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Le 30 novembre 2010, deux montres pour une valeur totale de 38.800 euros sont dérobées dans une boutique du 6e arrondissement. Des empreintes sont relevées et la vidéoprotection permet d’obtenir un signalement du voleur.
Au cours de l’enquête diligentée par le commissariat local, un policier fait le lien entre cet homme et un avis de vigilance concernant un voleur de montres de valeur dont le signalement correspond en tous points ; il s’était emparé d’une montre d’une valeur de 2 750 euros dans une bijouterie du 2e arrondissement le 16 novembre 2010.
Les empreintes sont identifiées, elles appartiennent à un homme de 42 ans, interpellé le 11 décembre 2010 dans le 8e arrondissement pour recel de vol, il était alors en possession d’une montre de même marque que celle du magasin victime du vol des 2 montres.
Un mandat de recherche est délivré à son encontre le 28 janvier 2011. Il est retrouvé le 14 mars 2011 à Modane (73) où il a été interpellé pour une affaire de faux papiers.
Ramené à Paris, il a reconnu l’ensemble des faits, les justifiant par la nécessité de rembourser des dettes et expliquant que le vol était devenu un vice.
Déféré le 15 mars 2011 en soirée, il devait être jugé en comparution immédiate.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.
Au cours de l’enquête diligentée par le commissariat local, un policier fait le lien entre cet homme et un avis de vigilance concernant un voleur de montres de valeur dont le signalement correspond en tous points ; il s’était emparé d’une montre d’une valeur de 2 750 euros dans une bijouterie du 2e arrondissement le 16 novembre 2010.
Les empreintes sont identifiées, elles appartiennent à un homme de 42 ans, interpellé le 11 décembre 2010 dans le 8e arrondissement pour recel de vol, il était alors en possession d’une montre de même marque que celle du magasin victime du vol des 2 montres.
Un mandat de recherche est délivré à son encontre le 28 janvier 2011. Il est retrouvé le 14 mars 2011 à Modane (73) où il a été interpellé pour une affaire de faux papiers.
Ramené à Paris, il a reconnu l’ensemble des faits, les justifiant par la nécessité de rembourser des dettes et expliquant que le vol était devenu un vice.
Déféré le 15 mars 2011 en soirée, il devait être jugé en comparution immédiate.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.