crois à une Europe des projets comme Ariane, Airbus, avec des liaisons rapides trans-européennes (...) en devenant député, je remettrai des grands travaux dans les pays avec des problèmes et jusqu'à ce que la situation soit redevenue stable (...) en matière de justice, je demande qu'on applique la loi et pas comme la nouvelle ministre Christiane Taubira qui vient de relaxer tous les jeunes gens qui ont agité des drapeaux étrangers (...)".
L'esprit toujours en alerte, grand-père comblé par des petits-enfants franco-chinois, Christian Vauge voit aussi la politique comme un phénomène physique : "Je ne vois pas d'autre solution que la rupture : quand il y a une pression contenue depuis très longtemps, cela ne peut que craquer, comme dans le phénomène des avalanches, c'est mathématique."
La réponse le 10 juin 2012 où il lui faut atteindre 12,5% des inscrits* pour être au second tour. Si aucun des candidats n'atteint ce seuil, seuls les deux meilleurs scores se retrouveront au second tour.
*Sur une population de 130 237 habitants, la 8e circonscription de Paris compte 80 126 inscrits : 12,5 % des inscrits représentent 10 015 votes.
Article du 11 mai 2012 : Corinne Atlan-Tapiero renonce à se présenter aux élections législatives.
- Laurent Audoin veut faire circuler le savoir.
- François Fillon veut une cohabitation.
- Axel Kahn veut le retour des valeurs humaines.
- Bernard Atlan veut que l'Assemblée nationale arrête le massacre de l'économie française.
- Claire Morel veut une politique axée sur le logement.
- Anne Lebreton soutient toutes les réformes pragmatiques.
- Yvan Blot et le référendum d'initiative populaire.
- Béatrice Lecouturier veut être présente dans l'hémicycle à chaque vote.
- Sylvain Guy "veut créer la surprise" face à Cécile Duflot.
- Lynda Asmani veut retrouver la croissance avec les entrepreneurs.
"Il faut tout remettre à plat, faire sortir la Grèce de l'Euro mais en payant une partie de sa dette, ou bien la mettre sous tutelle (...) je crois à une Europe des projets comme Ariane, Airbus, avec des liaisons rapides trans-européennes (...) en devenant député, je remettrai des grands travaux dans les pays avec des problèmes et jusqu'à ce que la situation soit redevenue stable (...) en matière de justice, je demande qu'on applique la loi et pas comme la nouvelle ministre Christiane Taubira qui vient de relaxer tous les jeunes gens qui ont agité des drapeaux étrangers (...)".
L'esprit toujours en alerte, grand-père comblé par des petits-enfants franco-chinois, Christian Vauge voit aussi la politique comme un phénomène physique : "Je ne vois pas d'autre solution que la rupture : quand il y a une pression contenue depuis très longtemps, cela ne peut que craquer, comme dans le phénomène des avalanches, c'est mathématique."
La réponse le 10 juin 2012 où il lui faut atteindre 12,5% des inscrits* pour être au second tour. Si aucun des candidats n'atteint ce seuil, seuls les deux meilleurs scores se retrouveront au second tour.
*Sur une population de 130 237 habitants, la 8e circonscription de Paris compte 80 126 inscrits : 12,5 % des inscrits représentent 10 015 votes.
Article du 11 mai 2012 : Corinne Atlan-Tapiero renonce à se présenter aux élections législatives.
- Laurent Audoin veut faire circuler le savoir.
- François Fillon veut une cohabitation.
- Axel Kahn veut le retour des valeurs humaines.
- Bernard Atlan veut que l'Assemblée nationale arrête le massacre de l'économie française.
- Claire Morel veut une politique axée sur le logement.
- Anne Lebreton soutient toutes les réformes pragmatiques.
- Yvan Blot et le référendum d'initiative populaire.
- Béatrice Lecouturier veut être présente dans l'hémicycle à chaque vote.
- Sylvain Guy "veut créer la surprise" face à Cécile Duflot.
- Lynda Asmani veut retrouver la croissance avec les entrepreneurs.
Les candidats dans la 8e circonscription de Paris, leur suppléant et le numéro d'emplacement sur les panneaux
1 - VINCENT Clément (DLR : Debout La République) - Suppléante : Aurélie Laversa
2 - CLERGEAULT Philippe - Suppléant : Gonzague Henrys
3 - BEIGBEDER Charles (UMP : Union pour un Mouvement Populaire) - Suppléante : Valérie Montandon
4 - VAUGE Christian (RBM : Rassemblement Bleu Marine) - Suppléante : Martine Hervé
5 - MICUCCI Jérôme - Suppléante : Elisabeth de Firmas
6 - ROUX Yves (NPA : Nouveau Parti Anticapitaliste) - Suppléante : Martine Semel
7 - HILLEREAU Liliane - Suppléante : Marie-Josette Bieulaygue
8 - LATOUR Jean-François - Suppléante : Marie-Christine Raimbault
9 - TOUHAMI Majid - Suppléante : Maria Fernandes
10 - JOCHAUD Aurélie (LO : Lutte Ouvrière) - Suppléante : Diane Bousset
11 - GUYOT Stéphane (Le Parti Blanc)- Suppléante : Solène Sullerot
12 - DAMERVAL François - Suppléante : Alessia Bertoli
13 - CORBIERE Alexis (FG : Front de Gauche) - Suppléante : Catherine Chabot
14 - MARGAIN Franck (PLD : Parti Libéral Démocrate) - Suppléante : Florence Guéry
15 - MAUBERT Marie-José - Suppléant : Denis Steffann
16 - ALTERMATH Marie-Thérèse - Suppléante : Huguette Berg
17 - BATIHE Albert - Suppléant : Jérôme Laffranchi
18 - CANDELON Benjamin - Suppléant : Jean-Baptiste Sabiani
19 - HENIN Patrice - Suppléante : Renée Royer
20 - NAJDOVSKI Christophe (EELV : Europe Ecologie Les Verts) - Suppléante : Florence de Massol
21 - MAZETIER Sandrine (PS : Parti Socialiste) : député sortante - Suppléante : Catherine Baratti-Elbaz
22 - TAPHOUREAU Jean-Marie (CF : Centre pour la France) - Suppléante : Ingrid Leddet
23 - MONEME Yvan (Alliance Centriste) - Suppléant : Emmanuel Gay.
Projections des résultats de l'élection présidentielle 2012 dans la 8e circonscription :
- Projection des résultats du 1er tour dans la 8e circonscription de Paris.
- Projection des résultats du 2e tour dans la 8e circonscription de Paris.
- Les enjeux des élections législatives dans la 8e circonscription.
2 - CLERGEAULT Philippe - Suppléant : Gonzague Henrys
3 - BEIGBEDER Charles (UMP : Union pour un Mouvement Populaire) - Suppléante : Valérie Montandon
4 - VAUGE Christian (RBM : Rassemblement Bleu Marine) - Suppléante : Martine Hervé
5 - MICUCCI Jérôme - Suppléante : Elisabeth de Firmas
6 - ROUX Yves (NPA : Nouveau Parti Anticapitaliste) - Suppléante : Martine Semel
7 - HILLEREAU Liliane - Suppléante : Marie-Josette Bieulaygue
8 - LATOUR Jean-François - Suppléante : Marie-Christine Raimbault
9 - TOUHAMI Majid - Suppléante : Maria Fernandes
10 - JOCHAUD Aurélie (LO : Lutte Ouvrière) - Suppléante : Diane Bousset
11 - GUYOT Stéphane (Le Parti Blanc)- Suppléante : Solène Sullerot
12 - DAMERVAL François - Suppléante : Alessia Bertoli
13 - CORBIERE Alexis (FG : Front de Gauche) - Suppléante : Catherine Chabot
14 - MARGAIN Franck (PLD : Parti Libéral Démocrate) - Suppléante : Florence Guéry
15 - MAUBERT Marie-José - Suppléant : Denis Steffann
16 - ALTERMATH Marie-Thérèse - Suppléante : Huguette Berg
17 - BATIHE Albert - Suppléant : Jérôme Laffranchi
18 - CANDELON Benjamin - Suppléant : Jean-Baptiste Sabiani
19 - HENIN Patrice - Suppléante : Renée Royer
20 - NAJDOVSKI Christophe (EELV : Europe Ecologie Les Verts) - Suppléante : Florence de Massol
21 - MAZETIER Sandrine (PS : Parti Socialiste) : député sortante - Suppléante : Catherine Baratti-Elbaz
22 - TAPHOUREAU Jean-Marie (CF : Centre pour la France) - Suppléante : Ingrid Leddet
23 - MONEME Yvan (Alliance Centriste) - Suppléant : Emmanuel Gay.
Projections des résultats de l'élection présidentielle 2012 dans la 8e circonscription :
- Projection des résultats du 1er tour dans la 8e circonscription de Paris.
- Projection des résultats du 2e tour dans la 8e circonscription de Paris.
- Les enjeux des élections législatives dans la 8e circonscription.