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Pour la première fois depuis les élections présidentielles (mai 2017), législatives (juin 2017), sénatoriales (septembre 2017) et le remaniement de l'exécutif parisien (octobre 2017), deux nouveaux groupes rencontrent la presse municipale quatre jours avant le conseil de Paris depuis le 31 janvier 2018.
Le groupe Parisiens Progressistes, Constructifs et Indépendants avec Alexandre Vesperini inaugure la nouvelle organisation mise en place par le service presse avec à sa tête Clara Paul-Zamour, une ex du cabinet de l'ancien ministre de l'Intérieur devenu Premier ministre Bernard Cazeneuve sous François Hollande.
Chaque groupe a 20 minutes, contre 30 minutes de 2014 à 2017, excepté les non-inscrits qui conservent 10 minutes. La nouvelle organisation laisse moins de temps pour des échanges et les élus distribuent davantage leurs cartes de visite.
Le groupe Parisiens Progressistes, Constructifs et Indépendants avec Alexandre Vesperini inaugure la nouvelle organisation mise en place par le service presse avec à sa tête Clara Paul-Zamour, une ex du cabinet de l'ancien ministre de l'Intérieur devenu Premier ministre Bernard Cazeneuve sous François Hollande.
Chaque groupe a 20 minutes, contre 30 minutes de 2014 à 2017, excepté les non-inscrits qui conservent 10 minutes. La nouvelle organisation laisse moins de temps pour des échanges et les élus distribuent davantage leurs cartes de visite.
Groupe Parisiens Progressistes, Constructifs et Indépendants
Alexandre Vesperini, Groupe Parisiens Progressistes, Constructifs et Indépendants © VD / PT.
Le groupe est créé par Nathalie Kosciusko-Morizet, ancien chef de l'opposition municipale battue aux élections législatives, et Marie-Laure Harel, élue du 3e arrondissement, en est la présidente. Avec 10 membres, le groupe Parisiens Progressistes, Constructifs et Indépendants est le sixième par la taille sur les 9 groupes politiques au conseil de Paris. Il est le premier à recevoir la presse municipale lors des conférences de presse organisées en amont du conseil de Paris.
Alexandre Vesperini, élu du 6e arrondissement, prédit avec un débit rapide un "problème" entre "les gens qui travaillent à Paris, qui n'ont pas d'autres choix que de circuler en voiture" et la Mairie de Paris : "l'augmentation des tarifs pose un problème (...) ils doivent payer de leur poches parce que l'entreprise ne peut pas payer l'augmentation (...) c'est comme ça que ça va se passer, il faut le savoir".
Il dépose un voeu au conseil de Paris sur ce sujet. Il l'explique avec un exemple : "j'habite à La Défense, je dois venir travailler à Paris mais comme je ne suis pas résident à Paris et mon véhicule de société est immatriculé au siège à La Défense : je ne peux pas avoir cette carte de stationnement de la Ville de Paris (...) Il faut en finir avec cette politique de matraquage".
Lorsque le groupe suivant prend place, le jeune conseiller de Paris revient sur ses pas car il a oublié de parler d'une chose. Mais le président Julien Bargeton commence.
Alexandre Vesperini, élu du 6e arrondissement, prédit avec un débit rapide un "problème" entre "les gens qui travaillent à Paris, qui n'ont pas d'autres choix que de circuler en voiture" et la Mairie de Paris : "l'augmentation des tarifs pose un problème (...) ils doivent payer de leur poches parce que l'entreprise ne peut pas payer l'augmentation (...) c'est comme ça que ça va se passer, il faut le savoir".
Il dépose un voeu au conseil de Paris sur ce sujet. Il l'explique avec un exemple : "j'habite à La Défense, je dois venir travailler à Paris mais comme je ne suis pas résident à Paris et mon véhicule de société est immatriculé au siège à La Défense : je ne peux pas avoir cette carte de stationnement de la Ville de Paris (...) Il faut en finir avec cette politique de matraquage".
Lorsque le groupe suivant prend place, le jeune conseiller de Paris revient sur ses pas car il a oublié de parler d'une chose. Mais le président Julien Bargeton commence.
Groupe Démocrates et Progressistes
De g. à dr. : Thomas Lauret et Julien Bargeton, Groupe Démocrates et Progressistes © VD / PT.
Le Groupe Démocrates et Progressistes est créé suite à l'élection de sénateur de Paris sous les couleurs d'En Marche de l'ancien adjoint aux Finances d'Anne Hidalgo. Julien Bargeton est accompagné de deux élus Thomas Lauret, élu du 16e arrondissement, et Anne-Christine Lang, élue du 13e arrondissement de Paris. Le groupe compte 5 membres, le minimum pour constituer un groupe et disposer de moyens matériels et humains pour fonctionner.
Julien Bargeton, élu du 20e arrondissement, présente son groupe :
"La spécificité de ce groupe c'est que nous sommes cinq personnes qui avons rejoint En Marche, nous sommes tous à En Marche, c'est le seul. Et nous avons tous quitté nos formations d'origine (...). L'esprit de ce groupe c'est d'être Macronien, c'est à dire on veut en même temps la réussite de Paris et la réussite de la France. Paris a besoin de la France, la France a besoin de Paris : c'est notre ligne d'action. Et on considère qu'il faut oeuvrer ensemble pour cette double réussite. Il n'y a pas d'incompatibilité, il n'y a pas d'ostracisme (...) plutôt que de déposer des voeux tous les quatre matins, il nous paraît plus intéressant de voir comment avancer ensemble.
Ensuite la deuxième chose, c'est la pensée complexe du président de la République aussi. On assume que parfois on a une ligne de crête, on n'est pas toujours pour réclamer plus de moyens, pour critiquer de façon un peu caricatural, on essaye de construire des solutions progressistes, humanistes, européennes qui respectent nos valeurs qui sont l'égalité, la liberté et la fraternité. Et comment on peut oeuvrer pour Paris en France.
Le troisième sujet, c'est la bienveillance. On veut et on restera bienveillant tout en maintenant nos positions, mais nous sommes bienveillants, ouverts et prêts à discuter avec tout le monde. On tisse des liens avec le groupe des Constructifs (...) mais nous on veut être dans la bienveillance, y compris vis-à-vis des personnes qui ne nous ont pas rejoint dont on sait qu'au fond elles ne sont pas si éloignées que cela de ce que nous pensons.
Et puis le courage de la vérité, c'est aussi quelque chose qui nous anime."
Pour ce qui est du conseil de Paris de février, Julien Bargeton explique que selon leurs remontées du terrain "la bataille de la propreté, dans l'esprit des Parisiens, est perdue" et il "ne pense pas que des solutions faciles soient à même d'y répondre". Des propositions seront apportées au conseil de Paris car il y a ceux qui ont "la finance magique" et ceux qui ont "le balai magique". Il ne veut plus qu'on demande "toujours plus, toujours plus" et reconnaît un problème d'absentéisme chez les agents de la Ville de Paris.
Julien Bargeton, élu du 20e arrondissement, présente son groupe :
"La spécificité de ce groupe c'est que nous sommes cinq personnes qui avons rejoint En Marche, nous sommes tous à En Marche, c'est le seul. Et nous avons tous quitté nos formations d'origine (...). L'esprit de ce groupe c'est d'être Macronien, c'est à dire on veut en même temps la réussite de Paris et la réussite de la France. Paris a besoin de la France, la France a besoin de Paris : c'est notre ligne d'action. Et on considère qu'il faut oeuvrer ensemble pour cette double réussite. Il n'y a pas d'incompatibilité, il n'y a pas d'ostracisme (...) plutôt que de déposer des voeux tous les quatre matins, il nous paraît plus intéressant de voir comment avancer ensemble.
Ensuite la deuxième chose, c'est la pensée complexe du président de la République aussi. On assume que parfois on a une ligne de crête, on n'est pas toujours pour réclamer plus de moyens, pour critiquer de façon un peu caricatural, on essaye de construire des solutions progressistes, humanistes, européennes qui respectent nos valeurs qui sont l'égalité, la liberté et la fraternité. Et comment on peut oeuvrer pour Paris en France.
Le troisième sujet, c'est la bienveillance. On veut et on restera bienveillant tout en maintenant nos positions, mais nous sommes bienveillants, ouverts et prêts à discuter avec tout le monde. On tisse des liens avec le groupe des Constructifs (...) mais nous on veut être dans la bienveillance, y compris vis-à-vis des personnes qui ne nous ont pas rejoint dont on sait qu'au fond elles ne sont pas si éloignées que cela de ce que nous pensons.
Et puis le courage de la vérité, c'est aussi quelque chose qui nous anime."
Pour ce qui est du conseil de Paris de février, Julien Bargeton explique que selon leurs remontées du terrain "la bataille de la propreté, dans l'esprit des Parisiens, est perdue" et il "ne pense pas que des solutions faciles soient à même d'y répondre". Des propositions seront apportées au conseil de Paris car il y a ceux qui ont "la finance magique" et ceux qui ont "le balai magique". Il ne veut plus qu'on demande "toujours plus, toujours plus" et reconnaît un problème d'absentéisme chez les agents de la Ville de Paris.
Groupe Radical de Gauche, Centre et Indépendants
Laurence Golgrab, Groupe Radical de Gauche, Centre et Indépendants © VD / PT.
Laurence Goldgrab, élue du 3e arrondissement, est la nouvelle présidente du groupe Radical de Gauche, Centre et Indépendants depuis que Jean-Bernard Bros a rejoint l'équipe d'Anne Hidalgo en tant qu'adjoint au Maire chargé des sociétés d'économie mixte et des sociétés publiques locales. Au niveau national, le PRG soutient Emmanuel Macron et En Marche.
Elle présente les voeux que son groupe dépose au conseil de Paris. Elle explique que "bizarrement, il n'y a jamais eu de concertation citoyenne sur le ressenti des usagers sur le métro et la RATP ; ça n'existe pas tout simplement, et nous, nous proposons qu'il y ait une concertation citoyenne faire remonter le ressenti de usagers sur le métro (...) Il faut entendre les usagers. Nous souhaitons un débat organisé sur la politique des transports, sur le métro parisien et les bus parisiens. Je pense que cela serait très utile pour la suite".
Dans d'autres voeux, le groupe composé de cinq membres demande plus de manèges à Paris pour les enfants d'une part, et une promotion de la fête auprès des jeunes Parisiens d'autre part.
Elle présente les voeux que son groupe dépose au conseil de Paris. Elle explique que "bizarrement, il n'y a jamais eu de concertation citoyenne sur le ressenti des usagers sur le métro et la RATP ; ça n'existe pas tout simplement, et nous, nous proposons qu'il y ait une concertation citoyenne faire remonter le ressenti de usagers sur le métro (...) Il faut entendre les usagers. Nous souhaitons un débat organisé sur la politique des transports, sur le métro parisien et les bus parisiens. Je pense que cela serait très utile pour la suite".
Dans d'autres voeux, le groupe composé de cinq membres demande plus de manèges à Paris pour les enfants d'une part, et une promotion de la fête auprès des jeunes Parisiens d'autre part.
Groupe des élus non-inscrits
Danielle Simonnet, Groupe des élus non-inscrits © VD / PT.
Danielle Simonnet, élue du 20e arrondissement, fait partie des trois élus non-inscrits au conseil de Paris, avec les élus ex-LR Dominique Tiberi et Pierre Lellouche. Elle dépose 22 voeux pour le conseil de Paris de février et donne sa lecture du contexte dans lequel le conseil de Paris se tient :
"C'est très flagrant, les politiques libérales conduisent au chaos. Anne Hidalgo veut faire croire qu'elle s'oppose à Macron, de fait elle est une bonne élève puisqu'elle se soumet aux baisses de dotations". Ayant pris conscience de "l'omerta" qui existe dans les EHPAD Parisiens, elle veut les dénoncer ainsi que "les souffrances auxquelles sont soumis les agents".
"C'est très flagrant, les politiques libérales conduisent au chaos. Anne Hidalgo veut faire croire qu'elle s'oppose à Macron, de fait elle est une bonne élève puisqu'elle se soumet aux baisses de dotations". Ayant pris conscience de "l'omerta" qui existe dans les EHPAD Parisiens, elle veut les dénoncer ainsi que "les souffrances auxquelles sont soumis les agents".
Groupe écologiste de Paris
David Belliard, Groupe écologiste de Paris © VD / PT.
David Belliard est l'unique président du groupe écologiste de Paris, élu du 11e arrondissement. L'ancienne co-présidente Anne Souyris est devenue adjointe d'Anne Hidalgo en charge de la Santé et des relations avec l'AP-HP depuis le remaniement des adjoints à l'Hôtel de Ville.
Il évoque les sujets qui préoccupent les seize membres de son groupe : les crèches, l'espace public, la publicité, la propreté, les rats qui ne sont pas un sujet, les logements et bureaux vides "environ 800 000 et 1 million de mètres carrés disponibles" ; sans oublier les compagnies pétrolières :
"Voilà, les coûts pour la rénovation énergétiques sont très importants et on vous demande de payer. On veut engager la responsabilité juridique et financière de ces grandes entreprises qui sont identifiées" comme étant "contributrices au changement climatique (...) New-York le fait, Paris doit le faire".
Il évoque les sujets qui préoccupent les seize membres de son groupe : les crèches, l'espace public, la publicité, la propreté, les rats qui ne sont pas un sujet, les logements et bureaux vides "environ 800 000 et 1 million de mètres carrés disponibles" ; sans oublier les compagnies pétrolières :
"Voilà, les coûts pour la rénovation énergétiques sont très importants et on vous demande de payer. On veut engager la responsabilité juridique et financière de ces grandes entreprises qui sont identifiées" comme étant "contributrices au changement climatique (...) New-York le fait, Paris doit le faire".
Groupe UDI - Modem
De g. à dr. : Eric Azière et Edith Gallois, Groupe UDI - Modem © VD / PT.
Eric Azière, président du groupe UDI - Modem et élu du 14e arrondissement, démarre par des remarques sur la forme l'organisation du débat sur la propreté au conseil de Paris de février :
"C'est scandaleux, Anne Hidalgo veut faire une quatrième intervention sur la propreté (...) on a une véritable opération de camouflage. Elle commence par une communication, elle fait suivre ça par deux instrumentalisations, par la conférence de la jeunesse et le conférence citoyenne, et enfin le rapport de la MIE. La Maire fait sa communication sur le temps qu'elle veut c'est-à-dire qu'elle met tout sous le tapis. C'est pathétique, Anne Hidalgo sait que les Parisiens sont très réactifs sur la propreté, si Paris était propre ça se saurait, elle mesure l'ampleur du désastre et elle veut noyer le débat sous un flot d'interventions, pour délayer ce qu'il pouvait y avoir de fort dans les conclusions de la Mission d'Information et d'Evaluation (MIE) sur la propreté à Paris (...) On est passé de la démocratie représentative à la démocratie participative puis à la démocratie justificative c'est-à-dire 'j'auto-justifie mes erreurs ou ma politique' avec des instruments qui sont ceux de la démocratie participative".
Concernant les rats, il faut éviter les aires de pique-niques dans les jardins à Paris. Il a rencontré des spécialistes de la dératisation et "inutile de vous dire que si on veut sérieusement s'en occuper, on a les interlocuteurs".
Pour Edith Gallois, élue du 13e arrondissement, "Anne Hdialgo n'est pas sincère car la saleté c'est une pollution. Elle n'est pas une bonne maire. Elle n'est pas la maire du quotidien."
Eric Azière termine les 20 minutes alloués à son groupe par les pertes de la Ville de Paris : les pertes publicitaires suite à un recours devant le conseil d'Etat. La somme devrait s'élever à un total à 78,3 millions d'euros : "que les Parisiens s'attendent à compenser cette perte d'une façon ou d'une autre !"
"C'est scandaleux, Anne Hidalgo veut faire une quatrième intervention sur la propreté (...) on a une véritable opération de camouflage. Elle commence par une communication, elle fait suivre ça par deux instrumentalisations, par la conférence de la jeunesse et le conférence citoyenne, et enfin le rapport de la MIE. La Maire fait sa communication sur le temps qu'elle veut c'est-à-dire qu'elle met tout sous le tapis. C'est pathétique, Anne Hidalgo sait que les Parisiens sont très réactifs sur la propreté, si Paris était propre ça se saurait, elle mesure l'ampleur du désastre et elle veut noyer le débat sous un flot d'interventions, pour délayer ce qu'il pouvait y avoir de fort dans les conclusions de la Mission d'Information et d'Evaluation (MIE) sur la propreté à Paris (...) On est passé de la démocratie représentative à la démocratie participative puis à la démocratie justificative c'est-à-dire 'j'auto-justifie mes erreurs ou ma politique' avec des instruments qui sont ceux de la démocratie participative".
Concernant les rats, il faut éviter les aires de pique-niques dans les jardins à Paris. Il a rencontré des spécialistes de la dératisation et "inutile de vous dire que si on veut sérieusement s'en occuper, on a les interlocuteurs".
Pour Edith Gallois, élue du 13e arrondissement, "Anne Hdialgo n'est pas sincère car la saleté c'est une pollution. Elle n'est pas une bonne maire. Elle n'est pas la maire du quotidien."
Eric Azière termine les 20 minutes alloués à son groupe par les pertes de la Ville de Paris : les pertes publicitaires suite à un recours devant le conseil d'Etat. La somme devrait s'élever à un total à 78,3 millions d'euros : "que les Parisiens s'attendent à compenser cette perte d'une façon ou d'une autre !"
Groupe Communiste - Front de Gauche
De g. à dr. : Jean-Noël Aqua, Nicolas Bonnet - Oulaldj et Hervé Bégué, Groupe Communiste - Front de Gauche © VD / PT.
Nicolas Bonnet-Oulaldj est le président du groupe Communiste - Front de Gauche, élu du 12e arrondissement. Il demande une campagne "Paris sans emballages" pour réduire la saleté à Paris et part en guerre contre les emballages des ventes à emporter : "avant de parler du rapport de la MIE, il faut se poser la question pourquoi il y a autant de déchets ?" Le communiste partage sa réflexion : "il faut réduire le nombre de déchets (...) c'est la logique de la consommation, du marketing et du capitalisme".
Et contrairement aux élus du groupe écologiste de Paris, pourtant allié au PS comme le PC, Nicolas Bonnet est favorable à l'extermination des rats à Paris. Il rappelle l'histoire de Paris : "avant, les égoutiers tuaient les rats !" (...) s'ils sont dehors c'est parce qu'il y a à manger". Il propose entre autres de changer les horaires de collecte des poubelles pour qu'il n'y ait plus de poubelles dans la rue.
Et contrairement aux élus du groupe écologiste de Paris, pourtant allié au PS comme le PC, Nicolas Bonnet est favorable à l'extermination des rats à Paris. Il rappelle l'histoire de Paris : "avant, les égoutiers tuaient les rats !" (...) s'ils sont dehors c'est parce qu'il y a à manger". Il propose entre autres de changer les horaires de collecte des poubelles pour qu'il n'y ait plus de poubelles dans la rue.
L'exécutif
Bruno Julliard, premier adjoint au Maire de Paris © VD / PT.
Plus de trois heures d'affilée après le commencement des conférences de presse avec les groupes politiques, arrive le temps de l'exécutif.
Deux groupes absents à l'Hôtel de Ville
Le groupe Socialiste et Apparentés n'organise pas de conférence de presse, l'exécutif étant là pour répondre aux questions.
Le groupe Les Républicains et Indépendants préfère quant à lui organiser un déjeuner mais la formule n'est pas jugée très satisfaisante par la presse municipale. L'organiseront-ils de nouveau dans leurs bureaux à l'Hôtel de Ville comme avant 2014 ?
Depuis que le précédent responsable presse voulait assister aux entretiens de Nathalie Kosciusko-Morizet avec la presse municipale dès le mois de mai 2014, Les Républicains ont fui les conférences de presse organisées à l'Hôtel de Ville. Et ce n'est pas l'enregistrement par la Mairie de Paris des échanges entre les groupes et la presse municipale au mois de décembre 2017, sans que les élus et présidents de groupe le sachent, qui devrait apaiser la situation. Pourtant, le 31 janvier 2018, les micros étaient éteints.
Le groupe Les Républicains et Indépendants préfère quant à lui organiser un déjeuner mais la formule n'est pas jugée très satisfaisante par la presse municipale. L'organiseront-ils de nouveau dans leurs bureaux à l'Hôtel de Ville comme avant 2014 ?
Depuis que le précédent responsable presse voulait assister aux entretiens de Nathalie Kosciusko-Morizet avec la presse municipale dès le mois de mai 2014, Les Républicains ont fui les conférences de presse organisées à l'Hôtel de Ville. Et ce n'est pas l'enregistrement par la Mairie de Paris des échanges entre les groupes et la presse municipale au mois de décembre 2017, sans que les élus et présidents de groupe le sachent, qui devrait apaiser la situation. Pourtant, le 31 janvier 2018, les micros étaient éteints.
7 décembre 2017 L'appareil est branché et il enregistre les conférences de presse entre les groupes politiques et la presse municipale © VD / PT
31 janvier 2018 L'appareil n'enregistre pas les conférences de presse des groupes politiques avec la presse municipale © VD / PT