Les États de la zone Euro placés face au devoir de résorption de leurs dettes abyssales, Grèce en tête, ne sont pas encore prêts à remettre leurs comptes dans le vert et à faire l’ économie de crises socio-économiques majeures, nonobstant les agitations à répétition des responsables politiques des pays concernés.
Alors, faute d’ y voir clair et pris dans le tourbillon de la diarrhée mentale des politiciens de tous bords, on agite les vieilles ficelles du c'est la faute à l’État, c'est la faute aux banques, c'est la faute aux grands groupes, c'est la faute aux donneurs d’ordres, c'est la faute à la concurrence déloyale des pays émergents, c'est la faute à l’Europe... et comme à la Prévert j’irai même jusqu'à dire c'est la faute à Voltaire !
Finalement, ce malaise de la gouvernance économique des États se fait de plus en plus perceptible, malgré les changements de têtes dans les postes de pilotage, et tend à démontrer que là où on laisse faire n’importe quoi aux politiques, on obtient n’importe quoi et un échec à plus ou moins long terme programmé.
Les « machins » inter gouvernementaux de la zone Euro, ceux des organisations internationales, se mettent à produire de plus en plus fort du vent médiatique, alors que les peuples attendent des solutions pratiques pour sortir de la sinistrose et des malheurs qui s’ abattent sur les plus faibles et par extension sur l' ensemble de la société.
D’indignations en manifestations diverses et variées, voire en consultations électorales à répétition, rien n’avance et tout se gâte, car la machine politicienne européenne à tuer le temps conduit inexorablement au surcoût d’ apurement des dettes et au creusement des déficits insupportables pour des économies en panne de croissance réelle et durable.
Finalement, ce malaise de la gouvernance économique des États se fait de plus en plus perceptible, malgré les changements de têtes dans les postes de pilotage, et tend à démontrer que là où on laisse faire n’importe quoi aux politiques, on obtient n’importe quoi et un échec à plus ou moins long terme programmé.
Les « machins » inter gouvernementaux de la zone Euro, ceux des organisations internationales, se mettent à produire de plus en plus fort du vent médiatique, alors que les peuples attendent des solutions pratiques pour sortir de la sinistrose et des malheurs qui s’ abattent sur les plus faibles et par extension sur l' ensemble de la société.
D’indignations en manifestations diverses et variées, voire en consultations électorales à répétition, rien n’avance et tout se gâte, car la machine politicienne européenne à tuer le temps conduit inexorablement au surcoût d’ apurement des dettes et au creusement des déficits insupportables pour des économies en panne de croissance réelle et durable.
La fuite en avant à la manière de la grande cavalerie financière qui consiste à rembourser des dettes par un nouvel emprunt n’ a que trop duré pour des pays qui sont globalement interdépendants les uns des autres et du monde entier.
Les facteurs indestructibles qui frappent l’Europe et par extension tous les pays modernes, tels que démographie-vieillissement, géographie du globe, comportements des populations, climatologie, environnement, etc., devraient nous contraindre à éviter les gâchis financiers sous toutes les formes en faisant nôtre, et le plus vite possible, la devise : qui paie ses dettes s’enrichit.
C'est donc l’heure de la mobilisation générale de tous les portefeuilles qui sonne à nos poches de citoyens, d’ entreprises, de collectivités, d’administrations publiques. Oui il faut se résoudre à puiser dans nos bas de laine, dans nos îlots de confort, pour faire sursaut de bon patriotisme économique et financier et se débarrasser du boulet de nos dettes qui plombe nos déficits et nos capacités de rebond.
Bien entendu ces prélèvements exceptionnels doivent être organisés à la hauteur des richesses de chacun et de manière non homéopathique de façon à provoquer un sérieux et réel recul de notre niveau d’ endettement et des déficits incidents.
Certains esprits chagrineux objecteront que nous plongerions dans une récession généralisée alors que tout au contraire tout le « fric » ainsi économisé sur les intérêts d'emprunt, par le remboursement anticipé de nos dettes, permettra de doper les initiatives économiques de tous ordres. Nous pouvons le faire, encore faut-il le vouloir et ne pas une fois de plus remettre à plus tard des mesures rendues inéluctables pour la restauration des finances publiques !
Les facteurs indestructibles qui frappent l’Europe et par extension tous les pays modernes, tels que démographie-vieillissement, géographie du globe, comportements des populations, climatologie, environnement, etc., devraient nous contraindre à éviter les gâchis financiers sous toutes les formes en faisant nôtre, et le plus vite possible, la devise : qui paie ses dettes s’enrichit.
C'est donc l’heure de la mobilisation générale de tous les portefeuilles qui sonne à nos poches de citoyens, d’ entreprises, de collectivités, d’administrations publiques. Oui il faut se résoudre à puiser dans nos bas de laine, dans nos îlots de confort, pour faire sursaut de bon patriotisme économique et financier et se débarrasser du boulet de nos dettes qui plombe nos déficits et nos capacités de rebond.
Bien entendu ces prélèvements exceptionnels doivent être organisés à la hauteur des richesses de chacun et de manière non homéopathique de façon à provoquer un sérieux et réel recul de notre niveau d’ endettement et des déficits incidents.
Certains esprits chagrineux objecteront que nous plongerions dans une récession généralisée alors que tout au contraire tout le « fric » ainsi économisé sur les intérêts d'emprunt, par le remboursement anticipé de nos dettes, permettra de doper les initiatives économiques de tous ordres. Nous pouvons le faire, encore faut-il le vouloir et ne pas une fois de plus remettre à plus tard des mesures rendues inéluctables pour la restauration des finances publiques !
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