L’histoire de France défile sous les yeux des amateurs.
Louis XVI dont le règne et la mort marquent la transformation de la société française a inspiré de nombreux artistes. La Révolution et l’Empire aussi.
Louis XVI dont le règne et la mort marquent la transformation de la société française a inspiré de nombreux artistes. La Révolution et l’Empire aussi.
Ce sont les œuvres et objets de l’époque révolutionnaire qui retiennent l’attention de Paris Tribune puisqu’il y a 220 ans la Révolution anime Paris, la France et l’Europe. Mais bien d’autres souvenirs historiques sont illustrés par les lots, de Saint Louis à la Restauration et au Comte de Chambord en passant par Henri IV, Louis XIV et Napoléon.
Visitez vite la salle 4, au 9 rue Drouot dans le 9e arrondissement de Paris, où l’exposition se déroule mercredi 17 octobre 2012 de 11h à midi avant que la vente, aux thèmes souvenirs historiques, familles royales et militaria, ne commence à 14h sous le marteau de Maître Olivier Coutau-Bégarie, Commissaire-Priseur à Paris. Les frais en sus des prix d’adjudication sont de 24,92% TTC et les estimations communiquées dans l’article sont données hors frais de vente.
Visitez vite la salle 4, au 9 rue Drouot dans le 9e arrondissement de Paris, où l’exposition se déroule mercredi 17 octobre 2012 de 11h à midi avant que la vente, aux thèmes souvenirs historiques, familles royales et militaria, ne commence à 14h sous le marteau de Maître Olivier Coutau-Bégarie, Commissaire-Priseur à Paris. Les frais en sus des prix d’adjudication sont de 24,92% TTC et les estimations communiquées dans l’article sont données hors frais de vente.
Louis XVI est à Drouot
Lot n°2 Portrait de Louis XVI école française XVIIIe (c) Coutau-Bégarie.
Le lot n°2 est une miniature ronde sur ivoire, école française du XVIIIe siècle. Portrait en buste du roi Louis XVI, le représentant légèrement de trois-quarts, conservée dans un cadre en bois naturel, sous verre bombé, ornée d’un entourage en bronze doré, Bon état dans l’ensemble avec une légère restauration sur la partie droite. Miniature. Diam : 8 cm. Cadre : H.: 15 cm L : 14, 5 cm. L’estimation : 2.500 à 3.000 €.
Caisse de l’extraordinaire
Lot n°4 Assignat de 200 Livres (c) Coutau-Bégarie.
En 2012 la crise persiste, les finances publiques sont obérées. Mais en 1789, si le Roi Louis XVI convoque les Etats Généraux, c’est parce que les caisses du Royaume sont vides. Et du papier est émis. Le lot n°4 est un symbole de la réponse infructueuse à la crise financière : un Assignat de 200 livres, orné d’un portait vu de profil du roi Louis XVI et d’un cachet à froid également à son profil, émis par les domaines nationaux, remboursable à la « Caisse de l’extraordinaire ».
Imprimé à l'encre noire avec signature autographe, il porte le numéro d’émission : 13832, à l’encre. Pliures et petites déchirures au centre, mais bon état dans l’ensemble, l’assignat est conservé dans un encadrement postérieur en bois. A vue : H. : 16, 5 cm L. : 16, 5 cm. L’adjudication devrait intervenir vers 150 à 200 €. Il valait mieux placer les 200 livres en Louis d’or. Sinon, avec 200 livres, il était possible d’acheter dans la décennie 1780 près de 10.000 œufs, puisqu’une douzaine d’œufs coûte environ 5 sols soit un quart de livre (1).
Imprimé à l'encre noire avec signature autographe, il porte le numéro d’émission : 13832, à l’encre. Pliures et petites déchirures au centre, mais bon état dans l’ensemble, l’assignat est conservé dans un encadrement postérieur en bois. A vue : H. : 16, 5 cm L. : 16, 5 cm. L’adjudication devrait intervenir vers 150 à 200 €. Il valait mieux placer les 200 livres en Louis d’or. Sinon, avec 200 livres, il était possible d’acheter dans la décennie 1780 près de 10.000 œufs, puisqu’une douzaine d’œufs coûte environ 5 sols soit un quart de livre (1).
L’affaire du collier
Lot n°32 Collier de la Reine (c) Coutau-Bégarie.
Le lot n°32 rappelle une autre cause de la Révolution, l’affaire du collier de la Reine Marie-Antoinette. C’est une gravure ancienne, rehaussée à l’aquarelle, représentant le célèbre collier acquis à l’insu de la Reine par le Cardinal de Rohan, lui-même abusé. Le scandale a parcouru tout le Royaume. Un amateur doit pouvoir l’acquérir avec une enchère de 400 à 600 €.
Marie-Antoinette est aussi présente
Lot n°20 Paire de souliers de Marie-Antoinette (c) Coutau-Bégarie.
Le lot n°17 est une miniature ovale sur ivoire, la représentant en buste légèrement de trois-quarts, portant une robe bleue, d’après le célèbre portrait de Madame Elisabeth Vigée-Lebrun, datant de 1785 et actuellement conservé au Musée de Versailles. Petites usures, mais bon état dans l’ensemble. Epoque Restauration. H. : 14 cm L. : 11 cm. Estimation : 600 à 800 €.
Mais si les pieds de la Reine ou la mode juste avant la Révolution sont source de fantasmes pour un collectionneur, le lot n°20 est pour lui à la condition qu’il y mette le prix, car l’enchère doit se situer entre 8.000 et 10.000 €.
L’objet de désir, une paire de souliers, en soie, de couleur verte alternée de bandes roses ornés sur le devant d’un nœud, retenu par un ruban plissé en soie de même couleur. Talon en bois recouvert de peau blanche, semelle de marche en cuir, bout pointu, intérieur en peau blanche. Ce modèle est de pointure 36 1/2, correspondant à celle de la reine Marie-Antoinette. Les petits souliers sont marqués par les usures du temps, vendus en l’état. Dimensions : L. : 24 cm L. : 6 cm H. : 10 cm. Provenance : Cette paire de souliers fut offerte par la souveraine à Alexandre-Bernard Ju des Retz (1752-1837), qui a été conseiller au Parlement de Paris et auparavant, lorsqu’il était jeune, à son service à Versailles.
Le lot n°34 est une émouvante relique portée par la souveraine lors de sa captivité au Temple. Mancheron en jersey de coton blanc brodé dune couronne royale en fils rouge, conservé dans un cadre en bois doré, contenant au bas l’explication manuscrite, suivante : « Mancheron porté par la reine Marie-Antoinette pendant sa captivité au Temple, donné par S.A.R. la duchesse d’Angoulême, à la comtesse Ludovic de Poix, née Eugénie du Puy, à sa visite à Frohsdorf en 1851 ». Petites taches, vendu en l’état. Mancheron : H. : 13, 5 cm L. : 11, 5 cm. Cadre : H. : 21, 5 cm L. : 16, 5 cm. Enchère possible : 2.000 à 2.500 €. Mais elle peut être largement dépassée.
Après le Roi et la Reine, le Dauphin, le futur Louis XVII qui ne régna pas, est aussi présent dans la vacation.
Mais si les pieds de la Reine ou la mode juste avant la Révolution sont source de fantasmes pour un collectionneur, le lot n°20 est pour lui à la condition qu’il y mette le prix, car l’enchère doit se situer entre 8.000 et 10.000 €.
L’objet de désir, une paire de souliers, en soie, de couleur verte alternée de bandes roses ornés sur le devant d’un nœud, retenu par un ruban plissé en soie de même couleur. Talon en bois recouvert de peau blanche, semelle de marche en cuir, bout pointu, intérieur en peau blanche. Ce modèle est de pointure 36 1/2, correspondant à celle de la reine Marie-Antoinette. Les petits souliers sont marqués par les usures du temps, vendus en l’état. Dimensions : L. : 24 cm L. : 6 cm H. : 10 cm. Provenance : Cette paire de souliers fut offerte par la souveraine à Alexandre-Bernard Ju des Retz (1752-1837), qui a été conseiller au Parlement de Paris et auparavant, lorsqu’il était jeune, à son service à Versailles.
Le lot n°34 est une émouvante relique portée par la souveraine lors de sa captivité au Temple. Mancheron en jersey de coton blanc brodé dune couronne royale en fils rouge, conservé dans un cadre en bois doré, contenant au bas l’explication manuscrite, suivante : « Mancheron porté par la reine Marie-Antoinette pendant sa captivité au Temple, donné par S.A.R. la duchesse d’Angoulême, à la comtesse Ludovic de Poix, née Eugénie du Puy, à sa visite à Frohsdorf en 1851 ». Petites taches, vendu en l’état. Mancheron : H. : 13, 5 cm L. : 11, 5 cm. Cadre : H. : 21, 5 cm L. : 16, 5 cm. Enchère possible : 2.000 à 2.500 €. Mais elle peut être largement dépassée.
Après le Roi et la Reine, le Dauphin, le futur Louis XVII qui ne régna pas, est aussi présent dans la vacation.
Le Dauphin Louis XVII est avec ses parents
Le lot n°28 est un médaillon rond, orné au centre de son buste en biscuit, de profil, la tête tournée vers la gauche, conservé sur un présentoir chevalet en velours rouge. Bon état. Travail du XXe siècle, Manufacture de Sèvres . Diam : 9 cm. Cadre : H. : 15 cm L. : 14 cm. Pour une enchère de 200 à 300 €, il doit être à vous.
Le lot n°36 représente le Dauphin en compagnie de Madame Royale. La gravure d’époque de la Restauration les représente alors qu’ils examinent une carte d’Allemagne. Conservée dans un encadrement moderne à baguette noire, elle est en bon état. H : 42,5 cm L ; 50 cm. Estimation : 300 à 400 €.
Et le lot 38 bis est une œuvre de Gabriel prénommé Georges-François-Marie (1775-1836). C’est un portrait du cordonnier Antoine Simon (1736-1794), gardien de Louis XVII au Temple. Dessin à la sanguine le représentant de face en buste, vêtu d’un chapeau, signé en bas à droite « Gabriel » et légendé en bas à gauche « Simon du Temple ». Conservé sous marie-louise dans un cadre ancien en bois doré. Bon état. Dessin : H.: 16 cm L.: 12, 5 cm. Cadre: H.: 25, 5 cm L.: 22 cm. Le marteau du commissaire-priseur doit s’abattre autour de 400 à 600 €.
Le lot n°36 représente le Dauphin en compagnie de Madame Royale. La gravure d’époque de la Restauration les représente alors qu’ils examinent une carte d’Allemagne. Conservée dans un encadrement moderne à baguette noire, elle est en bon état. H : 42,5 cm L ; 50 cm. Estimation : 300 à 400 €.
Et le lot 38 bis est une œuvre de Gabriel prénommé Georges-François-Marie (1775-1836). C’est un portrait du cordonnier Antoine Simon (1736-1794), gardien de Louis XVII au Temple. Dessin à la sanguine le représentant de face en buste, vêtu d’un chapeau, signé en bas à droite « Gabriel » et légendé en bas à gauche « Simon du Temple ». Conservé sous marie-louise dans un cadre ancien en bois doré. Bon état. Dessin : H.: 16 cm L.: 12, 5 cm. Cadre: H.: 25, 5 cm L.: 22 cm. Le marteau du commissaire-priseur doit s’abattre autour de 400 à 600 €.
L’Histoire est tragique…
Le lot n° 33 illustre le jugement de Marie-Antoinette d’Autriche au tribunal révolutionnaire. Lithographie ancienne signée Bouillon et Casenave, datée 1794, représentant cette triste et célèbre scène historique. Avec texte historique au bas du document. Accident, vendu en l’état. H. : 49, 5 cm L. : 62, 5 cm.
Le lot n° 35 transmet les derniers adieux de la reine Marie-Antoinette. Gravure signée Alfred Cornillet, d’après le portrait peint par Henri Bource, imprimée à Paris par Alfred Chardon, la représentant embrassant sa fille Madame Royale en pleurs, auprès de la sœur de Louis XVI, Madame Elisabeth. Conservée dans un cadre en bois naturel orne d’une baguette dorée. Epoque : Restauration. H. : 72 cm L. : 50, 5 cm.
Pour chacun de ces deux lots, l’enchère gagnante peut se situer entre 200 et 300 €.
Le lot n° 35 transmet les derniers adieux de la reine Marie-Antoinette. Gravure signée Alfred Cornillet, d’après le portrait peint par Henri Bource, imprimée à Paris par Alfred Chardon, la représentant embrassant sa fille Madame Royale en pleurs, auprès de la sœur de Louis XVI, Madame Elisabeth. Conservée dans un cadre en bois naturel orne d’une baguette dorée. Epoque : Restauration. H. : 72 cm L. : 50, 5 cm.
Pour chacun de ces deux lots, l’enchère gagnante peut se situer entre 200 et 300 €.
Mais après le Roi, après la Reine, les Girondins seront jugés et conduits à l’échafaud
Il en sera ainsi du Marseillais, Charles, Jean-Marie Barbaroux (1767-1794) dont le lot n°65 représente un portrait, école française de la fin du XVIIIe Siècle. Miniature sur ivoire le représentant en buste en redingote grise, conservée sous verre dans un cerclage en laiton doré avec anneau de suspension. Bon état, petits manques. Diam.: 6, 5 cm. Son estimation : 300 à 500 €.
Le lot n° 66 évoque une célèbre contre-révolutionnaire, elle aussi guillotinée. C’est un portrait de Charlotte Corday (1768-1793), la femme qui assassine Marat dans sa baignoire. Miniature sur ivoire, portant un monogramme sur la droite et la date : An 2. Cette miniature est réalisée d’après une œuvre légèrement similaire peint par Antoine Vestier.
Conservée sous verre bombé, dans un cadre en bronze doré, orné d’une bordure sculptée de feuillage stylisé, avec attache de suspension. Travail du XIXe siècle. H. : 9, 5 cm L. : 8 cm. Provenance : ancienne collection Cassel, vente Ader, 1953. Il faudra monter les enchères entre 800 et 1.200 € selon l’expert.
Avec le lot n°67, c’est encore la contre-révolution dont le souffle traverse la salle 4 de l’hôtel Drouot puisque c’est une cocarde vendéenne en tissu blanc, pour chapeau, qui est présentée. Conservée sous verre bombé dans un cadre en bois noirci et cerclé de laiton doré. Bon état malgré les usures du temps. Travail français de l’époque révolutionnaire et des guerres de Vendée. Diam : 7 cm. Cadre : H : 16 cm L : 14 cm. Son estimation est de 400 à 600 €. Des vendéens survivants des massacres feront-ils monter les enchères pour posséder ce témoignage du passé ? En ce cas, l’estimation sera dépassée.
Le lot n° 66 évoque une célèbre contre-révolutionnaire, elle aussi guillotinée. C’est un portrait de Charlotte Corday (1768-1793), la femme qui assassine Marat dans sa baignoire. Miniature sur ivoire, portant un monogramme sur la droite et la date : An 2. Cette miniature est réalisée d’après une œuvre légèrement similaire peint par Antoine Vestier.
Conservée sous verre bombé, dans un cadre en bronze doré, orné d’une bordure sculptée de feuillage stylisé, avec attache de suspension. Travail du XIXe siècle. H. : 9, 5 cm L. : 8 cm. Provenance : ancienne collection Cassel, vente Ader, 1953. Il faudra monter les enchères entre 800 et 1.200 € selon l’expert.
Avec le lot n°67, c’est encore la contre-révolution dont le souffle traverse la salle 4 de l’hôtel Drouot puisque c’est une cocarde vendéenne en tissu blanc, pour chapeau, qui est présentée. Conservée sous verre bombé dans un cadre en bois noirci et cerclé de laiton doré. Bon état malgré les usures du temps. Travail français de l’époque révolutionnaire et des guerres de Vendée. Diam : 7 cm. Cadre : H : 16 cm L : 14 cm. Son estimation est de 400 à 600 €. Des vendéens survivants des massacres feront-ils monter les enchères pour posséder ce témoignage du passé ? En ce cas, l’estimation sera dépassée.
Rare symbole de la monarchie constitutionnelle de 1791
Lot n°68 Cocarde Fête de la Fédération (c) Coutau-Bégarie.
En revanche, le lot 68 renvoie à la monarchie constitutionnelle de 1791. Rare cocarde de la Fête de la Fédération, en tissu blanc, pour habit, à décor polychrome peint à la main des armes d’alliance de France et des opposants à la Révolution sous couronne royale, surmontant les devises « Vive le Roi » et « Vive la Nation ». Conservée sous verre dans un cadre rectangulaire en bois doré, avec annotation manuscrite au dos : « Cocarde Fête de la Fédération ». Bon état, usures du temps. Travail français d’époque révolutionnaire. Diam. : 11, 5 cm. Cadre : H. : 25 cm L. : 21 cm. Les amateurs peuvent être nombreux. Le prix d’adjudication envisagé se situe autour de 1.100 à 1.300 € sous réserve de la fièvre des enchères pour ce symbole de l’unité de la Nation.
Les attributs révolutionnaires : les armes des révoltés
Lot n°74 Armes des Révoltés (c) Coutau-Bégarie.
Quant au lot n° 74, il s’inscrit dans la Révolution plus radicale et représente des attributs révolutionnaires, une coiffe, des armes, des drapeaux, avec l’inscription manuscrite sur le bas : « les armes des révoltés ». Cette œuvre, aquarelle et encre, est conservée dans un encadrement d’époque, avec au dos une gravure représentant la prison civile de Bruxelles. Bon état, usures du temps. H. : 15, 5 cm L. : 12 cm. Pour 200 à 300 €, l’enchérisseur peut espérer entendre le mot « adjugé ».
Mais après la Révolution, la Directoire, Bonaparte et le Consulat, Napoléon et l’Empire et puis, une France épuisée et la Restauration.
Mais après la Révolution, la Directoire, Bonaparte et le Consulat, Napoléon et l’Empire et puis, une France épuisée et la Restauration.
… la France a connu tous les régimes
Le lot n°106 est un portrait en buste de Louis XVIII, Huile sur toile, école française du XIXe Siècle, restaurations sur le tableau, bon état dans l’ensemble, H : 72 cm L : 56 cm, estimation 1.800 à 2.000 €..
Et le lot n° 108 est une œuvre du peintre Auguste VINCHON (1789-1865). L’artiste né avec la Révolution représente le Roi Louis XVIII, présidant l’ouverture de la session des Chambres, le 4 juin 1814, en présence du duc d’Orléans (futur roi Louis-Philippe), du duc d’Angoulême, du duc de Berry, du prince de Talleyrand, des membres de la famille royale, des notables et pairs de France. Huile sur toile, conservée dans son cadre d’origine en bois doré. Etude préparatoire pour le grand tableau réalisé par l’artiste en 1838, à la demande du roi Louis-Philippe, pour figurer dans la Galerie de l’Histoire de France au château de Versailles et mis en place en 1842. Bon état. A vue : H. : 45 cm L. : 64 cm. Cadre : H. : 70 cm L. : 90 cm. L’estimation de 2.000 à 3.000 € permet à un amateur d’art et d’histoire de réaliser la belle affaire.
(1) En 1781, le régisseur du château de Matha (Charente-Maritime) payait la douzaine d’oeufs 5 sols (soit 0,25 livre) - source http://www.histoirepassion.eu
Et le lot n° 108 est une œuvre du peintre Auguste VINCHON (1789-1865). L’artiste né avec la Révolution représente le Roi Louis XVIII, présidant l’ouverture de la session des Chambres, le 4 juin 1814, en présence du duc d’Orléans (futur roi Louis-Philippe), du duc d’Angoulême, du duc de Berry, du prince de Talleyrand, des membres de la famille royale, des notables et pairs de France. Huile sur toile, conservée dans son cadre d’origine en bois doré. Etude préparatoire pour le grand tableau réalisé par l’artiste en 1838, à la demande du roi Louis-Philippe, pour figurer dans la Galerie de l’Histoire de France au château de Versailles et mis en place en 1842. Bon état. A vue : H. : 45 cm L. : 64 cm. Cadre : H. : 70 cm L. : 90 cm. L’estimation de 2.000 à 3.000 € permet à un amateur d’art et d’histoire de réaliser la belle affaire.
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Souvenirs Historiques, familles royales, militaria, sont les thèmes de la vente aux enchères de l’étude Coutau-Bégarie.
Il appartient aux personnes désirant porter des enchères de vérifier l'état des lots et de prendre toutes les informations auprès du commissaire-priseur qui réalise la vente et de l'expert.