Immigration © CC BY-SA
Le droit d'asile sera respecté
Aux candidats qui "fuient leur pays parce qu'ils y sont menacés en raison de leur origine, de leur religion, de leur conviction politique" , Emmanuel Macron leur dit que "le droit d'asile est un devoir moral et politique" :
"La France est (votre) patrie".
Emmanuel Macron, premiers voeux aux Français le 31 décembre 2017.
L'immigration illégale sera régulée
Aux candidats qui "ne relèvent pas du droit d'asile" et "qui n'ont aucune chance d'obtenir la nationalité française", Emmanuel Macron déclare ne pas pouvoir "accueillir tout le monde" et surtout "sans règles" :
"Nous ne pouvons accepter qu'ils restent des mois, des années, dans une situation d'irrégularité qui n'est bonne ni pour eux ni pour le pays".
Emmanuel Macron, premiers voeux aux Français le 31 décembre 2017.
Règles et rigueur
Le président de la République promet une future loi sur l'asile et l'immigration "sur une ligne d'humanité et d'efficacité".
Ces déclarations crispent les parlementaires de gauche de sa majorité, des associations humanitaires et elles sont peu commentées.
La Maire de Paris Anne Hidalgo déclare, quelques heures après le chef de l'Etat, pour ses premiers voeux aux Parisiens sur BFM Paris souhaiter
Le projet de loi est très attendu et les débats au Parlement promettent d'être animés. Emmanuel Macron veut mettre en oeuvre 80 % de son programme avant la fin de l'année 2018.
Ces déclarations crispent les parlementaires de gauche de sa majorité, des associations humanitaires et elles sont peu commentées.
La Maire de Paris Anne Hidalgo déclare, quelques heures après le chef de l'Etat, pour ses premiers voeux aux Parisiens sur BFM Paris souhaiter
"que 2018 va, je l'espère, enchanter et donner de l'espoir et de l'énergie (...) avec beaucoup des défis à relever sur la solidarité (...) pour ceux qui ont besoin de protection et d'aide, nous essayons d'être à leur côté, bien sûr".
Anne Hidalgo, premiers voeux aux Parisiens le 31 décembre 2017 sur BFM Paris.
Le projet de loi est très attendu et les débats au Parlement promettent d'être animés. Emmanuel Macron veut mettre en oeuvre 80 % de son programme avant la fin de l'année 2018.