(c) TdP : A l'angle de la rue du Vieux Colombier, la rue Madâme et la rue Bonaparte ont été le théâtre de violences inouïes
La sortie du bal des pompiers rue du Vieux Colombier a été un peu "sévère". Une belle ambiance régnait jusqu'à l'annonce de la fin des festivités un peu avant 4h le matin du 15 juillet. Contrairement à la soirée du 14 juillet, Paris était, en raison de la pluie, désert. Les rues du 6ème arrondissement ne dérogeaient pas à la règle. Dès 3h50, tout le monde commençait à sortir de la caserne. Personne n'avait encore remarqué qu'une cinquantaine de scooters, avec 1 scootériste et 1 passager chacun, prenaient place petit à petit dans la zone.
Vers 4h30, la centaine de personnes, venues selon toute vraisemblance de l'extérieur de Paris, attaquent les hommes en uniforme. Une guerre de rue d'une violence inouïe s'engage alors entre des individus prêts à en découdre et les forces de l'ordre : dans la rue Madâme, celle du Vieux Colombier et dans la rue Bonaparte.
Les forces de police sont mises en difficullté. Un appel général est lancé. Quelques minutes plus tard, pas moins de 150 personnes se battent violemment. Plusieurs personnes se font "étaler" et des blessés sont à déplorer du côté des policiers.
Témoin de la scène, P. , choqué, l'affirme : "Seule une intervention militaire parviendra à régler le phénomène de bandes scélérates bien organisées qui terrorisent le peuple. Mais que fait l'Etat ?"
Les forces de police sont mises en difficullté. Un appel général est lancé. Quelques minutes plus tard, pas moins de 150 personnes se battent violemment. Plusieurs personnes se font "étaler" et des blessés sont à déplorer du côté des policiers.
Témoin de la scène, P. , choqué, l'affirme : "Seule une intervention militaire parviendra à régler le phénomène de bandes scélérates bien organisées qui terrorisent le peuple. Mais que fait l'Etat ?"
(c) TdP : La portion de la rue du Vieux Colombier, comprise entre la Place Saint-Sulpice et la rue de Rennes, a été le siège d'une véritable guerre