L’APC a vu le jour à l’initiative de la ville de Paris et de la région Ile-de-France, mais compte également dans ses membres fondateurs les entreprises concernées par le transport et l’énergie dans la capitale comme EDF et la RATP. Elle s’est donnée comme mission l’accompagnement des Parisiens dans la transition énergétique de leur ville, avec un objectif plus global de lutte contre le réchauffement climatique.
Paris fait figure d’exemple en France et en Europe dans tant elle a déjà mis en œuvre des politiques publiques ambitieuses pour réduire l’empreinte carbone de la ville. L’administration municipale s’est efforcée depuis le début des années 2000 à développer les transports publics, à rénover les bâtiments pour améliorer leur performance énergétique, à mettre en place la gestion des déchets, etc. Et les résultats sont plus que positifs: une étude d’Airparif réalisée entre 2002 et 2012 indique qu’en 10 ans, les émissions de particules fines ont diminué de 35%, les émissions d’oxyde d’azote ont diminué de 30% et celles de CO2 de 13%.
Néanmoins, les préoccupations des Franciliens en matière de pollution de l’air montrent qu’il y a encore des progrès à faire dans ce domaine. Anne Ged souligne que « ce sont chaque jour plus de 12 millions de déplacements qui sont effectués, tous modes confondus pour des raisons professionnelles ou personnelles […] Le transport est le premier secteur émetteur de gaz à effet de serre et la première source de pollution atmosphérique à Paris et, plus largement, dans la métropole parisienne. »
La Ville de Paris est peut-être en avance sur la transition énergétique, mais le chemin est encore long vers les objectifs qu’elle s’est assignée. Par ailleurs, elle entend bien montrer la voie à suivre dans l’optique de la Conférence des Nations-Unies sur le climat (COP21) qui se déroulera à la fin de l’année dans la capitale.
Paris fait figure d’exemple en France et en Europe dans tant elle a déjà mis en œuvre des politiques publiques ambitieuses pour réduire l’empreinte carbone de la ville. L’administration municipale s’est efforcée depuis le début des années 2000 à développer les transports publics, à rénover les bâtiments pour améliorer leur performance énergétique, à mettre en place la gestion des déchets, etc. Et les résultats sont plus que positifs: une étude d’Airparif réalisée entre 2002 et 2012 indique qu’en 10 ans, les émissions de particules fines ont diminué de 35%, les émissions d’oxyde d’azote ont diminué de 30% et celles de CO2 de 13%.
Néanmoins, les préoccupations des Franciliens en matière de pollution de l’air montrent qu’il y a encore des progrès à faire dans ce domaine. Anne Ged souligne que « ce sont chaque jour plus de 12 millions de déplacements qui sont effectués, tous modes confondus pour des raisons professionnelles ou personnelles […] Le transport est le premier secteur émetteur de gaz à effet de serre et la première source de pollution atmosphérique à Paris et, plus largement, dans la métropole parisienne. »
La Ville de Paris est peut-être en avance sur la transition énergétique, mais le chemin est encore long vers les objectifs qu’elle s’est assignée. Par ailleurs, elle entend bien montrer la voie à suivre dans l’optique de la Conférence des Nations-Unies sur le climat (COP21) qui se déroulera à la fin de l’année dans la capitale.