Le 4 décembre 2008, des voleurs armés, avec perruques et vêtement de femmes, dérobent sans aucun coup de feu, peu avant 17h30, des bijoux dans la sucursale parisienne du joailler de luxe Harry Winston dans le 8e arrondissement de Paris, avenue de Montaigne, près des Champs-Elysées. Tous les bijoux exposés sont dérobés ainsi que les diamants stockés dans les coffres, à l'exception d'un pendentif diamant et 2 montres incrustées de pierres précieuses : le butin est estimé à 85.000.000 € (soit 108 millions de $). La brigade de répression du banditisme (BRB) est saisie de l’enquête. En 2009, 25 personnes sont interpellées et la moitié du butin récupérée.
Le 7 mars 2011, les investigations des enquêteurs français et ceux de la Harry Winston Diamond Corporation basé à Toronto (Etats-Unis) conduisent à perquisitionner un pavillon en banlieue parisienne. Coulé dans le béton, dans un égout de récupération des eaux pluviales, ils découvrent 19 bagues et 3 boucles d'oreille, dont une paire complète, pour une valeur marchande globale de 20 600 000 $ (hors taxes). 4 de ces bagues sont respectivement estimées à 8,400,000 $ ; 2,400,000 $ ; 1, 820, 000 $ et 1,600,000 $.
Source :Service de communication de la Préfecture de police de Paris.
Le 7 mars 2011, les investigations des enquêteurs français et ceux de la Harry Winston Diamond Corporation basé à Toronto (Etats-Unis) conduisent à perquisitionner un pavillon en banlieue parisienne. Coulé dans le béton, dans un égout de récupération des eaux pluviales, ils découvrent 19 bagues et 3 boucles d'oreille, dont une paire complète, pour une valeur marchande globale de 20 600 000 $ (hors taxes). 4 de ces bagues sont respectivement estimées à 8,400,000 $ ; 2,400,000 $ ; 1, 820, 000 $ et 1,600,000 $.
Source :Service de communication de la Préfecture de police de Paris.