Vers 15h, les premiers maillots jaunes de « l’équipe » Rynkeby débarquent sur la place de la Concorde. C’est la cohue parmi les danois rassemblés, tout le monde vient acclamer cet équipage mené par le ministre d’Etat en personne. Celui-ci, étonnament accessible, est parmi les premiers à descendre de son vélo, retirant casque et lunettes de soleil. M. Rasmussen semble s’être défait de tous ses oripeaux d’homme politique pour n’être qu’un cycliste parmi les autres, si l’on excepte son maillot distinctif, rouge frappé de la croix blanche du Danemark.
Chaleureux, simple, sirotant une bière pour se désaltérer, M. Rasmussen a répondu dans un anglais irréprochable aux quelques questions de huitiemetribune.fr :
Huitieme Tribune : M. le Premier Ministre, qu’est-ce qui vous a amené à vous investir personnellement dans ce défi ?
M. Lars Rasmussen : Eh bien, pour deux raisons majeures. L’une, et la principale, pour la cause des enfants malades. L’autre, afin de m’entraîner et rester en forme !
Pourquoi Paris comme destination ?
M. Lars Rasmussen : En fait, tout a commencé il y a 6 ans. Une dizaine de personnes de Rynkeby, sur l’île de Fyn, s’était lancé le défi de faire le voyage jusqu’à Paris à vélo, et d’assister à l’arrivée du Tour de France. Le projet a rassemblé de plus en plus d’enthousiastes chaque année.
Comment vous-sentez vous après ce périple ? Fatigué ?
M. Lars Rasmussen : C’est la troisième fois que je participe à cet évènement, et je me sens aussi bon que les années précédentes. Même avec la vague de chaleur que nous avons eu à supporter depuis la Belgique jusqu’à Paris.
Allez-vous assister à l’arrivée du Tour de France en tant qu’officiel ?
M. Lars Rasmussen : Oui, j’y assisterai dans la tribune Saxo Bank (NDRL sponsor de l’équipe Riis, « l’équipe Saxo Bank »).
Mis à part vos participations aux courses des années précédentes, êtes-vous venu en France dans d’autres circonstances ?
M. Lars Rasmussen : Bien sûr, je suis venu avec ma famille y passer des vacances, nous adorons la France ! Nous apprécions beaucoup Paris et la Côte d’Azur. Ma femme est venue, ainsi que mon fils aîné, qui a 19 ans et participait comme moi à la course. Mon fils Simon ici même a aidé au staff d’organisation.
Merci pour vos réponses M. le Ministre.
M. Lars Rasmussen : Merci à vous.
Huitieme Tribune : M. le Premier Ministre, qu’est-ce qui vous a amené à vous investir personnellement dans ce défi ?
M. Lars Rasmussen : Eh bien, pour deux raisons majeures. L’une, et la principale, pour la cause des enfants malades. L’autre, afin de m’entraîner et rester en forme !
Pourquoi Paris comme destination ?
M. Lars Rasmussen : En fait, tout a commencé il y a 6 ans. Une dizaine de personnes de Rynkeby, sur l’île de Fyn, s’était lancé le défi de faire le voyage jusqu’à Paris à vélo, et d’assister à l’arrivée du Tour de France. Le projet a rassemblé de plus en plus d’enthousiastes chaque année.
Comment vous-sentez vous après ce périple ? Fatigué ?
M. Lars Rasmussen : C’est la troisième fois que je participe à cet évènement, et je me sens aussi bon que les années précédentes. Même avec la vague de chaleur que nous avons eu à supporter depuis la Belgique jusqu’à Paris.
Allez-vous assister à l’arrivée du Tour de France en tant qu’officiel ?
M. Lars Rasmussen : Oui, j’y assisterai dans la tribune Saxo Bank (NDRL sponsor de l’équipe Riis, « l’équipe Saxo Bank »).
Mis à part vos participations aux courses des années précédentes, êtes-vous venu en France dans d’autres circonstances ?
M. Lars Rasmussen : Bien sûr, je suis venu avec ma famille y passer des vacances, nous adorons la France ! Nous apprécions beaucoup Paris et la Côte d’Azur. Ma femme est venue, ainsi que mon fils aîné, qui a 19 ans et participait comme moi à la course. Mon fils Simon ici même a aidé au staff d’organisation.
Merci pour vos réponses M. le Ministre.
M. Lars Rasmussen : Merci à vous.
Lars Rasmussen, Premier ministre du Royaume du Danemark