Rappel : Louis XVI a été décapité. Alors que la monarchie est présentée comme le mal absolu, l’élimination du Roi ne donne pas la cohésion attendue par les révolutionnaires qui sont divisés en factions rivales.
Jean-Paul Marat (1), député de Paris, s'en prend aux girondins et il soutient et emporte le 6 avril 1793 la constitution du Comité de Salut Public :
"On vous a fait peur avec ce comité en vous disant que c’était la dictature ; mais la dictature est la pleine puissance confiée à un seul homme devant qui toutes les lois se taisent. Au contraire, ce comité vous est subordonné, et vous conservez le droit de dissoudre".
Le girondin de Perpignan Jean Birotteau a le courage de répliquer :
"Quand on ose dire à cette tribune que c’est par la violence qu’il faut établir la liberté, certes on peut élever quelques soupçons sur le projet de ce comité".
Le 10 avril 1793 : nouveaux débats houleux. Une pétition circule dans Paris. Elle attaque le Ministre girondin Jean-Marie Roland et une partie des membres de la Convention. Le montagnard Georges Danton prend la défense des pétitionnaires au motif que dans une République, les élus doivent savoir endurer la calomnie.
Pétion, Danton, Birotteau et d’autres sont réunis autour de la tribune et s’invectivent :
- Danton : "Vous êtes des scélérats".
- Birotteau : "Ce sera ton dernier crime ? Je mourrai républicain et tu mourras tyran".
Robespierre succède à plusieurs orateurs pour un long discours préparé à l’avance qu’il diffuse aussi par imprimés dans son bulletin "lettres à mes commettants" où il accuse "la faction", comprendre "les girondins", des maux de la République et de menées contre-révolutionnaires.
"On vous a fait peur avec ce comité en vous disant que c’était la dictature ; mais la dictature est la pleine puissance confiée à un seul homme devant qui toutes les lois se taisent. Au contraire, ce comité vous est subordonné, et vous conservez le droit de dissoudre".
Le girondin de Perpignan Jean Birotteau a le courage de répliquer :
"Quand on ose dire à cette tribune que c’est par la violence qu’il faut établir la liberté, certes on peut élever quelques soupçons sur le projet de ce comité".
Le 10 avril 1793 : nouveaux débats houleux. Une pétition circule dans Paris. Elle attaque le Ministre girondin Jean-Marie Roland et une partie des membres de la Convention. Le montagnard Georges Danton prend la défense des pétitionnaires au motif que dans une République, les élus doivent savoir endurer la calomnie.
Pétion, Danton, Birotteau et d’autres sont réunis autour de la tribune et s’invectivent :
- Danton : "Vous êtes des scélérats".
- Birotteau : "Ce sera ton dernier crime ? Je mourrai républicain et tu mourras tyran".
Robespierre succède à plusieurs orateurs pour un long discours préparé à l’avance qu’il diffuse aussi par imprimés dans son bulletin "lettres à mes commettants" où il accuse "la faction", comprendre "les girondins", des maux de la République et de menées contre-révolutionnaires.
Le discours de Robespierre du 10 avril 1793 contre les "girondins"
"Une faction puissante conspire avec les tyrans de l’Europe pour nous donner un roi, avec une espèce de constitution aristocratique. Elle espère nous amener à cette transaction honteuse, par la force des armes étrangères et par les troubles du dedans.
Ce système convient au gouvernement anglais, il convient à Pitt, l’âme de toute cette ligue ; il convient à tous les ambitieux ; il plaît à tous les aristocrates bourgeois, qui ont horreur de l’égalité, à qui l’on a fait peur même pour leurs propriétés ; il plaît même aux nobles, trop heureux de trouver dans la représentation aristocratique et dans la cour d’un nouveau roi, les distinctions orgueilleuses qui leur échappaient.
La Révolution ne convient qu’au peuple, aux hommes de toutes les conditions qui ont une âme pure & élevée, aux philosophes, amis de l’humanité, aux sans-culottes, qui se sont, en France, parés avec fierté de ce titre, dont Lafayette & l’audacieuse cour voulaient les flétrir, comme les républicains de Hollande s’emparèrent de celui de gueux, que le duc d’Albe, leur avait donné".
"Le système aristocratique, dont je parle, était celui de Lafayette et de tous ses pareils, connus sous le nom de feuillants et de modérés ; il a été continué par ceux qui ont succédé à sa puissance. Quelques personnages ont changé, mais le but est semblable ; les moyens sont les mêmes, avec cette différence, que les continuateurs ont augmenté leurs ressources et accru le nombre de leurs partisans.
Tous les ambitieux qui ont paru jusqu’ici sur le théâtre de la Révolution ont eu cela de commun, qu’ils ont défendu les droits du peuple, aussi longtemps qu’ils ont cru en avoir besoin. Tous l’ont regardé comme un stupide troupeau, destiné à être conduit par le plus habile ou par le plus fort. Tous ont regardé les assemblées représentatives comme des corps composés d’hommes ou cupides, ou crédules, qu’il fallait corrompre ou tromper, pour les faire servir à leurs projets criminels ; tous se sont servis des société populaires contre la cour , et dès le moment où ils eurent fait leur pacte avec elle, ou qu’ils l’eurent remplacée, ils ont travaillé à les détruire : tous ont successivement combattu pour ou contre les Jacobins, selon les temps et les circonstances.
Comme leurs devanciers, les dominateurs actuels ont caché leur ambition sous le masque de la modération et de l’amour de l’ordre : comme leurs devanciers, ils ont cherché à décréditer les principes de la liberté.
Pour mieux y réussir, ils ont même cherché à en faire quelquefois de ridicules applications. Ils ont appelé tous les amis de la patrie des agitateurs, des anarchistes, quelquefois même ils en ont suscité de véritables, pour réaliser cette calomnie. Ils se sont montrés habiles dans l’art de couvrir leurs forfaits, en les imputant au peuple : ils ont, de bonne heure, épouvanté les citoyens du fantôme d’une loi agraire ; ils ont séparé les intérêts des riches de ceux des pauvres ; ils se sont présentés aux premiers comme leurs protecteurs contre les sans-culottes ; ils ont attiré à leur parti tous les ennemis de l’égalité.
Maîtres du gouvernement et de toutes les places, dominant dans les tribunaux et les corps administratifs ; dépositaires du trésor public, ils ont employé toute leur puissance à arrêter les progrès de l’esprit public, à réveiller le royalisme, et à ressusciter l’aristocratie; ils ont opprimé les patriotes énergiques, protégé les modérés hypocrites ; ils ont corrompu successivement les défenseurs du peuple, attaché à leur cause ceux qui montraient quelque talent, et persécuté ceux qu’ils ne pouvaient séduire. Comment la République pouvait-elle subsister, quand toute la puissance publique s’épuisait pour décourager la vertu et pour récompenser l’incivisme et la perfidie ?
La faction dominante aujourd’hui était formée longtemps avant la Convention nationale. (…)
La Convention nationale était convoquée.
La majorité était pure ; mais un grand nombre de représentants, trompés d’avance par les papiers imposteurs dont la faction disposait, apportèrent à Paris des préventions sinistres, qui devaient causer bien des maux ; et d’ailleurs ce fut toujours le sort des hommes qui ont des lumières sans probité, ou de la probité sans lumières, d’être les complices ou les jouets de l’intrigue.
Le décret qui déclare la royauté abolie, proposé à la fin de la première séance par un des députés de paris calomniés fut rendu avec enthousiasme. Si le lendemain on eût agité l’affaire du tyran, il eût été condamné ; et si la Convention, libre de leur dangereuse influence, s’était ensuite occupée du bonheur public, la liberté et la
paix seraient maintenant affermies ; mais les intrigants, qui n’avaient pu s’opposer à la proclamation de la République, s’appliquèrent à l’étouffer dans sa naissance.
En possession des comités les plus importants de l’Assemblée législative, qu’ils firent conserver provisoirement, ils composèrent bientôt les nouveaux à leur gré, ils s’emparèrent du bureau, du fauteuil et même de la tribune. Ils tenaient toujours dans leurs mains le ministère et le sort de la Nation.
Ils occupèrent sans cesse la Convention nationale de dénonciations contre la municipalité de Paris, contre le peuple de Paris, contre la majorité des députés de Paris. Ils inventèrent, ils répétèrent cette ridicule fable de la dictature, qu’ils imputaient à un citoyen sans pouvoir comme sans ambition, pour faire oublier et l’affreuse oligarchie qu’ils exerçaient eux-mêmes, et le projet de la tyrannie nouvelle qu’ils voulaient ressusciter. Par là ils cherchaient encore à dégoûter le peuple français de la République naissante, à arrêter les progrès de notre révolution dans les contrées voisines, en leur présentant la chute du trône comme l’ouvrage d’une ambition criminelle, et le changement du gouvernement comme un changement de maître".
Ce système convient au gouvernement anglais, il convient à Pitt, l’âme de toute cette ligue ; il convient à tous les ambitieux ; il plaît à tous les aristocrates bourgeois, qui ont horreur de l’égalité, à qui l’on a fait peur même pour leurs propriétés ; il plaît même aux nobles, trop heureux de trouver dans la représentation aristocratique et dans la cour d’un nouveau roi, les distinctions orgueilleuses qui leur échappaient.
La Révolution ne convient qu’au peuple, aux hommes de toutes les conditions qui ont une âme pure & élevée, aux philosophes, amis de l’humanité, aux sans-culottes, qui se sont, en France, parés avec fierté de ce titre, dont Lafayette & l’audacieuse cour voulaient les flétrir, comme les républicains de Hollande s’emparèrent de celui de gueux, que le duc d’Albe, leur avait donné".
"Le système aristocratique, dont je parle, était celui de Lafayette et de tous ses pareils, connus sous le nom de feuillants et de modérés ; il a été continué par ceux qui ont succédé à sa puissance. Quelques personnages ont changé, mais le but est semblable ; les moyens sont les mêmes, avec cette différence, que les continuateurs ont augmenté leurs ressources et accru le nombre de leurs partisans.
Tous les ambitieux qui ont paru jusqu’ici sur le théâtre de la Révolution ont eu cela de commun, qu’ils ont défendu les droits du peuple, aussi longtemps qu’ils ont cru en avoir besoin. Tous l’ont regardé comme un stupide troupeau, destiné à être conduit par le plus habile ou par le plus fort. Tous ont regardé les assemblées représentatives comme des corps composés d’hommes ou cupides, ou crédules, qu’il fallait corrompre ou tromper, pour les faire servir à leurs projets criminels ; tous se sont servis des société populaires contre la cour , et dès le moment où ils eurent fait leur pacte avec elle, ou qu’ils l’eurent remplacée, ils ont travaillé à les détruire : tous ont successivement combattu pour ou contre les Jacobins, selon les temps et les circonstances.
Comme leurs devanciers, les dominateurs actuels ont caché leur ambition sous le masque de la modération et de l’amour de l’ordre : comme leurs devanciers, ils ont cherché à décréditer les principes de la liberté.
Pour mieux y réussir, ils ont même cherché à en faire quelquefois de ridicules applications. Ils ont appelé tous les amis de la patrie des agitateurs, des anarchistes, quelquefois même ils en ont suscité de véritables, pour réaliser cette calomnie. Ils se sont montrés habiles dans l’art de couvrir leurs forfaits, en les imputant au peuple : ils ont, de bonne heure, épouvanté les citoyens du fantôme d’une loi agraire ; ils ont séparé les intérêts des riches de ceux des pauvres ; ils se sont présentés aux premiers comme leurs protecteurs contre les sans-culottes ; ils ont attiré à leur parti tous les ennemis de l’égalité.
Maîtres du gouvernement et de toutes les places, dominant dans les tribunaux et les corps administratifs ; dépositaires du trésor public, ils ont employé toute leur puissance à arrêter les progrès de l’esprit public, à réveiller le royalisme, et à ressusciter l’aristocratie; ils ont opprimé les patriotes énergiques, protégé les modérés hypocrites ; ils ont corrompu successivement les défenseurs du peuple, attaché à leur cause ceux qui montraient quelque talent, et persécuté ceux qu’ils ne pouvaient séduire. Comment la République pouvait-elle subsister, quand toute la puissance publique s’épuisait pour décourager la vertu et pour récompenser l’incivisme et la perfidie ?
La faction dominante aujourd’hui était formée longtemps avant la Convention nationale. (…)
La Convention nationale était convoquée.
La majorité était pure ; mais un grand nombre de représentants, trompés d’avance par les papiers imposteurs dont la faction disposait, apportèrent à Paris des préventions sinistres, qui devaient causer bien des maux ; et d’ailleurs ce fut toujours le sort des hommes qui ont des lumières sans probité, ou de la probité sans lumières, d’être les complices ou les jouets de l’intrigue.
Le décret qui déclare la royauté abolie, proposé à la fin de la première séance par un des députés de paris calomniés fut rendu avec enthousiasme. Si le lendemain on eût agité l’affaire du tyran, il eût été condamné ; et si la Convention, libre de leur dangereuse influence, s’était ensuite occupée du bonheur public, la liberté et la
paix seraient maintenant affermies ; mais les intrigants, qui n’avaient pu s’opposer à la proclamation de la République, s’appliquèrent à l’étouffer dans sa naissance.
En possession des comités les plus importants de l’Assemblée législative, qu’ils firent conserver provisoirement, ils composèrent bientôt les nouveaux à leur gré, ils s’emparèrent du bureau, du fauteuil et même de la tribune. Ils tenaient toujours dans leurs mains le ministère et le sort de la Nation.
Ils occupèrent sans cesse la Convention nationale de dénonciations contre la municipalité de Paris, contre le peuple de Paris, contre la majorité des députés de Paris. Ils inventèrent, ils répétèrent cette ridicule fable de la dictature, qu’ils imputaient à un citoyen sans pouvoir comme sans ambition, pour faire oublier et l’affreuse oligarchie qu’ils exerçaient eux-mêmes, et le projet de la tyrannie nouvelle qu’ils voulaient ressusciter. Par là ils cherchaient encore à dégoûter le peuple français de la République naissante, à arrêter les progrès de notre révolution dans les contrées voisines, en leur présentant la chute du trône comme l’ouvrage d’une ambition criminelle, et le changement du gouvernement comme un changement de maître".
La droite est dans l’attitude de l’étonnement et de l’indignation
Et Robespierre clôture son réquisitoire en demandant que "les individus de la famille d'Orléans dite Egalité, soient traduits devant le tribunal révolutionnaire, ainsi que (…) des patriotes tels que Brissot, Vergniaux, Gensonné, Guadet - Je renouvelle en ce moment la même proposition que j'ai déjà faite à l'égard de Marie- Antoinette d'Autriche. Je demande que la Convention nationale s'occupe ensuite, sans relâche, des moyens tant de fois annoncés de sauver la patrie, et de soulager la misère du peuple".
Robespierre descend de la tribune au milieu des applaudissements du côté gauche ; la droite est dans l’attitude de l’étonnement et de l’indignation.
Robespierre descend de la tribune au milieu des applaudissements du côté gauche ; la droite est dans l’attitude de l’étonnement et de l’indignation.
Le chef des Girondins Pierre Vergniaud
Pierre Vergniaud (2), le chef girondin prend la parole non sans difficulté à cause du bruit et des interruptions :
"J’oserai répondre à Monsieur Robespierre".
Il reprend :
"J’oserai répondre à Monsieur Robespierre, qui, par un roman perfide, artificieusement écrit dans le silence du cabinet, et par de froides ironies, vient provoquer de nouvelles discordes dans le sein de la Convention ; j’oserai lui répondre sans méditation ; je n’ai pas comme lui besoin d’art ; il suffit de mon âme".
A-t-il songé à Saint Augustin qui enseigne "l’âme de mon âme, c’est la foi" ou à Vauvenargues pour qui "l’art de plaire est l’art de tromper ?"
Et Maximilien, l’incorruptible glacial, a-t-il sourit en pensant "La joie de l’âme est dans l’action" en imaginant les têtes tranchées ?
La chute des Girondins est engagée.
A suivre sur Paris Tribune...
Bibliographie :
- Débats de la Convention Nationale ou analyse complète des séances - Tome III Paris - A Bossange et Baudouin Frères - 1828
- Site : http://www.assemblee-nationale.fr
(1) Jean-Paul Marat est député de Paris, montagnard, créateur du journal "l’Ami du Peuple", hanté par l’idée d’exécution des traîtres.
(2) Pierre, Victurnien, Vergniaud est député de la gironde. C’est l’un des chefs des girondins.
"J’oserai répondre à Monsieur Robespierre".
Il reprend :
"J’oserai répondre à Monsieur Robespierre, qui, par un roman perfide, artificieusement écrit dans le silence du cabinet, et par de froides ironies, vient provoquer de nouvelles discordes dans le sein de la Convention ; j’oserai lui répondre sans méditation ; je n’ai pas comme lui besoin d’art ; il suffit de mon âme".
A-t-il songé à Saint Augustin qui enseigne "l’âme de mon âme, c’est la foi" ou à Vauvenargues pour qui "l’art de plaire est l’art de tromper ?"
Et Maximilien, l’incorruptible glacial, a-t-il sourit en pensant "La joie de l’âme est dans l’action" en imaginant les têtes tranchées ?
La chute des Girondins est engagée.
A suivre sur Paris Tribune...
Bibliographie :
- Débats de la Convention Nationale ou analyse complète des séances - Tome III Paris - A Bossange et Baudouin Frères - 1828
- Site : http://www.assemblee-nationale.fr
(1) Jean-Paul Marat est député de Paris, montagnard, créateur du journal "l’Ami du Peuple", hanté par l’idée d’exécution des traîtres.
(2) Pierre, Victurnien, Vergniaud est député de la gironde. C’est l’un des chefs des girondins.
Articles :
- 10 avril 1793 - 10 avril 2013 : La Révolution s’emballe il y a 220 ans.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 2.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 3.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 4.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 5.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 6.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 7.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 8.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 9.
- 7 novembre 2012 : Le procès de Louis XVI sur Paris Tribune.
- 3 décembre 2012 : Le Procès du Roi, il y a 220 ans.
- 8 décembre 2012 : Louis XVI peu avant le début de son procès.
- 10 décembre 2012 : Rapport Lindet : historique de la conduite du Roi Louis XVI avant son procès.
- 11 décembre 2012 : "Louis, le peuple français vous accuse".
- 21 janvier 2013 : Fin tragique de Louis XVI.
- Partie 1 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 2 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 3 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 4 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 5 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 6 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 7 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 8 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 9 - dernière partie : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- 24 septembre 2012 : « La République est une et indivisible » depuis 220 ans
- 22 septembre 2012 : 220e anniversaire de la naissance de la République.
- 10 août 2012 : 220e anniversaire de la chute de la Monarchie.
- 5 octobre 2011 : Qui convoite la place au métro Convention ?
- 22 juin 2011 : Le Maire de Paris ne connaît pas la rue Thiers.
- 11 juin 2011 : Une guillotine à l’Hôtel Drouot.
- 10 avril 1793 - 10 avril 2013 : La Révolution s’emballe il y a 220 ans.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 2.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 3.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 4.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 5.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 6.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 7.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 8.
- La Révolution s’emballe il y a 220 ans - Partie 9.
- 7 novembre 2012 : Le procès de Louis XVI sur Paris Tribune.
- 3 décembre 2012 : Le Procès du Roi, il y a 220 ans.
- 8 décembre 2012 : Louis XVI peu avant le début de son procès.
- 10 décembre 2012 : Rapport Lindet : historique de la conduite du Roi Louis XVI avant son procès.
- 11 décembre 2012 : "Louis, le peuple français vous accuse".
- 21 janvier 2013 : Fin tragique de Louis XVI.
- Partie 1 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 2 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 3 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 4 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 5 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 6 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 7 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 8 : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- Partie 9 - dernière partie : La Terreur sous la Révolution aurait-elle pu être évitée il y a 220 ans ?
- 24 septembre 2012 : « La République est une et indivisible » depuis 220 ans
- 22 septembre 2012 : 220e anniversaire de la naissance de la République.
- 10 août 2012 : 220e anniversaire de la chute de la Monarchie.
- 5 octobre 2011 : Qui convoite la place au métro Convention ?
- 22 juin 2011 : Le Maire de Paris ne connaît pas la rue Thiers.
- 11 juin 2011 : Une guillotine à l’Hôtel Drouot.