Des conseillers de Paris suivent à plusieurs, sur plusieurs postes, l'inculpation de Dominique Strauss-Khan.
Six ordinateurs portables sont ouverts sur la même page web en fin d'après-midi au conseil de Paris le 16 mai 2011 : celle montrant des images de Dominique Strauss-Khan à New-York.
Depuis le samedi 14 mai au soir, heure de Paris, le patron du FMI est accusé d'agression sexuelle sur une employée d'un hôtel de New-York. DSK comparaît devant le juge américain avec une caution de 1.000.000 de dollars américains pour sa remise en liberté. La magistrate refuse.
Il est bientôt 19h. Ils sont une dizaine de conseillers de Paris regroupés, qui avec une oreillette, qui en se penchant sur l'écran pour mieux entendre, à suivre le récit de l'inculpation de Dominique Strauss-Khan sur Internet.
Dimanche 15 mai en début de matinée sur une radio nationale, le conseiller de Paris du 16e arrondissement et député de Paris, Bernard Debré, parle d'un homme "totalement déconsidéré".
Pour le Maire de Paris Bertrand Delanoë, interrogé en marge du conseil de Paris, "DSK plaide non coupable et il doit être entendu".
Le FMI décapité ; les conseillers de Paris socialistes gardent la tête froide.
Depuis le samedi 14 mai au soir, heure de Paris, le patron du FMI est accusé d'agression sexuelle sur une employée d'un hôtel de New-York. DSK comparaît devant le juge américain avec une caution de 1.000.000 de dollars américains pour sa remise en liberté. La magistrate refuse.
Il est bientôt 19h. Ils sont une dizaine de conseillers de Paris regroupés, qui avec une oreillette, qui en se penchant sur l'écran pour mieux entendre, à suivre le récit de l'inculpation de Dominique Strauss-Khan sur Internet.
Dimanche 15 mai en début de matinée sur une radio nationale, le conseiller de Paris du 16e arrondissement et député de Paris, Bernard Debré, parle d'un homme "totalement déconsidéré".
Pour le Maire de Paris Bertrand Delanoë, interrogé en marge du conseil de Paris, "DSK plaide non coupable et il doit être entendu".
Le FMI décapité ; les conseillers de Paris socialistes gardent la tête froide.