Quatre bornes seront installées dans le sens Paris-Deauville (200 km, 2 h 15) et trois dans l’autre puisque la ville de Deauville propose déjà des bornes électriques », explique Alexandre Delabre, responsable de la communication client de la Sanef (Sapn), qui gère cette portion d’autoroute. Ces bornes permettront de recharger rapidement un véhicule électrique, lors des arrêts sur les aires de service: « Le temps de charge entre 20 et 30 minutes permettra d’avoir des batteries chargées à 80 », ajoute Alexandre Delabre.
Pour le mode de paiement, Sodetrel, une filiale à 100 % d’EDF et opérateur de cette mobilité, propose de se recharger grâce au Pass Sodetrel, un badge d’accès disponible sur le site sodetrel-mobilite.fr ou dans les boutiques des stations-service équipées. Les abonnés d’autres opérateurs peuvent également accéder au réseau Corri-Door et s’y recharger, car les bornes sont interopérables. Elles sont accessibles à tous car universelles et communicantes, adaptées à toutes les marques de véhicules électriques.
Cette première du genre en France est l’aboutissement d’un projet national cofinancé par l’Union Européenne (RTE-T) et un consortium d’acteurs engagés dans la mobilité électrique et conduits par EDF. C’est une rupture majeure sur la question de l’autonomie des véhicules électriques : « Les propriétaires de véhicules électriques vont pouvoir sortir des zones péri-urbaines où ils restaient jusqu’à présent cantonnés », note Alexandre Delabre.
Pour le mode de paiement, Sodetrel, une filiale à 100 % d’EDF et opérateur de cette mobilité, propose de se recharger grâce au Pass Sodetrel, un badge d’accès disponible sur le site sodetrel-mobilite.fr ou dans les boutiques des stations-service équipées. Les abonnés d’autres opérateurs peuvent également accéder au réseau Corri-Door et s’y recharger, car les bornes sont interopérables. Elles sont accessibles à tous car universelles et communicantes, adaptées à toutes les marques de véhicules électriques.
Cette première du genre en France est l’aboutissement d’un projet national cofinancé par l’Union Européenne (RTE-T) et un consortium d’acteurs engagés dans la mobilité électrique et conduits par EDF. C’est une rupture majeure sur la question de l’autonomie des véhicules électriques : « Les propriétaires de véhicules électriques vont pouvoir sortir des zones péri-urbaines où ils restaient jusqu’à présent cantonnés », note Alexandre Delabre.