Jean-Louis Borloo, venu souhaiter la bonne année aux élus UDI de Paris et d'Ile-de-France réunis à l'Hôtel de Ville de Paris, s'éloigne de ses propos et en dit plus sur ce qui va se passer à Paris d'ici 4 à 6 semaines.
Les points sur les i
L'ancien ministre de 2002 à 2010 et actuel député du Nord ne croit plus aux anciennes façons de désigner un candidat unique pour représenter la droite et le centre droit.
Dans une salle comble, devant quelques élus UMP et du Modem, il discute du "comment jusqu'à présent ça s'est passé" et prend en exemple Bertrand Delanoë, une façon de tâcler des élus parisiens de droite : "Delanoë il n'était pas connu... et c'est lui qui a gagné car il a fait un travail sérieux de terrain dans chaque arrondissement".
Il en est persuadé "ça se jouera à un conseiller de Paris près" et n'a qu'un objectif :
"(...) Stratégie de reconquête de Paris : Paris c'est 20 élections dans 20 communes et une stratégie de métropole. C'est 20 élections dans 20 communes.
Le système que nous avons bien connu... avec des gens de qualité... ou quelques temps plus tôt, il y a une espèce de désignation, comme ça, plus ou moins par sondage interposé d'une formation politique et puis quelques centristes viennent discuter pour voir s'ils peuvent peser un peu à la marge... c'est l'échec garanti".
Dans une salle comble, devant quelques élus UMP et du Modem, il discute du "comment jusqu'à présent ça s'est passé" et prend en exemple Bertrand Delanoë, une façon de tâcler des élus parisiens de droite : "Delanoë il n'était pas connu... et c'est lui qui a gagné car il a fait un travail sérieux de terrain dans chaque arrondissement".
Il en est persuadé "ça se jouera à un conseiller de Paris près" et n'a qu'un objectif :
"(...) Stratégie de reconquête de Paris : Paris c'est 20 élections dans 20 communes et une stratégie de métropole. C'est 20 élections dans 20 communes.
Le système que nous avons bien connu... avec des gens de qualité... ou quelques temps plus tôt, il y a une espèce de désignation, comme ça, plus ou moins par sondage interposé d'une formation politique et puis quelques centristes viennent discuter pour voir s'ils peuvent peser un peu à la marge... c'est l'échec garanti".
"De deux choses l'une : ou les valeurs que nous représentons, les valeurs centristes, européennes, ouvertes à l'autre, décentralisatrices, sociales, républicaines... ou ces valeurs sont indispensables à Paris ou nous sommes un strict condiment local.
Ca ne se pose pas en d'autres termes le sujet.
Et si nos partenaires, puisque nous sommes dans la même coalition... ils pensent qu'ils peuvent faire sans nous, ou avec juste un individu de chez nous qui viendrait... et bien tout ça n'a aucun sens.
Mes amis, ce que je vous propose, c'est que nous rentrions dans un débat clair des états généraux de la reconquête, transparents, ouverts, avec nos partenaires de l'UMP, dans chaque arrondissement... que tout ceci reparte de la base... que nous discutions à ce moment-là, chef de file UMP désigné, chef de file UDI désigné... avec ses équipes.
Et pour l'UDI, cela sera fait en concertation entre le bureau national et la fédération de Paris (...)
Interviewé à l'issue de son discours, le président du Parti radical et de l'Union des démocrates et indépendants (UDI) précise : "c'est le chef de file dans la discussion avec l'UMP".
Sera-t-il candidat pour être ce chef de file là ?
"On verra, on a quelques talents quand même, j'ai quelques idées sur la question... mais moi je ne peux pas être... on me demande d'être à Toulouse, à Lille (...) moi je veux bien qu'on utilise mon nom partout, mais après... non, faut pas charrier..."
Jean-Louis Borloo pense à quelqu'un mais à qui ?
La réponse dans 4 à 6 semaines.
Ca ne se pose pas en d'autres termes le sujet.
Et si nos partenaires, puisque nous sommes dans la même coalition... ils pensent qu'ils peuvent faire sans nous, ou avec juste un individu de chez nous qui viendrait... et bien tout ça n'a aucun sens.
Mes amis, ce que je vous propose, c'est que nous rentrions dans un débat clair des états généraux de la reconquête, transparents, ouverts, avec nos partenaires de l'UMP, dans chaque arrondissement... que tout ceci reparte de la base... que nous discutions à ce moment-là, chef de file UMP désigné, chef de file UDI désigné... avec ses équipes.
Et pour l'UDI, cela sera fait en concertation entre le bureau national et la fédération de Paris (...)
Interviewé à l'issue de son discours, le président du Parti radical et de l'Union des démocrates et indépendants (UDI) précise : "c'est le chef de file dans la discussion avec l'UMP".
Sera-t-il candidat pour être ce chef de file là ?
"On verra, on a quelques talents quand même, j'ai quelques idées sur la question... mais moi je ne peux pas être... on me demande d'être à Toulouse, à Lille (...) moi je veux bien qu'on utilise mon nom partout, mais après... non, faut pas charrier..."
Jean-Louis Borloo pense à quelqu'un mais à qui ?
La réponse dans 4 à 6 semaines.
This browser does not support the video element.
Articles :
- 29 janvier 2013 : Yves Pozzo di Borgo prône un changement d'équipe municipale en 2014.
- Brève du 29 janvier 2013 : Confidentiel.
- 29 janvier 2013 : Yves Pozzo di Borgo prône un changement d'équipe municipale en 2014.
- Brève du 29 janvier 2013 : Confidentiel.