Les voies de la Gare Saint-Lazare
Le 4 octobre vers 6 heures du matin, l'homme qu avait lancé une alerte à la bombe à la gare saint Lazare, est interpellé par la section anti terroriste (SAT) de la brigade criminelle (BC).
Tout commence le 1er octobre 2010 à 12h39. Un homme appelle la salle d’information et de commandement de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) et annonce qu’une bombe va exploser Gare St Lazare. Une information aussitôt relayée auprès de la direction de la SNCF.
La cabine téléphonique à partir de laquelle l’appel est lancé est rapidement localisée. Des équipes cynophiles de la DSPAP et de déminage du laboratoire central de la Préfecture de Police sont envoyées sur place.
Avisé, le Parquet de Paris saisit la BC qui procède à une enquête approfondie, notamment en dépêchant sur les lieux les services de l’identité judiciaire.
L’exploitation de la vidéoprotection et le travail de la police technique et scientifique permettent, le 4 octobre au matin, l’interpellation d’un homme de 53 ans, connu des services de police et demeurant à Meudon (92). Les appels malveillants, prévus par l’article 434-26 du code péna, sont punis de 6 mois d’emprisonnement et 7.500 euros d’amende.
Depuis le début de l’année 2010, le nombre d’appels pour une alerte à la bombe ou des menaces d’attentat enregistré atteint le nombre de 39, soit 3-4 par mois. Soit le même chiffre que pour toute l’année 2009.
Source : Service de la communication de la Préfecture de Police de Paris.
Tout commence le 1er octobre 2010 à 12h39. Un homme appelle la salle d’information et de commandement de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) et annonce qu’une bombe va exploser Gare St Lazare. Une information aussitôt relayée auprès de la direction de la SNCF.
La cabine téléphonique à partir de laquelle l’appel est lancé est rapidement localisée. Des équipes cynophiles de la DSPAP et de déminage du laboratoire central de la Préfecture de Police sont envoyées sur place.
Avisé, le Parquet de Paris saisit la BC qui procède à une enquête approfondie, notamment en dépêchant sur les lieux les services de l’identité judiciaire.
L’exploitation de la vidéoprotection et le travail de la police technique et scientifique permettent, le 4 octobre au matin, l’interpellation d’un homme de 53 ans, connu des services de police et demeurant à Meudon (92). Les appels malveillants, prévus par l’article 434-26 du code péna, sont punis de 6 mois d’emprisonnement et 7.500 euros d’amende.
Depuis le début de l’année 2010, le nombre d’appels pour une alerte à la bombe ou des menaces d’attentat enregistré atteint le nombre de 39, soit 3-4 par mois. Soit le même chiffre que pour toute l’année 2009.
Source : Service de la communication de la Préfecture de Police de Paris.