Afin d’appliquer la loi sur le Grenelle de l’environnement qui promeut l’économie d’énergie, la société EDF choisit de commercialiser des boîtiers qui lui sont proposés par Voltalis, censés arrêter automatiquement certains appareils électriques.
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EDF, contrainte de rémunérer l’offre de Voltalis, « réclame une taxe pour le manque à gagner », une faveur finalement accordée par la Commission de régulation de l’énergie (CRE) lors de sa délibération le 9 juillet dernier. Cette taxe qu’elle qualifie de « prime au gaspillage » ne fait qu’accroître les critiques contre le groupe.