Au conseil de Paris, tous les regards convergent sur Pierre Charon. Rares sont ceux qui viennent s'asseoir à ses côtés.
Peu bavard, Pierre Charon est fatigué par une "campagne difficile."
Le matin sur RMC, celui qui a été suspendu du parti présidentiel laisse entendre qu'il pourrait revenir à l'UMP car il n'a "jamais voulu faire perdre" un siège à la droite.
Plus tard, l'ambiance est telle qu'il menace de "renverser la table", quelques minutes avant le début du conseil de Paris du mois de septembre. Finalement, il se rend dans la salle du conseil avant de la quitter en demandant aux journalistes : "laissez-moi souffler".
Devant la presse, Claude Goasguen, le député-maire du 16e arrondissement de Paris, vient à la rescousse de celui qui a eu le courage de s'opposer au parachutage de Chantal Jouanno à Paris et réclame des têtes car "on ne fait pas marcher les gens à la baguette".
Visé, Philippe Goujon, président de la fédération UMP de Paris appelle à la raison : "la majorité présidentielle comptait sur 4 sièges, c'est ce qui s'est passé".
Un sentiment qui n'est pas partagé dans les rangs de la majorité présidentielle ; elle se sent tondue.
Le matin sur RMC, celui qui a été suspendu du parti présidentiel laisse entendre qu'il pourrait revenir à l'UMP car il n'a "jamais voulu faire perdre" un siège à la droite.
Plus tard, l'ambiance est telle qu'il menace de "renverser la table", quelques minutes avant le début du conseil de Paris du mois de septembre. Finalement, il se rend dans la salle du conseil avant de la quitter en demandant aux journalistes : "laissez-moi souffler".
Devant la presse, Claude Goasguen, le député-maire du 16e arrondissement de Paris, vient à la rescousse de celui qui a eu le courage de s'opposer au parachutage de Chantal Jouanno à Paris et réclame des têtes car "on ne fait pas marcher les gens à la baguette".
Visé, Philippe Goujon, président de la fédération UMP de Paris appelle à la raison : "la majorité présidentielle comptait sur 4 sièges, c'est ce qui s'est passé".
Un sentiment qui n'est pas partagé dans les rangs de la majorité présidentielle ; elle se sent tondue.
Pierre Charon et Jean-Pierre Lecoq, à la crête de la liste dissidente en 3e position et mandataire de Pierre Charon - Photo : VD.
Articles :
- 26 septembre 2011 : Pierre Charon aidé par l'UMP et les centristes.
- 25 septembre 2011 : Sénatoriales 2011 : sérieux échec de la droite à Paris.
- 24 septembre 2011 : Sénatoriales 2011 : les motivations de Géraldine Poirault-Gauvin.
- 20 septembre 2011 : 6 listes pour les sénatoriales à Paris.
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