Au service de l'intérêt général, Pierre-Yves Bournazel veut "garder ce que Bertrand Delanoe et Anne Hidalgo ont fait de bien comme le tramway, Vélib, Nuit Blanche ou Paris Plage" : "Cela me donne plus de force et de légitimité pour dire ce que je changerai, ce que je réorienterai sur la priorité d'amélioration de la vie quotidienne des Parisiens".
Questions et réponses avec PYB
Age en 2013 : 35 ans
Lieu de naissance : Né à Riom-ès-Montagnes dans le Cantal en Auvergne.
Statut familial : Célibataire.
Formation de base : Sciences Po Toulouse intégré après le baccalauréat.
Paris Tribune : Quelle est la nature de la politique : est-elle par nature plutôt des actes, des paroles ou des idées ?
Pierre-Yves Bournazel : La politique ce sont des idées et des actes, elle transforme ses idées en actes. La politique, c'est être mandaté par les citoyens pour décider des projets d'idées à mettre en oeuvre dans l'intérêt général.
Paris Tribune : Quelle est la fonction de la politique ?
PYB : La politique c'est faire vivre les citoyens ensemble quelles que soient les conditions sociales, les quartiers, quel que soit l'âge, quelle que soit l'origine. C'est de pouvoir vivre ensemble.
Paris Tribune : Quelles sont les qualités à acquérir ou à développer pour faire de la politique ?
PYB : Ecouter, le dialogue, l'échange et la force de décider.
Paris Tribune : La politique doit-elle rendre les gens heureux ?
PYB : La politique doit permettre de vivre ensemble quelle que soit la dimension sociale ou d'origine. Plus de que rendre les gens heureux, la politique doit rendre tolérant, par l'acceptation des différences.
Paris Tribune : Qu'est-ce que le bonheur pour vous ?
PYB : Le bonheur, c'est peut-être quelque chose de plus personnel, de l'ordre du ressenti... Ce sont des instants. La politique, c'est dans la durée. Ce n'est pas dans la politique que l'on trouve le bonheur, c'est dans la construction du vivre ensemble. Si cela rend les gens heureux, tant mieux, et donc il faut construire le vivre ensemble.
Paris Tribune : Paris est une ville prestigieuse. Pourquoi vouloir se présenter à Paris ?
PYB : Parce que j'y suis depuis plus de 12 ans, dans le XVIIIe arrondissement, 204 000 habitants, un petit Paris où j'ai beaucoup appris. Maire de Paris, c'est deux choses : une consultation régulière avec les citoyens pour améliorer la vie quotidienne. C'est du concret : améliorer les places en crèches, ... Et en même temps, c'est le Maire manager, ambassadeur de sa ville qui attire l'emploi et la créativité. La voix du Maire de Paris doit être singulière car il porte Paris. Je voudrais que le Maire de Paris utilise davantage sa voix par exemple sur la politique internationale, pas pour faire de la diplomatie parallèle mais pour s'intéresser aux situations des minorités comme les Chrétiens d'Orient... Comme c'est une ville prestigieuse, elle doit défendre des valeurs.
Paris Tribune : Pouvez-vous nous indiquer trois propositions concrètes pour Paris même si leur mise en oeuvre ne dépend pas que de Paris ?
PYB 1 - Créer une police municipale à pied et à vélo, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
2 - Privatiser la collecte des ordures ménagères pour redéployer les effectifs de la Ville de Paris sur d'autres missions.
3 - Faire une gouvernance du Grand Paris sur le logement avec une règle des trois tiers dans l'attribution des logements : 1/3 pour les plus précaires, 1/3 pour les classes moyennes et les familles avec du logement aidé et 1/3 pour les jeunes travailleurs, les apprentis, les étudiants, les seniors dans tous les nouveaux ensembles immobiliers.]i
Paris Tribune : Une dernière question, avez-vous des tabous ?
PYB : Non, je n'ai pas de tabous mais j'ai des jardins secrets. Le tabou, c'est quelque chose dont on ne devrait pas parler. Parfois on doit parler, comprendre, on ne détient pas toute la vérité, il n'y a pas de sujet tabou, on peut évoluer sur tout. Le jardin secret, c'est pour soi.
Lieu de naissance : Né à Riom-ès-Montagnes dans le Cantal en Auvergne.
Statut familial : Célibataire.
Formation de base : Sciences Po Toulouse intégré après le baccalauréat.
Paris Tribune : Quelle est la nature de la politique : est-elle par nature plutôt des actes, des paroles ou des idées ?
Pierre-Yves Bournazel : La politique ce sont des idées et des actes, elle transforme ses idées en actes. La politique, c'est être mandaté par les citoyens pour décider des projets d'idées à mettre en oeuvre dans l'intérêt général.
Paris Tribune : Quelle est la fonction de la politique ?
PYB : La politique c'est faire vivre les citoyens ensemble quelles que soient les conditions sociales, les quartiers, quel que soit l'âge, quelle que soit l'origine. C'est de pouvoir vivre ensemble.
Paris Tribune : Quelles sont les qualités à acquérir ou à développer pour faire de la politique ?
PYB : Ecouter, le dialogue, l'échange et la force de décider.
Paris Tribune : La politique doit-elle rendre les gens heureux ?
PYB : La politique doit permettre de vivre ensemble quelle que soit la dimension sociale ou d'origine. Plus de que rendre les gens heureux, la politique doit rendre tolérant, par l'acceptation des différences.
Paris Tribune : Qu'est-ce que le bonheur pour vous ?
PYB : Le bonheur, c'est peut-être quelque chose de plus personnel, de l'ordre du ressenti... Ce sont des instants. La politique, c'est dans la durée. Ce n'est pas dans la politique que l'on trouve le bonheur, c'est dans la construction du vivre ensemble. Si cela rend les gens heureux, tant mieux, et donc il faut construire le vivre ensemble.
Paris Tribune : Paris est une ville prestigieuse. Pourquoi vouloir se présenter à Paris ?
PYB : Parce que j'y suis depuis plus de 12 ans, dans le XVIIIe arrondissement, 204 000 habitants, un petit Paris où j'ai beaucoup appris. Maire de Paris, c'est deux choses : une consultation régulière avec les citoyens pour améliorer la vie quotidienne. C'est du concret : améliorer les places en crèches, ... Et en même temps, c'est le Maire manager, ambassadeur de sa ville qui attire l'emploi et la créativité. La voix du Maire de Paris doit être singulière car il porte Paris. Je voudrais que le Maire de Paris utilise davantage sa voix par exemple sur la politique internationale, pas pour faire de la diplomatie parallèle mais pour s'intéresser aux situations des minorités comme les Chrétiens d'Orient... Comme c'est une ville prestigieuse, elle doit défendre des valeurs.
Paris Tribune : Pouvez-vous nous indiquer trois propositions concrètes pour Paris même si leur mise en oeuvre ne dépend pas que de Paris ?
PYB 1 - Créer une police municipale à pied et à vélo, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
2 - Privatiser la collecte des ordures ménagères pour redéployer les effectifs de la Ville de Paris sur d'autres missions.
3 - Faire une gouvernance du Grand Paris sur le logement avec une règle des trois tiers dans l'attribution des logements : 1/3 pour les plus précaires, 1/3 pour les classes moyennes et les familles avec du logement aidé et 1/3 pour les jeunes travailleurs, les apprentis, les étudiants, les seniors dans tous les nouveaux ensembles immobiliers.]i
Paris Tribune : Une dernière question, avez-vous des tabous ?
PYB : Non, je n'ai pas de tabous mais j'ai des jardins secrets. Le tabou, c'est quelque chose dont on ne devrait pas parler. Parfois on doit parler, comprendre, on ne détient pas toute la vérité, il n'y a pas de sujet tabou, on peut évoluer sur tout. Le jardin secret, c'est pour soi.
Maîtrise du temps de parole et expression libre
Paris Tribune : Au conseil de Paris, les élus peuvent intervenir pendant 1 minute maximum pour présenter un voeu non-rattaché à un projet de délibération. C'est à votre tour pour 1 minute, sur le sujet de votre choix, sans question, sans chronomètre.
Dès la première prise, le candidat à la Mairie de Paris Pierre-Yves Bournazel tient la corde avec un temps de parole de 1 minute et 2 secondes. A la deuxième prise, il s'arrête à 1 minute et 7 secondes en s'interrompant en riant "non ça ne va pas !"
Soit un temps de parole en règle générale accepté par le président de séance du conseil de Paris pour présenter un voeu non rattaché à un projet de délibération.
Et un temps de parole également inférieur aux 2 minutes réglementaires autorisés pour une explication de vote à propos d'un amendement ou d'un voeu.
A la quatrième prise, il s'exprime en 1 minute et 21 secondes, un temps de parole inférieur aux 2 minutes réglementaires autorisées pour une explication de vote à propos d'un amendement ou d'un voeu.
Lancer les vidéos pour écouter l'expression libre de Pierre-Yves Bournazel, candidat aux primaires UMP pour Paris 2014.
Expression libre de Pierre-Yves Bournazel en 1 mn 7 sec.
Dès la première prise, le candidat à la Mairie de Paris Pierre-Yves Bournazel tient la corde avec un temps de parole de 1 minute et 2 secondes. A la deuxième prise, il s'arrête à 1 minute et 7 secondes en s'interrompant en riant "non ça ne va pas !"
Soit un temps de parole en règle générale accepté par le président de séance du conseil de Paris pour présenter un voeu non rattaché à un projet de délibération.
Et un temps de parole également inférieur aux 2 minutes réglementaires autorisés pour une explication de vote à propos d'un amendement ou d'un voeu.
A la quatrième prise, il s'exprime en 1 minute et 21 secondes, un temps de parole inférieur aux 2 minutes réglementaires autorisées pour une explication de vote à propos d'un amendement ou d'un voeu.
Lancer les vidéos pour écouter l'expression libre de Pierre-Yves Bournazel, candidat aux primaires UMP pour Paris 2014.
Expression libre de Pierre-Yves Bournazel en 1 mn 7 sec.
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Expression libre de Pierre-Yves Bournazel en 1 mn 21 sec.
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En savoir +
Consulter les idées de Pierre-Yves Bournazel : bournazel2014.fr : Mon projet.
Voir ou revoir les débats publics :
- 1er débat public sur France 3 Ile-de-France et Public Sénat avec France Bleu 107.1 le 26 avril 2013.
- 2e débat public sur LCI et LCP avec Aujourd'hui Le Parisien et Valeurs Actuelles le 14 mai 2013.
- 3e débat public sur I-Télé le 27 mai 2013 : seuls des extraits de vidéos sont disponibles et non le débat en continu dans sa totalité.
Interviews et vidéos des autres candidats :
- Nathalie Kosciusko-Morizet, 40 ans.
- Chenva Tieu, 50 ans.
- Franck Margain, 51 ans.
- Jean-François Legaret, 60 ans.
Voir ou revoir les débats publics :
- 1er débat public sur France 3 Ile-de-France et Public Sénat avec France Bleu 107.1 le 26 avril 2013.
- 2e débat public sur LCI et LCP avec Aujourd'hui Le Parisien et Valeurs Actuelles le 14 mai 2013.
- 3e débat public sur I-Télé le 27 mai 2013 : seuls des extraits de vidéos sont disponibles et non le débat en continu dans sa totalité.
Interviews et vidéos des autres candidats :
- Nathalie Kosciusko-Morizet, 40 ans.
- Chenva Tieu, 50 ans.
- Franck Margain, 51 ans.
- Jean-François Legaret, 60 ans.
Informations pratiques
Pour savoir où et comment voter, les renseignements sont disponibles sur Internet : http://www.primaireparis.fr