Dans la nuit du 30 novembre 2011, les policiers de la brigade anti-criminalité nuit parisienne (BAC 75 N) interpellent un homme qui force le système d’ouverture et tente de briser la porte vitrée d’une boulangerie dans le 8e arrondissement de Paris.
Impliqué dans 30 procédures, l’homme sans domicile fixe âgé de 33 ans, est placé en garde à vue au service de l’accueil et de l’investigation de proximité local (SAIP) ; après un examen de comportement, il est admis à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police (IPPP).
Chargé de l’enquête, le service d’investigation transversale (SIT) effectue un rapprochement, via le logiciel d’uniformisation des procédures d’identifications (LUPIN), avec cinq autres cambriolages et tentatives commis dans le 8e arrondissement au préjudice de sociétés durant l’été 2010 ; des empreintes papillaires de l’auteur y ont été relevées par l’antenne locale de police technique (ALPT).
Le 1er décembre 2011, à 14h25, il est interpellé dès sa sortie de l’IPPP et placé en garde à vue dans les locaux du SIT.
Entendu par les enquêteurs, l’homme nie les faits prétextant des problèmes d’alcool et de schizophrénie.
Il a été déféré puis placé en détention provisoire dans le cadre d’un renvoi d’audience à une date ultérieure.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.
Chargé de l’enquête, le service d’investigation transversale (SIT) effectue un rapprochement, via le logiciel d’uniformisation des procédures d’identifications (LUPIN), avec cinq autres cambriolages et tentatives commis dans le 8e arrondissement au préjudice de sociétés durant l’été 2010 ; des empreintes papillaires de l’auteur y ont été relevées par l’antenne locale de police technique (ALPT).
Le 1er décembre 2011, à 14h25, il est interpellé dès sa sortie de l’IPPP et placé en garde à vue dans les locaux du SIT.
Entendu par les enquêteurs, l’homme nie les faits prétextant des problèmes d’alcool et de schizophrénie.
Il a été déféré puis placé en détention provisoire dans le cadre d’un renvoi d’audience à une date ultérieure.
Source : Service de la communication de la Préfecture de police de Paris.
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