Le 12 juillet, l’homme est interpellé alors qu’il rentre du "travail" ; son sac contient pied de biche, burin, tournevis, tenaille, lampe torche et clé dite triangle permettant l’ouverture des ascenseurs et locaux techniques.
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Chez lui, à défaut de bouteilles de vin, ce sont 176 trousseaux étiquetés et correspondant à des immeubles alto-séquanais (ndlr : des Hauts-de-Seine) qui sont découverts et saisis.
C'est suite à un vol avec effraction en date du 31 décembre 2010, où une cave est fracturée et 12 bouteilles de vin dérobées dans un immeuble d’Issy-les-Moulineaux (92), que les enquêteurs de la sûreté territoriale 92 relèvent deux empreintes. L’accès à l’immeuble, protégé par un digicode et un interphone et celui aux caves, équipé d’une serrure, sont intacts. Les enquêteurs effectuent un rapprochement avec de nombreux autres vols commis dans des caves du sud du département où là aussi, seules les portes ont été forcées. Un nom sort, c’est celui d’un Parisien de 49 ans déjà connu.
Le cambrioleur, déféré, est laissé libre sous contrôle judiciaire. Il explique aux enquêteurs se "servir" ainsi dans les caves 2 à 3 fois par semaine depuis une dizaine d’années, volant essentiellement des bouteilles de vins, les revendant et s’assurant ainsi un revenu hebdomadaire de 300 à 400 euros.
Ce sont environ 100 caves qui ont été visitées sur les 5 dernières années.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.
C'est suite à un vol avec effraction en date du 31 décembre 2010, où une cave est fracturée et 12 bouteilles de vin dérobées dans un immeuble d’Issy-les-Moulineaux (92), que les enquêteurs de la sûreté territoriale 92 relèvent deux empreintes. L’accès à l’immeuble, protégé par un digicode et un interphone et celui aux caves, équipé d’une serrure, sont intacts. Les enquêteurs effectuent un rapprochement avec de nombreux autres vols commis dans des caves du sud du département où là aussi, seules les portes ont été forcées. Un nom sort, c’est celui d’un Parisien de 49 ans déjà connu.
Le cambrioleur, déféré, est laissé libre sous contrôle judiciaire. Il explique aux enquêteurs se "servir" ainsi dans les caves 2 à 3 fois par semaine depuis une dizaine d’années, volant essentiellement des bouteilles de vins, les revendant et s’assurant ainsi un revenu hebdomadaire de 300 à 400 euros.
Ce sont environ 100 caves qui ont été visitées sur les 5 dernières années.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.