La réunion publique tenue à l'initiative du conseiller de Paris Alain Lhostis (PC) a réunit environ 80 personnes le 1er octobre 2012 de 18h à 20h au Point Ephémère sur le quai Valmy dans le 10e arrondissement.
La majorité des personnes présentes étaient acquises à "la nécessaire urgence de la réduction des risques pour les usagers de drogues et l’expérimentation d’une salle de consommation à moindres risques" par les personnes accoutumées aux drogues.
Parmi les intervenants : Marie Debrus (Vice-Présidente de l’AFR), Pierre Chappard (Coordinateur du Réseau Français de Réduction des Risques, ancien co-président d’Act Up) et Emmanuel Hirsch (Professeur d’éthique médicale).
Au milieu du public, un contradicteur : un riverain qu'une inquiétude légitime a fait se lever et prendre la parole pour faire part de ses préoccupations sur les nuisances et la sécurité aux abords d'un futur lieu de consommation.
Tout le monde semble d'accord donc sauf que la date de l'ouverture de la salle expérimentale et son adresse demeurent pour l'instant indéterminés.
Alain Lhostis a rappelé "les polémiques parfois violentes autour de la création de plusieurs lieux d’accueil pour les usagers de drogues à Paris : Espoir Goutte d’Or (EGO), 110 les Halles ou dans le 10e rue Beaurepaire... Aujourd’hui ces lieux sont fondus dans le paysage urbain et permettent à des usagers de drogues de retrouver leur dignité, leur citoyenneté, et dans certains cas, une prise en charge thérapeutique. En même temps ils ont toujours amélioré la sécurité pour les riverains".
Le conseiller de Paris du 10e arrondissement a conclu en déclarant qu’il déposera "un nouveau vœu à la séance du Conseil de Paris des 15 et 16 octobre pour que la Ville engage la concertation avec la population et que soient crées les conditions matérielles pour que, dès le feu vert de la Ministre de la Santé, l’expérimentation d’une telle salle dans le 10e puisse se faire".
Un nouveau débat devrait être organisé avec la mairie du 10e arrondissement et les habitants. Rémi Féraud (PS), maire du 10e arrondissement, qui est également le président de la fédération PS de Paris, est favorable à cette mesure.
Parmi les intervenants : Marie Debrus (Vice-Présidente de l’AFR), Pierre Chappard (Coordinateur du Réseau Français de Réduction des Risques, ancien co-président d’Act Up) et Emmanuel Hirsch (Professeur d’éthique médicale).
Au milieu du public, un contradicteur : un riverain qu'une inquiétude légitime a fait se lever et prendre la parole pour faire part de ses préoccupations sur les nuisances et la sécurité aux abords d'un futur lieu de consommation.
Tout le monde semble d'accord donc sauf que la date de l'ouverture de la salle expérimentale et son adresse demeurent pour l'instant indéterminés.
Alain Lhostis a rappelé "les polémiques parfois violentes autour de la création de plusieurs lieux d’accueil pour les usagers de drogues à Paris : Espoir Goutte d’Or (EGO), 110 les Halles ou dans le 10e rue Beaurepaire... Aujourd’hui ces lieux sont fondus dans le paysage urbain et permettent à des usagers de drogues de retrouver leur dignité, leur citoyenneté, et dans certains cas, une prise en charge thérapeutique. En même temps ils ont toujours amélioré la sécurité pour les riverains".
Le conseiller de Paris du 10e arrondissement a conclu en déclarant qu’il déposera "un nouveau vœu à la séance du Conseil de Paris des 15 et 16 octobre pour que la Ville engage la concertation avec la population et que soient crées les conditions matérielles pour que, dès le feu vert de la Ministre de la Santé, l’expérimentation d’une telle salle dans le 10e puisse se faire".
Un nouveau débat devrait être organisé avec la mairie du 10e arrondissement et les habitants. Rémi Féraud (PS), maire du 10e arrondissement, qui est également le président de la fédération PS de Paris, est favorable à cette mesure.
(c) DR Inside.