Le bilan de la figure politique mise en avant par le Maire de Paris dans le 1er arrondissement : Seybah Dagoma, une jeune femme issue de la diversité visible.
Un parcours exemplaire
Très attachée à sa double culture française et tchadienne, Seybah Dagoma grandit à Sarcelles en Seine-Saint-Denis. Elle donne des cours de soutien scolaire dans l’association France Espoir lorsqu'elle rencontre Dominique Strauss-Khan, alors conseiller municipal de Sarcelles.
Elle milite au PS sans en devenir membre, puis prend sa carte en 2005. Seybah Dagoma rejoint le think-thank de DSK "à Gauche en Europe" et travaille sur les questions d'aide au développement avec Michel Rocard.
Mise en tête de liste dans le 1er arrondissement lors des élections municipales de 2008, elle est élue conseiller de Paris du 1er. Lorsque Bertrand Delanoë la nomme Adjointe chargée de l'économie sociale et solidaire, Seybah Dagoma devient "la première Française originaire d’Afrique subsaharienne à être adjointe au Maire de Paris".
En 2011, elle projette de "redevenir avocate" car son "métier lui manque".
En 2012, elle vient d'avoir 34 ans lorsqu'elle est élue député de Paris dans la circonscription qui regroupe la totalité du 3e et du 10e arrondissement.
La prochaine étape sera-t-elle celle d'un poste de ministre ?
Elle milite au PS sans en devenir membre, puis prend sa carte en 2005. Seybah Dagoma rejoint le think-thank de DSK "à Gauche en Europe" et travaille sur les questions d'aide au développement avec Michel Rocard.
Mise en tête de liste dans le 1er arrondissement lors des élections municipales de 2008, elle est élue conseiller de Paris du 1er. Lorsque Bertrand Delanoë la nomme Adjointe chargée de l'économie sociale et solidaire, Seybah Dagoma devient "la première Française originaire d’Afrique subsaharienne à être adjointe au Maire de Paris".
En 2011, elle projette de "redevenir avocate" car son "métier lui manque".
En 2012, elle vient d'avoir 34 ans lorsqu'elle est élue député de Paris dans la circonscription qui regroupe la totalité du 3e et du 10e arrondissement.
La prochaine étape sera-t-elle celle d'un poste de ministre ?
Bilan dans le 1er arrondissement
Seybah Dagoma au conseil du 1er arrondissement, ici dans le rang de l'opposition avec Loïg Raoul (PS) et Laurence Bonnet (EELVA) - Photo : VD.
En tant que conseiller de Paris du 1er arrondissement, Seybah Dagoma a tenu ses permanences "toutes les semaines à l'Hôtel de Ville" dans le 4e arrondissement.
Posée, elle revient pour Paris Tribune sur son engagement politique et ses responsabilités dans le 1er arrondissement.
L'interview a lieu par téléphone. Au 2e essai après le rendez-vous téléphonique manqué, Seybah Dagoma fait tout pour se rendre disponible :
Seybah Dagoma : Très, très brièvement parce que le problème, c’était que j’étais à un endroit, et là je dois rejoindre le Président de la République...
Paris Tribune : C'est comme vous le souhaitez, on ne veut pas vous bousculer...
Seybah Dagoma : Ecoutez je vous appelle dans 2 minutes...
Paris Tribune : D’accord.
Seybah Dagoma : Voilà... à tout de suite.
L'interview dure 10 minutes. Seybah Dagoma appelle depuis un Café.
Posée, elle revient pour Paris Tribune sur son engagement politique et ses responsabilités dans le 1er arrondissement.
L'interview a lieu par téléphone. Au 2e essai après le rendez-vous téléphonique manqué, Seybah Dagoma fait tout pour se rendre disponible :
Seybah Dagoma : Très, très brièvement parce que le problème, c’était que j’étais à un endroit, et là je dois rejoindre le Président de la République...
Paris Tribune : C'est comme vous le souhaitez, on ne veut pas vous bousculer...
Seybah Dagoma : Ecoutez je vous appelle dans 2 minutes...
Paris Tribune : D’accord.
Seybah Dagoma : Voilà... à tout de suite.
L'interview dure 10 minutes. Seybah Dagoma appelle depuis un Café.
Seybah Dagoma : Dites-moi...
Paris Tribune : Vous avez publié votre bilan du 1er arrondissement sur votre blog....
Seybah Dagoma : J'ai publié celui de l'économie sociale et solidaire.
Paris Tribune : Il y avait la publication de votre bilan en tant qu'adjointe...
Seybah Dagoma : Oui c'est ça...
Paris Tribune : Et celui en tant que conseillère du 1er arrondissement.
Seybah Dagoma : Ah d'accord, ah ben ça je ne me souviens plus, il faut que je… je... il faut que je le vois...
Paris Tribune : C'est pour revoir avec vous ce que vous avez publié.
Seybah Dagoma : D'accord, bon, ok, qu'est-ce que vous voulez savoir ?
Seybah Dagoma revient sur ces 4 années passées dans le 1er arrondissement : 2008-2009, 2009-2010, 2010-2011 et 2011-2012.
Seybah Dagoma : En tant qu'adjointe et conseillère du 1er arrondissement, j'étais en soutien de la politique du Maire de Paris dans l'arrondissement. C'est-à-dire que sur la plupart des projets, nous avons pris des engagements pour 2014 que nous avons mis en oeuvre dans le 1er arrondissement. Il y a un certain nombre de choses qui ont été faites.
Sur le logement, il y a eu énormément de logements sociaux qui ont été financés dans le 1er arrondissement. Et pour ma part à titre personnel, je suis à l'origine des logements sociaux qui vont être créés rue du Colonel Driant... 20 logements sociaux... c'est moi qui ai demandé à ce qu'une expertise soit faite... c’était une ancienne station Shell.
Donc voilà... il y a une étude qui a été faite et puis là aujourd'hui on travaille sur 20 logements sociaux.
Il y a également un autre projet... un projet de logements qui se trouve rue Berger. C'était les Compagnons et là j'ai pris la suite de l'ancien élu qui s'appelle Alain Legarrec... donc j'ai porté le projet pour réhabiliter un foyer pour les jeunes travailleurs dans le 1er arrondissement.
Paris Tribune : Dans votre bilan, quelques fois vous dites "j'ai", "je me suis personnellement impliquée" et d'autres fois vous dites "nous"... on ne sait pas quelle est la part de ce que vous avez...
Seybah Dagoma : C'est pour ça que je reprécise, c'est pour ça que je le précise...
Là en l'occurrence sur le programme des 20 logements sociaux, c'est moi qui suis à l'initiative parce que c'est moi qui ai demandé pour qu'une étude soit réalisée et après ça a marché... donc il y aura 20 logements sociaux.
Sur la Cayenne, c'est-à-dire le foyer des jeunes travailleurs, j'ai pris la suite de Alain Legarrec, qui était l’ancien conseiller de Pa..., l'ancien élu du 1er arrondissement, et j'ai porté ces projets pour ces logements pour les jeunes travailleurs.
Pour l'emploi à la Samaritaine, dans le cadre de la réhabilitation de la Samaritaine, c'est moi qui suis à l'initiative des emplois d'insertion. Parce qu'il va y avoir 2 200 emplois, parmi lesquels de nombreux emplois d'insertion et c'est moi en fait qui ai bougé pour ça.
Dans le cadre de la rénovation des Halles aussi, le chantier des Halles, j'ai anticipé pour effectivement qu'il y ait des contrats d'insertion et notamment avec des personnes très désocialisées du quartier. Cela a pu être mis en place grâce à une délibération que j'ai porté qui permet de travailler à la carte pour les personnes les plus désocialisées, comme cela progressivement elles reprennent confiance en elles. Et puis après l'objectif, c'est qu'elles puissent travailler en contrat à plein temps. Et donc elles ont travaillé dans un certain nombre de structures du centre de Paris comme La Clairière.
Il y avait une régie de quartier qui était 3e arrondissement, 2e arrondissement et 4e arrondissement... J'ai demandé à ce qu'elle soit étendue au 1er arrondissement.
Aujourd'hui maintenant la régie de quartier c'est la régie Paris Centre donc qui est 1, 2, 3, 4.
Sur les commerces de proximité, je me suis mobilisée et j'ai fait voter un voeu à l'unanimité pour la rue Saint-Anne pour qu’une étude soit menée pour savoir s'il y avait une mono-activité. Parce qu'il y a beaucoup de restaurants... vous savez, des restaurants japonais... donc j'ai demandé à ce qu'une étude soit menée pour savoir s'il y avait besoin de davantage de commerces de proximité.
Sur la culture, je me suis mobilisée personnellement pour qu'il y ait de l'insertion dans toutes les structures de la Ville de Paris, structures culturelles, et donc j'ai travaillé avec le Théâtre du Châtelet dans le 1er arrondissement. Et puis j’ai également travaillé avec le Théâtre de la Ville, là c'est le 4e ici à côté, pour qu'il y ait des actions en faveur des familles monoparentales.
Paris Tribune : Et pour le Théâtre des Déchargeurs ?
Seybah Dagoma : Oui, en fait j'ai aidé pour qu'il ait une subvention... ça c'est moi aussi... pour qu'il y ait des travaux parce qu'il mène des actions notamment pour des jeunes, pour permette au plus grand nombre et notamment aux gens les plus modestes de pouvoir aller au théâtre. Donc je les ai soutenu en fait le théâtre des Déchargeurs.
Paris Tribune : Au niveau de la santé vous parliez d'un voeu...
Seybah Dagoma : Oui mais sauf que là en l’occurrence... il y a eu un voeu mais il faut encore... bon, c'est-à-dire que là il faut encore se bagarrer parce qu'il y avait un centre de santé conventionné secteur 1 qui accueillait beaucoup de monde. Il y a eu des difficultés et nous on a fait un voeu pour que finalement il y ait un autre centre secteur 1 dans le 1er arrondissement.... Il faut encore se mobiliser et là c’est maintenant avec Jean-Marie Le Guen.... Avec Jean-Marie Le Guen et le Maire de Paris, on est en train de voir pour qu'il puisse y avoir un centre conventionné en secteur 1 dans le 1er arrondissement. Le centre de la rue du Louvre, il a fermé.
Paris Tribune : Vous avez également parlé de l'Union compagnionnique.
Seybah Dagoma : Oui je vous ai parlé de ça. C'est un foyer de jeunes travailleurs... on s'est mobilisé pour en effet pour qu'on puisse opérer des travaux.
Paris Tribune : Vous avez parlé de la modification du règlement intérieur qui permet de poser des questions...
Seybah Dagoma : Voilà… que les habitants puissent poser des questions... absolument.
Paris Tribune : Donc ça vous l'avez mis en place lorsque vous êtes arrivée au conseil du 1er arrondissement...
Seybah Dagoma : Absolument et voilà... et donc cela a été accepté et maintenant les habitants du 1er arrondissement peuvent poser des questions à l'issue des conseils.
Paris Tribune : Vous avez hérité de beaucoup de dossiers qui ont été fait précédemment et là ce que vous indiquez ce sont les choses dont vous êtes personnellement à l'initiative.
Seybah Dagoma : Voilà.
Paris Tribune : Et quels sont les projets que vous avez hérité d'Alain Legarrec ?
Seybah Dagoma : Avec lequel j'ai travaillé ? C'était les Compagnons. Les Compagnons, c'était lui au départ et puis j'ai continué à porter le projet.
Et pour le fait que les personnes puissent... que les habitants puissent poser des questions à l'issue du conseil du 1er arrondissement, c'était une démarche collective des socialistes du 1er arrondissement... ça n'est pas que moi ça... voilà.
Figure également dans son bilan écrit "des démarches urgentes pour permettre l'inscription à l'école d'élèves qui risquaient de se retrouver déscolarisés".
Pour l'ancien conseiller de Paris socialiste du 1er arrondissement Alain Legarrec, la politique c'est un "travail d'équipe".
Pour Jean-François Legaret le maire UMP du 1er arrondissement, son "sentiment sincère" est publié ici.
A suivre : Seybah Dagoma n'est pas contre le cumul des mandats...
Paris Tribune : Vous avez publié votre bilan du 1er arrondissement sur votre blog....
Seybah Dagoma : J'ai publié celui de l'économie sociale et solidaire.
Paris Tribune : Il y avait la publication de votre bilan en tant qu'adjointe...
Seybah Dagoma : Oui c'est ça...
Paris Tribune : Et celui en tant que conseillère du 1er arrondissement.
Seybah Dagoma : Ah d'accord, ah ben ça je ne me souviens plus, il faut que je… je... il faut que je le vois...
Paris Tribune : C'est pour revoir avec vous ce que vous avez publié.
Seybah Dagoma : D'accord, bon, ok, qu'est-ce que vous voulez savoir ?
Seybah Dagoma revient sur ces 4 années passées dans le 1er arrondissement : 2008-2009, 2009-2010, 2010-2011 et 2011-2012.
Seybah Dagoma : En tant qu'adjointe et conseillère du 1er arrondissement, j'étais en soutien de la politique du Maire de Paris dans l'arrondissement. C'est-à-dire que sur la plupart des projets, nous avons pris des engagements pour 2014 que nous avons mis en oeuvre dans le 1er arrondissement. Il y a un certain nombre de choses qui ont été faites.
Sur le logement, il y a eu énormément de logements sociaux qui ont été financés dans le 1er arrondissement. Et pour ma part à titre personnel, je suis à l'origine des logements sociaux qui vont être créés rue du Colonel Driant... 20 logements sociaux... c'est moi qui ai demandé à ce qu'une expertise soit faite... c’était une ancienne station Shell.
Donc voilà... il y a une étude qui a été faite et puis là aujourd'hui on travaille sur 20 logements sociaux.
Il y a également un autre projet... un projet de logements qui se trouve rue Berger. C'était les Compagnons et là j'ai pris la suite de l'ancien élu qui s'appelle Alain Legarrec... donc j'ai porté le projet pour réhabiliter un foyer pour les jeunes travailleurs dans le 1er arrondissement.
Paris Tribune : Dans votre bilan, quelques fois vous dites "j'ai", "je me suis personnellement impliquée" et d'autres fois vous dites "nous"... on ne sait pas quelle est la part de ce que vous avez...
Seybah Dagoma : C'est pour ça que je reprécise, c'est pour ça que je le précise...
Là en l'occurrence sur le programme des 20 logements sociaux, c'est moi qui suis à l'initiative parce que c'est moi qui ai demandé pour qu'une étude soit réalisée et après ça a marché... donc il y aura 20 logements sociaux.
Sur la Cayenne, c'est-à-dire le foyer des jeunes travailleurs, j'ai pris la suite de Alain Legarrec, qui était l’ancien conseiller de Pa..., l'ancien élu du 1er arrondissement, et j'ai porté ces projets pour ces logements pour les jeunes travailleurs.
Pour l'emploi à la Samaritaine, dans le cadre de la réhabilitation de la Samaritaine, c'est moi qui suis à l'initiative des emplois d'insertion. Parce qu'il va y avoir 2 200 emplois, parmi lesquels de nombreux emplois d'insertion et c'est moi en fait qui ai bougé pour ça.
Dans le cadre de la rénovation des Halles aussi, le chantier des Halles, j'ai anticipé pour effectivement qu'il y ait des contrats d'insertion et notamment avec des personnes très désocialisées du quartier. Cela a pu être mis en place grâce à une délibération que j'ai porté qui permet de travailler à la carte pour les personnes les plus désocialisées, comme cela progressivement elles reprennent confiance en elles. Et puis après l'objectif, c'est qu'elles puissent travailler en contrat à plein temps. Et donc elles ont travaillé dans un certain nombre de structures du centre de Paris comme La Clairière.
Il y avait une régie de quartier qui était 3e arrondissement, 2e arrondissement et 4e arrondissement... J'ai demandé à ce qu'elle soit étendue au 1er arrondissement.
Aujourd'hui maintenant la régie de quartier c'est la régie Paris Centre donc qui est 1, 2, 3, 4.
Sur les commerces de proximité, je me suis mobilisée et j'ai fait voter un voeu à l'unanimité pour la rue Saint-Anne pour qu’une étude soit menée pour savoir s'il y avait une mono-activité. Parce qu'il y a beaucoup de restaurants... vous savez, des restaurants japonais... donc j'ai demandé à ce qu'une étude soit menée pour savoir s'il y avait besoin de davantage de commerces de proximité.
Sur la culture, je me suis mobilisée personnellement pour qu'il y ait de l'insertion dans toutes les structures de la Ville de Paris, structures culturelles, et donc j'ai travaillé avec le Théâtre du Châtelet dans le 1er arrondissement. Et puis j’ai également travaillé avec le Théâtre de la Ville, là c'est le 4e ici à côté, pour qu'il y ait des actions en faveur des familles monoparentales.
Paris Tribune : Et pour le Théâtre des Déchargeurs ?
Seybah Dagoma : Oui, en fait j'ai aidé pour qu'il ait une subvention... ça c'est moi aussi... pour qu'il y ait des travaux parce qu'il mène des actions notamment pour des jeunes, pour permette au plus grand nombre et notamment aux gens les plus modestes de pouvoir aller au théâtre. Donc je les ai soutenu en fait le théâtre des Déchargeurs.
Paris Tribune : Au niveau de la santé vous parliez d'un voeu...
Seybah Dagoma : Oui mais sauf que là en l’occurrence... il y a eu un voeu mais il faut encore... bon, c'est-à-dire que là il faut encore se bagarrer parce qu'il y avait un centre de santé conventionné secteur 1 qui accueillait beaucoup de monde. Il y a eu des difficultés et nous on a fait un voeu pour que finalement il y ait un autre centre secteur 1 dans le 1er arrondissement.... Il faut encore se mobiliser et là c’est maintenant avec Jean-Marie Le Guen.... Avec Jean-Marie Le Guen et le Maire de Paris, on est en train de voir pour qu'il puisse y avoir un centre conventionné en secteur 1 dans le 1er arrondissement. Le centre de la rue du Louvre, il a fermé.
Paris Tribune : Vous avez également parlé de l'Union compagnionnique.
Seybah Dagoma : Oui je vous ai parlé de ça. C'est un foyer de jeunes travailleurs... on s'est mobilisé pour en effet pour qu'on puisse opérer des travaux.
Paris Tribune : Vous avez parlé de la modification du règlement intérieur qui permet de poser des questions...
Seybah Dagoma : Voilà… que les habitants puissent poser des questions... absolument.
Paris Tribune : Donc ça vous l'avez mis en place lorsque vous êtes arrivée au conseil du 1er arrondissement...
Seybah Dagoma : Absolument et voilà... et donc cela a été accepté et maintenant les habitants du 1er arrondissement peuvent poser des questions à l'issue des conseils.
Paris Tribune : Vous avez hérité de beaucoup de dossiers qui ont été fait précédemment et là ce que vous indiquez ce sont les choses dont vous êtes personnellement à l'initiative.
Seybah Dagoma : Voilà.
Paris Tribune : Et quels sont les projets que vous avez hérité d'Alain Legarrec ?
Seybah Dagoma : Avec lequel j'ai travaillé ? C'était les Compagnons. Les Compagnons, c'était lui au départ et puis j'ai continué à porter le projet.
Et pour le fait que les personnes puissent... que les habitants puissent poser des questions à l'issue du conseil du 1er arrondissement, c'était une démarche collective des socialistes du 1er arrondissement... ça n'est pas que moi ça... voilà.
Figure également dans son bilan écrit "des démarches urgentes pour permettre l'inscription à l'école d'élèves qui risquaient de se retrouver déscolarisés".
Pour l'ancien conseiller de Paris socialiste du 1er arrondissement Alain Legarrec, la politique c'est un "travail d'équipe".
Pour Jean-François Legaret le maire UMP du 1er arrondissement, son "sentiment sincère" est publié ici.
A suivre : Seybah Dagoma n'est pas contre le cumul des mandats...
Seybah Dagoma démissionne de son mandat de conseiller de Paris du 1er (2008 - 2012), Loïg Raoul (au centre) devient conseiller de Paris du 1er et Alain Legarrec, conseiller de Paris du 1er de 2001 à 2008 - Hôtel de Ville le 15 mai 2012 jour du discours de François Hollande - Photo : VD.
Articles :
- 5 décembre 2012 : Seybah Dagoma démissionne de son mandat de Conseiller de Paris.
- 8 décembre 2012 : L'élégant Jean-François Legaret.
- 5 septembre 2012 : Seybah Dagoma, députée de Paris bien assise dans un 1er mandat.
- 24 juin 2012 : Seybah Dagoma, une députée dans le 3e arrondissement.
- 24 juin 2012 : Seybah Dagoma, une députée dans le 10e arrondissement.
- 16 septembre 2011 : Logement social : comment diminuer le nombre de demandes dans le 1er arrondissement.
- 5 décembre 2012 : Seybah Dagoma démissionne de son mandat de Conseiller de Paris.
- 8 décembre 2012 : L'élégant Jean-François Legaret.
- 5 septembre 2012 : Seybah Dagoma, députée de Paris bien assise dans un 1er mandat.
- 24 juin 2012 : Seybah Dagoma, une députée dans le 3e arrondissement.
- 24 juin 2012 : Seybah Dagoma, une députée dans le 10e arrondissement.
- 16 septembre 2011 : Logement social : comment diminuer le nombre de demandes dans le 1er arrondissement.