(c) Métro 3 Pont de Levallois.
Le 17 juillet 2011, entre 3 et 5 heures, deux rames de métro sont la cible de tagueurs alors qu’elles sont à l’arrêt à Levallois-Perret (92) station Pont de Levallois.
Les wagons sont entièrement bombés à la peinture indélébile ; le préjudice est de près de 7 000 euros.
A partir des différentes signatures, les policiers de la sous-direction régionale de la police des transports (SDRPT) identifient « le style » de deux équipes de « bombeurs » opérant sur l’agglomération parisienne.
Les images extraites de la vidéo protection permettent d’identifier deux tagueurs.
Agés de 26 et 28 ans, respectivement logisticien et informaticien et connus de la police pour de mêmes faits, ces Alto - Séquanais sont interpellés à leur domicile respectif le 27 juillet.
Les perquisitions permettent la découverte de nombreuses bombes de peinture, d’un panneau RATP et de documents conservés comme « trophées »... notamment des photographies de signatures similaires à celles relevées à la station Pont de Levallois.
Si l’un des deux hommes a reconnu « timidement » son implication, l’autre continue à nier. L’enquête se poursuit.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.
Les wagons sont entièrement bombés à la peinture indélébile ; le préjudice est de près de 7 000 euros.
A partir des différentes signatures, les policiers de la sous-direction régionale de la police des transports (SDRPT) identifient « le style » de deux équipes de « bombeurs » opérant sur l’agglomération parisienne.
Les images extraites de la vidéo protection permettent d’identifier deux tagueurs.
Agés de 26 et 28 ans, respectivement logisticien et informaticien et connus de la police pour de mêmes faits, ces Alto - Séquanais sont interpellés à leur domicile respectif le 27 juillet.
Les perquisitions permettent la découverte de nombreuses bombes de peinture, d’un panneau RATP et de documents conservés comme « trophées »... notamment des photographies de signatures similaires à celles relevées à la station Pont de Levallois.
Si l’un des deux hommes a reconnu « timidement » son implication, l’autre continue à nier. L’enquête se poursuit.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.