Crédits photo : Kate Ausburn
L’utilisation de ressources renouvelables pour satisfaire la demande énergétique des pays industrialisés aussi bien que les besoins des populations n’ayant pas accès à des formes modernes d’énergie est un enjeu de société majeur. Selon les projections de l’Agence Internationale de l’Energie, le photovoltaïque pourrait atteindre 7% du mix électrique mondial en 2050, ce qui indique d’importantes marges de progression pour toutes les technologies photovoltaïques.
Dans ce cadre, l'IPVF, nouvel institut de recherche sur les dispositifs solaires photovoltaïques de nouvelle génération créé en 2012 en collaboration entre le CNRS, l'Eole Polytechnique et plusieurs industriels comme EDF, Total ou Air Liquid, tentera via des projets de recherche, d'augmenter les rendements de conversion de la lumière en électricité et de réduire les coûts de production des installations.
L’IPVF vient de signer avec ses principaux partenaires trois projets de recherche pour un montant global d’environ 30 millions d'euros, actant ainsi le démarrage officiel des travaux du Programme de Recherche Commune. Ces trois projets ont pour objectif de réduire les coûts de production et d’augmenter les rendements de conversion des filières silicium et couches minces chalcogénures. Une deuxième vague de projets sera signée dés ce début d’année 2015. Ils porteront notamment sur les filières à très haut rendement, la théorie et la modélisation des phénomènes photovoltaïques et la caractérisation avancée des performances des cellules.
Partenaire majeur de l'IPVF, le groupe EDF hébergera dès 2016 cet IEED (Instituts d’Excellence dans le domaine des Énergies Décarbonées) sur le campus de Paris-Saclay dans l'Essonne. L'IPVF pourra ainsi accueillir près de 200 chercheurs et contribuera à l'émergence d'une industrie solaire photovoltaïque d'excellence en France via la mise en avant d'un enseignement de des programmes de formation de qualité.
L'IPVF est destiné à devenir l'un des cinq plus grands centres de recherche mondiaux sur les dispositifs solaires photovoltaïques de nouvelle génération et devrait donc jouer un rôle fondamental dans le développement de nouvelles technologies et l'amélioration des performances des cellules photovoltaïques. D'autre part, certaines entreprises, dont plusieurs équipementiers ou fournisseurs de matériaux semi-conducteurs, ont déjà annoncé leur intention de s'associer à l'institut afin de proposer leur soutien technique pour les activités de recherche et développement.
Dans ce cadre, l'IPVF, nouvel institut de recherche sur les dispositifs solaires photovoltaïques de nouvelle génération créé en 2012 en collaboration entre le CNRS, l'Eole Polytechnique et plusieurs industriels comme EDF, Total ou Air Liquid, tentera via des projets de recherche, d'augmenter les rendements de conversion de la lumière en électricité et de réduire les coûts de production des installations.
L’IPVF vient de signer avec ses principaux partenaires trois projets de recherche pour un montant global d’environ 30 millions d'euros, actant ainsi le démarrage officiel des travaux du Programme de Recherche Commune. Ces trois projets ont pour objectif de réduire les coûts de production et d’augmenter les rendements de conversion des filières silicium et couches minces chalcogénures. Une deuxième vague de projets sera signée dés ce début d’année 2015. Ils porteront notamment sur les filières à très haut rendement, la théorie et la modélisation des phénomènes photovoltaïques et la caractérisation avancée des performances des cellules.
Partenaire majeur de l'IPVF, le groupe EDF hébergera dès 2016 cet IEED (Instituts d’Excellence dans le domaine des Énergies Décarbonées) sur le campus de Paris-Saclay dans l'Essonne. L'IPVF pourra ainsi accueillir près de 200 chercheurs et contribuera à l'émergence d'une industrie solaire photovoltaïque d'excellence en France via la mise en avant d'un enseignement de des programmes de formation de qualité.
L'IPVF est destiné à devenir l'un des cinq plus grands centres de recherche mondiaux sur les dispositifs solaires photovoltaïques de nouvelle génération et devrait donc jouer un rôle fondamental dans le développement de nouvelles technologies et l'amélioration des performances des cellules photovoltaïques. D'autre part, certaines entreprises, dont plusieurs équipementiers ou fournisseurs de matériaux semi-conducteurs, ont déjà annoncé leur intention de s'associer à l'institut afin de proposer leur soutien technique pour les activités de recherche et développement.