Le sénateur Yves Pozzo di Borgo, président du groupe UDI au Conseil de Paris et co-président du groupe UDI Paris avec Patrice Gassenbach du Parti Radical, soutient la grève des taxis parisiens.
Dans un communiqué du 3 décembre 2012, il apporte son soutien à la mobilisation des taxis parisiens débutée en début de matinée :
"Dans sa lutte contre les usages d’automobiles, le maire de Paris n’oublie pas de s’en prendre aux taxis. Il leur rend la vie impossible en limitant d’une part les places d’attente à proximité immédiate de certaines gares et d’autre part en entravant leur circulation en fermant les voies sur berges rive gauche. La verbalisation excessive des taxis pour stationnement illégal à proximité immédiate des gares à un effet tellement répulsif que les voyageurs se trouvent dépourvus de mode de transports et déteint sur la qualité d’accueil de notre ville auprès des professionnels ou des touristes étrangers. C’est très mauvais pour l’attractivité économique de Paris".
A l’appel des syndicats SUD, FO, CFDT, Gescop et la Fédération nationale des taxis indépendants (FNTI), environ 160 taxis parisiens ont manifesté lundi 3 décembre 2012 vers 8h30 devant la gare du Nord dans le 10e arrondissement de Paris.
70 policiers sont chargés de surveiller 17 000 taxis parisiens en Ile-de-France. "Insuffisant" disent les chauffeurs de taxis qui déclarent subir la concurrence déloyale des faux taxis qui prennent en charge des clients à leur place, ainsi que de la part des 500 motos-taxis parisiens. Ils protestent également contre les verbalisations excessives dont ils se disent victimes.
Les syndicats s'inquiètent aussi de la fermeture des voies sur berges sur la rive gauche et réclament un couloir sur les voies hautes : "Travaux, vélos, stations pour Autolib'... C'est devenu impossible de faire son boulot", répètent-ils en choeur.
Articles :
- 3 décembre 2012 : Taxis parisiens en grève.
- 30 novembre 2012 : Automobilistes et défilé de manifestants : Zones à éviter à Paris le 3 décembre 2012.
"Dans sa lutte contre les usages d’automobiles, le maire de Paris n’oublie pas de s’en prendre aux taxis. Il leur rend la vie impossible en limitant d’une part les places d’attente à proximité immédiate de certaines gares et d’autre part en entravant leur circulation en fermant les voies sur berges rive gauche. La verbalisation excessive des taxis pour stationnement illégal à proximité immédiate des gares à un effet tellement répulsif que les voyageurs se trouvent dépourvus de mode de transports et déteint sur la qualité d’accueil de notre ville auprès des professionnels ou des touristes étrangers. C’est très mauvais pour l’attractivité économique de Paris".
A l’appel des syndicats SUD, FO, CFDT, Gescop et la Fédération nationale des taxis indépendants (FNTI), environ 160 taxis parisiens ont manifesté lundi 3 décembre 2012 vers 8h30 devant la gare du Nord dans le 10e arrondissement de Paris.
70 policiers sont chargés de surveiller 17 000 taxis parisiens en Ile-de-France. "Insuffisant" disent les chauffeurs de taxis qui déclarent subir la concurrence déloyale des faux taxis qui prennent en charge des clients à leur place, ainsi que de la part des 500 motos-taxis parisiens. Ils protestent également contre les verbalisations excessives dont ils se disent victimes.
Les syndicats s'inquiètent aussi de la fermeture des voies sur berges sur la rive gauche et réclament un couloir sur les voies hautes : "Travaux, vélos, stations pour Autolib'... C'est devenu impossible de faire son boulot", répètent-ils en choeur.
Articles :
- 3 décembre 2012 : Taxis parisiens en grève.
- 30 novembre 2012 : Automobilistes et défilé de manifestants : Zones à éviter à Paris le 3 décembre 2012.
Grève des taxis parisiens : Les enseignes sur les toits des taxis étaient soit éteints, soit allumés, soit recouverts de la gaine - © pixarno - Fotolia.com