Une facture de 2 500 000 €, c'est le coût du Vélib 2 ans et demi après son lancement par la Ville de Paris. Jean-Pierre Lecoq en est convaincu : les modalités du dispositif Vélib ont été prises à la légère par la Mairie, négligeant les risques de vandalisme et s'entêtant à renouveler par la surenchère le parc de vélos. Des Vélib sont retouvés à Marrakech et "bientôt à Katmandou ?", interroge l'élu UMP.
Jean-Pierre Lecoq, Conseiller de Paris depuis 1993
Il n'hésite pas à tenter un nouveau slogan pour contrer l'actuelle campagne de publicité, moquée par ailleurs par Laurence Douvin Conseiller de Paris du 17e arrondissement dans son intervention sur le même sujet ("d'un ridicule achevé et inefficace"), avec un tonitruant :
"Vélos brisés ! Vélos volés ! Vélos martyrisés ! Vélos outragés !" S'il ne reconnaît pas publiquement les avantages de Vélib depuis l'été 2007 pour les parisiens, le maire du 6e salue le "léger progrès dans la transparence" de l'Hôtel de Ville qui soumet à l'assemblée des conseillers la signature d'un avenant au marché et la signature avec Somupi d'un protocole autorisant un intéressement de la société aux bénéfices futurs de Vélib.
L'absence de méthode "a priori" lui fait surtout craindre le pire pour le dispositif Autolib.
"Vélos brisés ! Vélos volés ! Vélos martyrisés ! Vélos outragés !" S'il ne reconnaît pas publiquement les avantages de Vélib depuis l'été 2007 pour les parisiens, le maire du 6e salue le "léger progrès dans la transparence" de l'Hôtel de Ville qui soumet à l'assemblée des conseillers la signature d'un avenant au marché et la signature avec Somupi d'un protocole autorisant un intéressement de la société aux bénéfices futurs de Vélib.
L'absence de méthode "a priori" lui fait surtout craindre le pire pour le dispositif Autolib.