L’enjeu est de taille pour l’UMP. La capitale est en effet aux mains des socialistes depuis 2001 et l’élection de Bertrand Delanoë. Aujourd’hui, l’opposition semble en mesure de remporter la ville de Paris, tant la popularité du Président de la République François Hollande semble abyssale. L’hypothèse d’un vote sanction n’est donc pas à écarter pour les socialistes. Mais l’UMP est en passe de renouer avec ses traditionnelles querelles internes, tout particulièrement depuis que Frédérique Beigbeder a appelé à former des listes de droite dissidentes dans la capitale. En bref, la guerre des egos semblent vouer à perdurer au sein de l’UMP.
Pour une frange de l’UMP, la candidate Nathalie Kosciusko-Morizet adopte une ligne trop centriste, notamment depuis l’alliance avec le Modem de Marielle de Sarnez et l’UDI de Christian Saint-Etienne. De son côté, la secrétaire générale de l’UMP Valérie Pécresse fustige une attitude de division et appelle à l’unité. "Nos électeurs n’en peuvent plus, c’est un devoir collectif que nous soyons unis. Si nous n’y arrivons pas, nous ne pourrons pas renouer avec la victoire" affirme-t-elle dans une interview accordée à TF1. Rappelons en outre qu’en 2001, la droite avait perdu la capitale du fait de la division entre deux listes RPR concurrentes, l’une menée par Jean Tiberi, l’autre conduite par Philippe Seguin.
Mais l’ancienne ministre du budget se veut optimiste. "On est sur le chemin de la réconciliation, on y travaille" prétend-elle en évoquant de récentes réunions entre François Fillon et Jean-François Copé. En effet, à l’approche des élections municipales en 2014 et dans l’optique des élections régionales de 2015, l’heure devrait être à l’union pour l’opposition. "Il faut qu’on prenne tous ceux qui peuvent nous faire gagner, les meilleurs candidats, qu’ils viennent d’une sensibilité ou d’une autre" conclut l’actuelle députée des Yvelines.
Mais l’ancienne ministre du budget se veut optimiste. "On est sur le chemin de la réconciliation, on y travaille" prétend-elle en évoquant de récentes réunions entre François Fillon et Jean-François Copé. En effet, à l’approche des élections municipales en 2014 et dans l’optique des élections régionales de 2015, l’heure devrait être à l’union pour l’opposition. "Il faut qu’on prenne tous ceux qui peuvent nous faire gagner, les meilleurs candidats, qu’ils viennent d’une sensibilité ou d’une autre" conclut l’actuelle députée des Yvelines.
Note de la rédaction de Paris Tribune à propos du texte participatif :
Il ne s'agit pas de "Frédérique" Beigbeder mais de Charles Beigbeder. Frédéric Beigbeder, écrivain, critique littéraire, créateur du prix de Flore, du prix Sade et de la revue Bordel, est le frère de Charles Beigbeder, homme d'affaires, candidat UMP aux élections législatives dans la 8e circonscription de Paris (une partie du 12e et du 20e arrondissement) en 2012. Au 1er tour il fait un score de 26.4 % et 38.5 % au second tour. Il est déplacé dans le 8e arrondissement pour les municipales, fait campagne, avant d'être retiré de la liste du 8e le 16 décembre 2013.
Par ailleurs, la rédaction de Paris Tribune ne fournit pas de visuel pour les textes participatifs, sauf exception.
A la question posée
"A destination de l'équipe de Paristribune : pourriez-vous mettre un visuel en rapport avec l'article, en raison des droits d'auteur, il m'est difficile de trouver une image réellement libre de droit ? Bien cordialement",
nous sommes dans l'obligation de répondre par la négative.
Il ne s'agit pas de "Frédérique" Beigbeder mais de Charles Beigbeder. Frédéric Beigbeder, écrivain, critique littéraire, créateur du prix de Flore, du prix Sade et de la revue Bordel, est le frère de Charles Beigbeder, homme d'affaires, candidat UMP aux élections législatives dans la 8e circonscription de Paris (une partie du 12e et du 20e arrondissement) en 2012. Au 1er tour il fait un score de 26.4 % et 38.5 % au second tour. Il est déplacé dans le 8e arrondissement pour les municipales, fait campagne, avant d'être retiré de la liste du 8e le 16 décembre 2013.
Par ailleurs, la rédaction de Paris Tribune ne fournit pas de visuel pour les textes participatifs, sauf exception.
A la question posée
"A destination de l'équipe de Paristribune : pourriez-vous mettre un visuel en rapport avec l'article, en raison des droits d'auteur, il m'est difficile de trouver une image réellement libre de droit ? Bien cordialement",
nous sommes dans l'obligation de répondre par la négative.