La revue de presse de Paris Tribune
La Mairie de Paris confirme l'information publiée dans le "Canard enchaîné" le 25 août 2010.
Dans son édition, "Le Canard enchaîné" enfonce le clou. L'information publiée le 28 juillet, provoquant des "démentis almabiqués et mollassons" de l'UMP, est confirmée.
"Le Parisien" du 25 août annonce que "la Mairie de Paris a confirmé hier (24 août, ndlr) l'information parue dans Le Canard enchaîné" (le 25 août, ndlr !)
L'UMP s'engagerait à rembourser à la ville de Paris les 3/4 (soit 1.650.000 euros) de l'indemnité pour le préjudice subi par la Mairie de Paris en raison des emplois fictifs, et Jacques Chirac le 1/4 (soit 550.000 euros). En échange du retrait par la ville de Paris de sa constitution de partie civile dans le procès renvoyé en correctionnelle contre l'ancien maire. Le montant total de l'indemnité est de 2.200.000 euros pour rembourser à la ville, entre autres, les salaires et les charges des salariés fictifs. Une somme qui "n'est pas négociable" par l'Hôtel de ville, précise "Le Canard enchaîné", indiquant que "l'approbation finale de Chirac et de l'UMP n'est pas tout-à-fait acquise". Les raisons : le refus de "l'idée d'une indemnisation qui serait interprétée comme un aveu de culpabilité" et le coût d'une "initiative qui devrait amputer de plus de 3% le budget annuel de l'UMP".
"Le Figaro" du 25 août confirme également le protocole d'accord qui "devrait être soumis au prochain Conseil de Paris".
Rendez-vous les 27 et 28 septembre pour un vote majoritaire à gauche. Selon l'adage, un bon vote vaut mieux qu'un mauvais procès.
Dans son édition, "Le Canard enchaîné" enfonce le clou. L'information publiée le 28 juillet, provoquant des "démentis almabiqués et mollassons" de l'UMP, est confirmée.
"Le Parisien" du 25 août annonce que "la Mairie de Paris a confirmé hier (24 août, ndlr) l'information parue dans Le Canard enchaîné" (le 25 août, ndlr !)
L'UMP s'engagerait à rembourser à la ville de Paris les 3/4 (soit 1.650.000 euros) de l'indemnité pour le préjudice subi par la Mairie de Paris en raison des emplois fictifs, et Jacques Chirac le 1/4 (soit 550.000 euros). En échange du retrait par la ville de Paris de sa constitution de partie civile dans le procès renvoyé en correctionnelle contre l'ancien maire. Le montant total de l'indemnité est de 2.200.000 euros pour rembourser à la ville, entre autres, les salaires et les charges des salariés fictifs. Une somme qui "n'est pas négociable" par l'Hôtel de ville, précise "Le Canard enchaîné", indiquant que "l'approbation finale de Chirac et de l'UMP n'est pas tout-à-fait acquise". Les raisons : le refus de "l'idée d'une indemnisation qui serait interprétée comme un aveu de culpabilité" et le coût d'une "initiative qui devrait amputer de plus de 3% le budget annuel de l'UMP".
"Le Figaro" du 25 août confirme également le protocole d'accord qui "devrait être soumis au prochain Conseil de Paris".
Rendez-vous les 27 et 28 septembre pour un vote majoritaire à gauche. Selon l'adage, un bon vote vaut mieux qu'un mauvais procès.