Les Anciens s’en souviennent, l’Arpajonnais reliait les maraîchers aux Halles à Paris sans oublier le Marché Saint Germain.
Alors que l’écologie est populaire et que les produits bio séduisent les consommateurs, l’idée de rétablir la communication entre les derniers potagers champêtres d’ile de France et la capitale progresse.
Alors que l’écologie est populaire et que les produits bio séduisent les consommateurs, l’idée de rétablir la communication entre les derniers potagers champêtres d’ile de France et la capitale progresse.
Déjà, voici quelques mois, certains élus décidaient de soutenir la diffusion de paniers AMAP dans leur arrondissement allant jusqu’à offrir l'usage de locaux municipaux pour abriter des paniers de fruits et légumes parfois oubliés.
Le Grand Paris qui est en charge de la mise en place du réseau de transports urbains du futur en île de France a été séduit par la légende de l’Arpajonnais, tramway mythique du XXème siècle.
Si les fraises, cerises et autres fruits – les prunes, il y en a déjà – si les choux, carottes, navets, potimarrons, topinambours et les légumes d’antan, auront pour destination le ventre de Paris, la population parisienne pourra, elle, prendre un bol d’air pur en se déplaçant aux champs.
Mais l’Arpajonnais appartient-il au futur ?
Le Grand Paris qui est en charge de la mise en place du réseau de transports urbains du futur en île de France a été séduit par la légende de l’Arpajonnais, tramway mythique du XXème siècle.
Si les fraises, cerises et autres fruits – les prunes, il y en a déjà – si les choux, carottes, navets, potimarrons, topinambours et les légumes d’antan, auront pour destination le ventre de Paris, la population parisienne pourra, elle, prendre un bol d’air pur en se déplaçant aux champs.
Mais l’Arpajonnais appartient-il au futur ?