Queen, le groupe anglais s'est senti trumpé © andreas130
Le guitariste du groupe s'oppose à ce que Donal Trump utilise "We are the Champions" pour sa campagne électorale. Il se sent trumpé. Mais la démarche s'analyse en une censure politico-musicale contre les idées véhiculées par Donald Trump. Elle cherche un fondement juridique dans la protection des droits d'auteur.
Queen rejoint ainsi une cohorte d'artistes anglophones qui s'immiscent dans la campagne américaine pour la désignation du prochain président des Etats-Unis. Ainsi les Rolling Stones, ou Neil Young, avaient déjà pris position auparavant.
Tout cela ne freine pas la diffusion de la petite musique néo-conservatrice de Donald Trump sur tout le territoire des Etats-Unis d'Amérique. Il aspire à voler vers la victoire. Et il pourra toujours utiliser une musique aujourd'hui libre de droit, joyeuse, entraînante et rajeunissante : "La Chevauchée des Walkyries".
Queen rejoint ainsi une cohorte d'artistes anglophones qui s'immiscent dans la campagne américaine pour la désignation du prochain président des Etats-Unis. Ainsi les Rolling Stones, ou Neil Young, avaient déjà pris position auparavant.
Tout cela ne freine pas la diffusion de la petite musique néo-conservatrice de Donald Trump sur tout le territoire des Etats-Unis d'Amérique. Il aspire à voler vers la victoire. Et il pourra toujours utiliser une musique aujourd'hui libre de droit, joyeuse, entraînante et rajeunissante : "La Chevauchée des Walkyries".