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Montreuil (93), nuit du 1er janvier 2011, une bagarre éclate à la sortie d’une discothèque : 4 blessés légers par arme blanche, 1 plus grièvement par arme à feu ; à l’arrivée de la police, 6 individus tentent de prendre la fuite à véhicule, sans succès. Agés de 20 à 23 ans, la plupart fort défavorablement connus des services de police, ils sont placés en garde à vue à la sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis.
La demande du numéro de téléphone d’une jeune fille serait à l’origine de la rixe. Au premier abord, rien ne semble les impliquer, ils ne sont pas blessés, il n’y pas de trace de sang sur leurs vêtements, ils n’ont pas d’arme. Ils sont laissés libres…
Mais les investigations ne s’arrêtent pas là : la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) confirme qu’ils sont tous originaires d’une cité du 14e arrondissement de Paris ; la science rend également son verdict : des résidus de tirs ont été retrouvés sur chacun d’entre eux et l’ADN de l’un sur une barre en aluminium et des débris de verre.
Le 30 mars 2011, ils sont de nouveau placés en garde à vue, deux sont d’ailleurs extraits de maison d’arrêt où ils sont incarcérés pour des affaires distinctes.
Ils sont reconnus par l’ensemble des victimes. Malgré tout, ils persistent dans leurs dénégations.
Les deux détenus ont regagné leur cellule et les 4 autres ont été placés sous contrôle judiciaire.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.
La demande du numéro de téléphone d’une jeune fille serait à l’origine de la rixe. Au premier abord, rien ne semble les impliquer, ils ne sont pas blessés, il n’y pas de trace de sang sur leurs vêtements, ils n’ont pas d’arme. Ils sont laissés libres…
Mais les investigations ne s’arrêtent pas là : la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) confirme qu’ils sont tous originaires d’une cité du 14e arrondissement de Paris ; la science rend également son verdict : des résidus de tirs ont été retrouvés sur chacun d’entre eux et l’ADN de l’un sur une barre en aluminium et des débris de verre.
Le 30 mars 2011, ils sont de nouveau placés en garde à vue, deux sont d’ailleurs extraits de maison d’arrêt où ils sont incarcérés pour des affaires distinctes.
Ils sont reconnus par l’ensemble des victimes. Malgré tout, ils persistent dans leurs dénégations.
Les deux détenus ont regagné leur cellule et les 4 autres ont été placés sous contrôle judiciaire.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.