Fuyant l’invasion japonaise, la famille se retrouve à Hong Kong. Yin Zing Luk se refugie dans les nouveaux territoires à Kam Tin (qui signifie champs d’or et d’argent).
Les « meubles bijoux » : Kam Tin s'exposent à la 88 Gallery Paris du 13 mars au 30 avril 2014 avec un vernissage le jeudi 13 mars.
A cette époque, la fortune familiale est conservée dans un coffret à bijoux recouvert de turquoises, objet précieux et jalousement gardé, dont s’inspira plus tard le jeune Yin Zing.
Après la guerre, la famille retrouve son aisance et Yin Zing part en Angleterre pendant trois ans, puis revient à Hong Kong. L’affaire familiale prospère et le jeune homme n’a pas besoin de travailler. Passionné par la poésie, l’architecture et le design, il crée des meubles et des objets. Il voue également un véritable amour aux pierres dures, dont il s’amuse à orner quelques meubles de sa fabrication destinés à une clientèle chinoise passionnée par la symbolique des pierres : source de prospérité et de chance…
Faisant appel aux meilleurs artisans, Yin Zing crée ainsi quelques pièces uniques, en laiton doré, ornées de cabochons ou de pierres taillées. Cette production devient une collection privée et familiale. Le milieu des années 80 marque la fin de l’aventure avec le décès du fondateur de Kam Tin en 1989.
En 2008, après de nombreux voyages à Hong Kong, le galeriste Philippe Rapin décide de racheter Kam Tin, afin de relancer la production, de restaurer les meubles vintage et de présenter ces pièces au sein de sa galerie parisienne, la 88-Gallery, située 25 Quai Voltaire dans le 7e arrondissement.
L’agate, l’ambre, la turquoise, l’émeraude, la pyrite ou le cristal de roche... Rien n’est trop rare pour Kam Tin, la marque de «meubles bijoux», dont le mobilier d’exception est réalisé dans un atelier en Allemagne, grâce au savoir-faire d’artisans, avec un choix de pierres venant de Chine, d’Inde, de Corée ou encore de Russie.
Tables, consoles, cabinets... fascinent les collectionneurs et les amateurs de curiosités du monde entier.
Après la guerre, la famille retrouve son aisance et Yin Zing part en Angleterre pendant trois ans, puis revient à Hong Kong. L’affaire familiale prospère et le jeune homme n’a pas besoin de travailler. Passionné par la poésie, l’architecture et le design, il crée des meubles et des objets. Il voue également un véritable amour aux pierres dures, dont il s’amuse à orner quelques meubles de sa fabrication destinés à une clientèle chinoise passionnée par la symbolique des pierres : source de prospérité et de chance…
Faisant appel aux meilleurs artisans, Yin Zing crée ainsi quelques pièces uniques, en laiton doré, ornées de cabochons ou de pierres taillées. Cette production devient une collection privée et familiale. Le milieu des années 80 marque la fin de l’aventure avec le décès du fondateur de Kam Tin en 1989.
En 2008, après de nombreux voyages à Hong Kong, le galeriste Philippe Rapin décide de racheter Kam Tin, afin de relancer la production, de restaurer les meubles vintage et de présenter ces pièces au sein de sa galerie parisienne, la 88-Gallery, située 25 Quai Voltaire dans le 7e arrondissement.
L’agate, l’ambre, la turquoise, l’émeraude, la pyrite ou le cristal de roche... Rien n’est trop rare pour Kam Tin, la marque de «meubles bijoux», dont le mobilier d’exception est réalisé dans un atelier en Allemagne, grâce au savoir-faire d’artisans, avec un choix de pierres venant de Chine, d’Inde, de Corée ou encore de Russie.
Tables, consoles, cabinets... fascinent les collectionneurs et les amateurs de curiosités du monde entier.
Crédit photo : Kam Tin.