Avec toutes les souffrances d'un enfant, sa peur du monde, et les contradictions entre les interdits de l’enfance et les libertés de l’adulte, Marc Levy écrit une véritable « parabole du passage de l’enfance à l’âge adulte ». Tout au long des 275 pages, l'auteur, à travers son héros, met en avant les grandes lignes psychologiques qui façonnent un individu, depuis le petit garçon jusqu'à l’homme qu’il est censé devenir.
L’adulte finit à un moment de sa vie par accepter l’enfant qu’il était, et apprend à laisser son passé pour vivre son présent. Adoptant cette fois-ci le registre de la psychologie, ML dévoile une histoire à caractère à la fois individuel et universel. Individuel parce que c’est une histoire propre à chacun. Universel parce que tout le monde se reconnaît dans les peurs de l'enfance du jeune héros.
Marc Levy a eu cette idée de registre alors qu’il se trouvait dans un parc. La ressemblance entre un enfant et son grand-père le frappe. De ces visages, il observe ce qu’il appelle « une expérience inversée » : le petit garçon a un visage des plus sérieux, quant au grand-père il paraît plus jeune que son petit fils.
Cette première image pose à l’auteur la question d’un transfert de génération auquel il a envie de répondre : comparer l’enfant à l’homme qu’il est devenu.
En écrivant ce livre, ML à 3 envies bien précises :
- réussir à animer un personnage sans jamais lui donner de nom ; jusque-là il ne les décrivait jamais physiquement mais ils avaient toujours des noms ;
- ne pas marquer l’histoire à une époque précise ;
- ne pas situer géographiquement les lieux de l’histoire.
En 10 ans, Marc Levy a publié 11 romans à plus de 20 millions d'exemplaires en 41 langues. Il était donc inévitable qu’un de ses admirateurs lui demande comment il s’est mis à écrire ! C’était selon lui « très accidentel, je ne l’ai pas fait exprès ! »
Marc Levy a eu cette idée de registre alors qu’il se trouvait dans un parc. La ressemblance entre un enfant et son grand-père le frappe. De ces visages, il observe ce qu’il appelle « une expérience inversée » : le petit garçon a un visage des plus sérieux, quant au grand-père il paraît plus jeune que son petit fils.
Cette première image pose à l’auteur la question d’un transfert de génération auquel il a envie de répondre : comparer l’enfant à l’homme qu’il est devenu.
En écrivant ce livre, ML à 3 envies bien précises :
- réussir à animer un personnage sans jamais lui donner de nom ; jusque-là il ne les décrivait jamais physiquement mais ils avaient toujours des noms ;
- ne pas marquer l’histoire à une époque précise ;
- ne pas situer géographiquement les lieux de l’histoire.
En 10 ans, Marc Levy a publié 11 romans à plus de 20 millions d'exemplaires en 41 langues. Il était donc inévitable qu’un de ses admirateurs lui demande comment il s’est mis à écrire ! C’était selon lui « très accidentel, je ne l’ai pas fait exprès ! »
Ayant pris l’habitude de raconter chaque soir une histoire à épisode à son fils, il écrivait le soir l’épisode du lendemain. Cela a duré jusqu'aux 9 ans du jeune Levy. Il s'est ensuite mis à écrire pour l’homme qu’il allait devenir. C’est ainsi que son premier roman vit le jour : « Et si c’était vrai ».
« Le voleur d'ombres » de Marc Levy aux éditions Robert Laffont - ISBN 978-2-221-11312-7. Prix : 21 €
« Le voleur d'ombres » de Marc Levy aux éditions Robert Laffont - ISBN 978-2-221-11312-7. Prix : 21 €
Marc Levy enchaînant les dédicaces à la mairie du 16e arrondissement le 18 juin 2010.