Opération Paris qui Sauve place de l'Hôtel de Ville de Paris les 24 et 25 mars 2018 © DR
L'opération d'initiation aux premiers gestes de secours place de l'Hôtel de Ville dans le 4e arrondissement de Paris vient de fermer ses portes après une fin de semaine riche en émotions.
Dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 mars 2018, un individu débranche les câbles électriques de l'installation « Paris qui sauve ».
La personne est interceptée quelques minutes après son geste puis conduite au commissariat du 4e arrondissement.
La personne est interceptée quelques minutes après son geste puis conduite au commissariat du 4e arrondissement.
« Un samedi qui sauve » transformé en « Samedi qui sauve » et « Paris qui sauve »
Mise en place par la Mairie de Paris sous l'appellation « Un samedi qui sauve » suite à un voeu unanime des élus au conseil de Paris en décembre 2015 « en souvenir du samedi 14 novembre 2015 », suite aux attentats du 13 novembre 2015, l'opération voit son nom évoluer en « Paris qui sauve ».
Le premier « Paris qui sauve » est organisé par la Protection civile de Paris avec la Croix-Rouge lors des opérations Paris Plage.
Le « Samedi qui sauve » utilisé sur les réseaux sociaux en 2018, fait suite à l'appellation « Un samedi qui sauve » utilisé en 2016 et 2017 ; il semble désormais utilisé pour l'organisation de l'événement dans les mairies d'arrondissement.
La première édition d' « Un samedi qui sauve » s'est tenue le samedi 26 mars 2016. Quelques jours avant, des attentats frappent Bruxelles le 22 mars. Bilan : 21 morts. Salah Abdelslam venait d'être arrêté le 18 mars dans la capitale belge grâce à une commande anormalement élevée en pizzas. Le Bourgmestre de Bruxelles est l'invité surprise du conseil de Paris de mars.
La deuxième édition d' « Un samedi qui sauve » s'est tenue le samedi 28 janvier 2017. Quelques jours après, une « attaque terroriste », selon les propres mots du Premier ministre, est perpétrée au Carrousel du Louvre dans le 1er arrondissement de Paris contre des militaires de l'opération Sentinelle. Bilan : un militaire est blessé, et le terroriste, un Egyptien âgé de 29 ans, est blessé grièvement suite à un coup de feu d'un militaire non touché.
La troisième édition d'« Un samedi qui sauve » est rebaptisée en « Samedi qui sauve » et « Paris qui sauve ». Elle a lieu le lendemain d'un attentat terroriste dans l'Aude (11). Bilan : 4 morts et une quinzaine de blessés.
Selon les informations recueillies par Paris Tribune, la personne ayant débranché la nuit les câbles électriques lors de l'opération « Paris qui sauve » serait un « homme fortement alcoolisé ». La rédaction n'en saura pas plus alors qu'il existe une différence entre « être alcoolisé » ou « être ivre », ce deuxième cas de figure indiquant la possibilité de représenter un danger pour soi-même ou pour autrui.
Le premier « Paris qui sauve » est organisé par la Protection civile de Paris avec la Croix-Rouge lors des opérations Paris Plage.
Le « Samedi qui sauve » utilisé sur les réseaux sociaux en 2018, fait suite à l'appellation « Un samedi qui sauve » utilisé en 2016 et 2017 ; il semble désormais utilisé pour l'organisation de l'événement dans les mairies d'arrondissement.
La première édition d' « Un samedi qui sauve » s'est tenue le samedi 26 mars 2016. Quelques jours avant, des attentats frappent Bruxelles le 22 mars. Bilan : 21 morts. Salah Abdelslam venait d'être arrêté le 18 mars dans la capitale belge grâce à une commande anormalement élevée en pizzas. Le Bourgmestre de Bruxelles est l'invité surprise du conseil de Paris de mars.
La deuxième édition d' « Un samedi qui sauve » s'est tenue le samedi 28 janvier 2017. Quelques jours après, une « attaque terroriste », selon les propres mots du Premier ministre, est perpétrée au Carrousel du Louvre dans le 1er arrondissement de Paris contre des militaires de l'opération Sentinelle. Bilan : un militaire est blessé, et le terroriste, un Egyptien âgé de 29 ans, est blessé grièvement suite à un coup de feu d'un militaire non touché.
La troisième édition d'« Un samedi qui sauve » est rebaptisée en « Samedi qui sauve » et « Paris qui sauve ». Elle a lieu le lendemain d'un attentat terroriste dans l'Aude (11). Bilan : 4 morts et une quinzaine de blessés.
Selon les informations recueillies par Paris Tribune, la personne ayant débranché la nuit les câbles électriques lors de l'opération « Paris qui sauve » serait un « homme fortement alcoolisé ». La rédaction n'en saura pas plus alors qu'il existe une différence entre « être alcoolisé » ou « être ivre », ce deuxième cas de figure indiquant la possibilité de représenter un danger pour soi-même ou pour autrui.
Le samedi 24 et le dimanche 25 mars 2018, participez à l’initiative parisienne « Paris qui sauve », indique la Mairie de Paris.
Le samedi 24 mars 2018, participez à l’initiative parisienne un « Samedi qui sauve » indique la Mairie de Paris.
En savoir plus
Le premier rendez-vous des Semaines parisiennes de la santé débutent avec le week-end « Paris qui sauve » :
Les semaines parisiennes de la santé 2018. Semaines parisiennes de la santé : colloque ouvert au public sur la pollution de l'air à Paris à l'Hôtel de Ville.