Les Verts, avec le soutien du PS, ont réussi à ravir un siège de député à l'UMP avec 51,72% des suffrages exprimés (15 198 voix) contre 48,28% % pour le candidat de l'UMP (14 104 voix).
La candidate d'Europe Ecologie était arrivée en tête du premier tour dans la 10eème circonscription des Yvelines le 4 juillet avec 42,62% des suffrages exprimés, soit 11 420 voix, contre 10 909 voix, soit 40,71% des suffrages pour le candidat UMP. Elle bat le candidat UMP Jean-Frédéric Poisson qui remplaçait Christine Boutin. Le taux de participation, de 26,75% au premier tour, a été de 29,42%% au second.
Le nombre de députés écologistes passe de trois à quatre. Anny Poursinoff rejoint Yves Cochet, François de Rugy et Noël Mamère qui font partie du groupe de la gauche démocrate et républicaine (GDR) qui rassemble les communistes, les écologistes, les élus du Parti de Gauche et des divers gauche.
L'élection le 27 septembre 2009 de Jean-Frédéric Poisson, en remplacement de Christine Boutin (UMP), alors ministre du Logement, a été avait été invalidée le 20 mai par le Conseil constitutionnel. Il avait ramené l'avance du candidat UMP de 5 à une voix. Débarquée du gouvernement, elle avait préféré ne pas retrouver son siège de député pour se consacrer à son parti politique.
La candidate d'Europe Ecologie était arrivée en tête du premier tour dans la 10eème circonscription des Yvelines le 4 juillet avec 42,62% des suffrages exprimés, soit 11 420 voix, contre 10 909 voix, soit 40,71% des suffrages pour le candidat UMP. Elle bat le candidat UMP Jean-Frédéric Poisson qui remplaçait Christine Boutin. Le taux de participation, de 26,75% au premier tour, a été de 29,42%% au second.
Le nombre de députés écologistes passe de trois à quatre. Anny Poursinoff rejoint Yves Cochet, François de Rugy et Noël Mamère qui font partie du groupe de la gauche démocrate et républicaine (GDR) qui rassemble les communistes, les écologistes, les élus du Parti de Gauche et des divers gauche.
L'élection le 27 septembre 2009 de Jean-Frédéric Poisson, en remplacement de Christine Boutin (UMP), alors ministre du Logement, a été avait été invalidée le 20 mai par le Conseil constitutionnel. Il avait ramené l'avance du candidat UMP de 5 à une voix. Débarquée du gouvernement, elle avait préféré ne pas retrouver son siège de député pour se consacrer à son parti politique.