Le 9 mai 2011, vers 1h, les policiers de la brigade anti-criminalité parisienne (BAC 75 N) remarquent un homme en train de pousser un scooter de grosse cylindrée ; à leur vue, il prend la fuite abandonnant le deux roues.
Après une brève course poursuite et malgré l’opposition d’un témoin, le fuyard visiblement mis à mal par une consommation excessive de boissons alcoolisées est interpellé, puis conduit au service de l’accueil et de l’investigation de proximité (SAIP) du 19e arrondissement de Paris.
L’homme de 32 ans est placé en cellule de dégrisement.
A 3 h 40, une personne également très alcoolisée se présente au commissariat disant "vouloir se rendre" en s'accusant du vol d’une motocyclette commis le samedi 7 mai 2011 à Lognes (77) et du scooter saisi par la police près de la station Jaurès dans le 19e arrondissement. Malgré des difficultés évidentes pour s'exprimer, il explique avoir sollicité l'aide d'un complice pour voler, puis pousser le scooter de masse importante, en raison de sa faible corpulence. Il achève de convaincre l’enquêteur en indiquant qu’en fait les policiers ont interpellé son assistant alors que lui a pris la fuite.
Il est donc procédé à son interpellation et il rejoint son acolyte alcoolique en cellule de dégrisement.
Le propriétaire du scooter dépose plainte et confirme le stationnement du deux roues volé à proximité du métro Jaurès, situé en outre, non loin d'un débit de boissons.
Les fonctionnaires de la BAC 75 N reconnaissent, quant à eux, formellement l'homme venu se constituer prisonnier comme étant le témoin ayant tenté de s'opposer à l'interpellation du fuyard.
Une fois dégrisé, le voleur est entendu et prend conscience de sa maladresse. Il revient sur l'ensemble des déclarations faites au poste sous l'emprise de l'alcool, et déclare être venu déposer plainte en raison des violences policières dont il a fait l’objet lorsqu’il a tenté de s’opposer à l’interpellation de l’homme au scooter.
Malheureusement pour lui, son complice reconnaît le vol, en l’impliquant personnellement ; il essaye de minorer sa responsabilité en mettant en avant son état second dû à l'alcool.
Tout deux sont déférés au Parquet de Paris.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.
Après une brève course poursuite et malgré l’opposition d’un témoin, le fuyard visiblement mis à mal par une consommation excessive de boissons alcoolisées est interpellé, puis conduit au service de l’accueil et de l’investigation de proximité (SAIP) du 19e arrondissement de Paris.
L’homme de 32 ans est placé en cellule de dégrisement.
A 3 h 40, une personne également très alcoolisée se présente au commissariat disant "vouloir se rendre" en s'accusant du vol d’une motocyclette commis le samedi 7 mai 2011 à Lognes (77) et du scooter saisi par la police près de la station Jaurès dans le 19e arrondissement. Malgré des difficultés évidentes pour s'exprimer, il explique avoir sollicité l'aide d'un complice pour voler, puis pousser le scooter de masse importante, en raison de sa faible corpulence. Il achève de convaincre l’enquêteur en indiquant qu’en fait les policiers ont interpellé son assistant alors que lui a pris la fuite.
Il est donc procédé à son interpellation et il rejoint son acolyte alcoolique en cellule de dégrisement.
Le propriétaire du scooter dépose plainte et confirme le stationnement du deux roues volé à proximité du métro Jaurès, situé en outre, non loin d'un débit de boissons.
Les fonctionnaires de la BAC 75 N reconnaissent, quant à eux, formellement l'homme venu se constituer prisonnier comme étant le témoin ayant tenté de s'opposer à l'interpellation du fuyard.
Une fois dégrisé, le voleur est entendu et prend conscience de sa maladresse. Il revient sur l'ensemble des déclarations faites au poste sous l'emprise de l'alcool, et déclare être venu déposer plainte en raison des violences policières dont il a fait l’objet lorsqu’il a tenté de s’opposer à l’interpellation de l’homme au scooter.
Malheureusement pour lui, son complice reconnaît le vol, en l’impliquant personnellement ; il essaye de minorer sa responsabilité en mettant en avant son état second dû à l'alcool.
Tout deux sont déférés au Parquet de Paris.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.