C’est beau l’esprit de Noël… Aujourd’hui j’aimerais revenir sur les propos d’Edith Lecoq, responsable du pôle événement au sein du bureau du maire du 6ème, à notre encontre, le 24 décembre après-midi sous la tente gratuite offerte par la mairie à 29 congrégations religieuses de l’arrondissement, pour les faire connaître et donner un supplément d’âme au Marché de Noël de la Place Saint-Sulpice.
Elle nous demande des droits de réponse sur tous les articles, y compris ceux où elle n’est pas cité, et qu’elle puisse viser tous les articles qui parlent du 6ème… le journal en ligne n’aurait donc pas le droit de vivre.
Il ne faut pas lui en vouloir à Edith, ce n’est pas une mauvaise bougresse. C'est juste que ne connaissant pas les journalistes, elle a du mal à aller au-devant d'eux, à répondre aux questions simplement, à ne pas couper la parole, à ne pas déformer les propos, à être patiente et douce.
Elle n’est pas habituée, c’est tout.
C’est vrai, quoi : quand le quotidien Le Parisien publie cinq lignes tous les deux mois sur le 6ème arrondissement, pourquoi publierions-nous un article tous les deux jours ? Et puis, pourquoi s’intéresser à la vie locale ?
Non, il ne faut pas lui en vouloir, elle s’est juste trompé de siècle. Directrice autoproclamée « de l’information et de la communication dans le 6ème », elle entre et sort sans prévenir, comme dans un vieux colombier, dans le bureau du maire où elle a ses entrées.
Avis aux confrères : ce serait bien que les médias cessent de s’intéresser à la vie locale si Edith Lecoq n'a aucun droit de regard sur les articles, surtout si en 2014 elle se présente aux municipales ! Au diable donc journalistes de Paris Tribune, liberté de la presse, questions, opinions, conditions et physiques différents.
Il est loin le temps où, jeune fonctionnaire célibataire, elle travaillait à la gestion du courrier au cabinet de Jacques Chirac, Maire de Paris. Elle a fait tous les services de l’Hôtel de Ville qu’elle connaît comme sa poche. Une femme « remarquable » aux états de services « extraordinaires ».
Il ne faut pas lui en vouloir à Edith, ce n’est pas une mauvaise bougresse. C'est juste que ne connaissant pas les journalistes, elle a du mal à aller au-devant d'eux, à répondre aux questions simplement, à ne pas couper la parole, à ne pas déformer les propos, à être patiente et douce.
Elle n’est pas habituée, c’est tout.
C’est vrai, quoi : quand le quotidien Le Parisien publie cinq lignes tous les deux mois sur le 6ème arrondissement, pourquoi publierions-nous un article tous les deux jours ? Et puis, pourquoi s’intéresser à la vie locale ?
Non, il ne faut pas lui en vouloir, elle s’est juste trompé de siècle. Directrice autoproclamée « de l’information et de la communication dans le 6ème », elle entre et sort sans prévenir, comme dans un vieux colombier, dans le bureau du maire où elle a ses entrées.
Avis aux confrères : ce serait bien que les médias cessent de s’intéresser à la vie locale si Edith Lecoq n'a aucun droit de regard sur les articles, surtout si en 2014 elle se présente aux municipales ! Au diable donc journalistes de Paris Tribune, liberté de la presse, questions, opinions, conditions et physiques différents.
Il est loin le temps où, jeune fonctionnaire célibataire, elle travaillait à la gestion du courrier au cabinet de Jacques Chirac, Maire de Paris. Elle a fait tous les services de l’Hôtel de Ville qu’elle connaît comme sa poche. Une femme « remarquable » aux états de services « extraordinaires ».
Edith Leco au Marché de Noël place Saint Sulpice.
Désormais, loin, très loin de la Place de l’Hôtel de Ville, exilée dans un ancien pigeonnier dans l’arrondissement de son époux à qui elle lie son destin le 18 octobre 1985 pour le meilleur et pour le pire, elle serait très heureuse de travailler dans un 6ème où aucun journaliste n’assisterait aux réunions publiques, pour s’intéresser à la vie locale, pour poser des questions même les plus osées, bref, un monde où les journalistes ne feraient qu’écrire que le 6ème sans Edith, ce ne serait plus tout à fait le 6ème.
Face à notre parution sur Internet depuis février 2009, elle se verrait sans doute bien à la tête d’un journal dédié exclusivement à ses activités.
Ce n’est pas compliqué, il suffit de parler de tout ce qu'elle fait et elle en fait beaucoup pour un maigre mi-temps, un exemple d'exploitation de la femme à ne pas suivre par les jeunes femmes aujourd'hui : les pique-niques (la 2ème édition du pique-nique familial du 6ème aux couleurs rose et orange que nous avons couvert au mois de juin 2009, c’est pour bientôt), les voisins, la culture, les livres. Très important les livres dans un arrondissement qui compte plus de deux cents maisons d’édition.
Ah ! Edith... un prénom qui claque, peu propice aux diminutifs ridicules. Edith piaffe d’impatience. Tandis qu’elle se démène sans compter pour dynamiser l'arrondissement, organiser des événements, elle rêve que les habitants viennent à elle, lui proposent des idées pour améliorer tout ce qui peut l’être, et l’aident à créer toujours plus d’associations.
Vous l’avez compris, Edith Lecoq sait y faire : elle tolère et il n’y a pas de problème Edith Lecoq avec la presse dans le 6ème.
Face à notre parution sur Internet depuis février 2009, elle se verrait sans doute bien à la tête d’un journal dédié exclusivement à ses activités.
Ce n’est pas compliqué, il suffit de parler de tout ce qu'elle fait et elle en fait beaucoup pour un maigre mi-temps, un exemple d'exploitation de la femme à ne pas suivre par les jeunes femmes aujourd'hui : les pique-niques (la 2ème édition du pique-nique familial du 6ème aux couleurs rose et orange que nous avons couvert au mois de juin 2009, c’est pour bientôt), les voisins, la culture, les livres. Très important les livres dans un arrondissement qui compte plus de deux cents maisons d’édition.
Ah ! Edith... un prénom qui claque, peu propice aux diminutifs ridicules. Edith piaffe d’impatience. Tandis qu’elle se démène sans compter pour dynamiser l'arrondissement, organiser des événements, elle rêve que les habitants viennent à elle, lui proposent des idées pour améliorer tout ce qui peut l’être, et l’aident à créer toujours plus d’associations.
Vous l’avez compris, Edith Lecoq sait y faire : elle tolère et il n’y a pas de problème Edith Lecoq avec la presse dans le 6ème.