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Le Comité International Olympique a autorisé la Ville de Paris à utiliser les anneaux olympiques sur la façade de la piscine Georges Vallerey dans le 20e arrondissement, à proximité de la Porte des Lilas sur l'avenue Gambetta.
Le CIO a confié ses anneaux, symbole de l'olympisme, bien avant la désignation de Paris en tant que Ville Hôte des Jeux Olympiques et Para-olympiques de 2024.
Cet équipement municipal a pour caractéristique de se trouver sur l'ancien lieu des Jeux Olympiques à Paris en 1924. Johnny Weissmuller, rappelle la Mairie de Paris, est l'un des athlètes les plus en vogue de cette époque à avoir nagé dans le bassin du stade nautique des Tourelles, son nom à l'époque, il y a bientôt 100 ans.
Plus grand bassin olympique à l'époque en France, ce stade nautique a accueilli les épreuves des disciplines olympiques de natation, de plongeon et de water-polo. Il a aussi coûté une fortune à la collectivité et fut d'un entretien coûteux. Rien que pour sa construction, il a monopolisé l'équivalent du « budget national total de l'éducation physique » de la France de l'entre-deux guerres * et, pour couronner le tout, il n'a pas été non plus exploité à la hauteur de ses capacités.
Depuis les Jeux Olympiques de 1924, le Stade Nautique des Tourelles était tombé dans l'oubli... jusqu'en 1989 où la piscine est rénovée, avant que la Ville de Paris ne songe à cet équipement pour les JO de 2024.
La piscine porte le nom d'un ancien champion olympique en natation, Georges Vallerey (1927-1954). Piscine olympique, elle peut accueillir entre 4 000 et 5 000 spectateurs et son toit s'ouvre. Après quelques travaux, elle accueillera les compétitions de waterpolo en août 2024.
Le CIO a confié ses anneaux, symbole de l'olympisme, bien avant la désignation de Paris en tant que Ville Hôte des Jeux Olympiques et Para-olympiques de 2024.
Cet équipement municipal a pour caractéristique de se trouver sur l'ancien lieu des Jeux Olympiques à Paris en 1924. Johnny Weissmuller, rappelle la Mairie de Paris, est l'un des athlètes les plus en vogue de cette époque à avoir nagé dans le bassin du stade nautique des Tourelles, son nom à l'époque, il y a bientôt 100 ans.
Plus grand bassin olympique à l'époque en France, ce stade nautique a accueilli les épreuves des disciplines olympiques de natation, de plongeon et de water-polo. Il a aussi coûté une fortune à la collectivité et fut d'un entretien coûteux. Rien que pour sa construction, il a monopolisé l'équivalent du « budget national total de l'éducation physique » de la France de l'entre-deux guerres * et, pour couronner le tout, il n'a pas été non plus exploité à la hauteur de ses capacités.
Depuis les Jeux Olympiques de 1924, le Stade Nautique des Tourelles était tombé dans l'oubli... jusqu'en 1989 où la piscine est rénovée, avant que la Ville de Paris ne songe à cet équipement pour les JO de 2024.
La piscine porte le nom d'un ancien champion olympique en natation, Georges Vallerey (1927-1954). Piscine olympique, elle peut accueillir entre 4 000 et 5 000 spectateurs et son toit s'ouvre. Après quelques travaux, elle accueillera les compétitions de waterpolo en août 2024.
* Les Paris des Jeux Olympiques 1924 (Paris, Atlantica, 2008), par Thierry Terret, spécialiste de l'Histoire du Sport et actuellement Recteur de l'Académie de Rennes.
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