Crédits photo : jean-louis zimmermann (libre de droit).
Comme l'explique à 20 minutes Joseph Petit, fondateur de cette petite entreprise, « cela fonctionne comme pour un distributeur de sodas ou de sucreries. Il suffit de sélectionner le numéro de casier choisi sur la borne, payer, et le casier s'ouvre ». La première boutique a vu le jour à Levallois-Perret en juillet 2013 et une seconde un an plus tard rue des Dames. Les deux boutiques comptent 240 casiers que Joseph Petit et ses deux salariés ravitaillent chaque jour en fruits et légumes frais : « Nous travaillons avec cinq petits producteurs, tous dans un rayon de 100 km de Paris ».
Au bout du champ s'est donc associé pour cela à plusieurs producteurs locaux comme Angel Moioli, l'un des derniers champignonnistes de Paris, mais aussi un producteur de fruits rouges, un autre spécialisé dans les œufs et les lentilles, ainsi qu'un maraîcher producteurs de pommes, de poires et de cerises. Suivant le contenu, le casier peut varier d’1,20 euros, pour une salade par exemple, à 10-12 euros pour un panier de légumes.
Un concept novateur dans la capitale qui rappelle les actions déjà entreprises par « La Ruche qui dit oui » pour promouvoir les circuits courts en faisant venir des produits de la ferme à des consommateurs citadins. Au bout du Champ essaie ainsi de réduire encore un peu plus les contraintes à acheter local pour en faire un véritable mode de consommation.
Il n’est plus nécessaire de s’inscrire au préalable sur Internet pour acheter à Au bout du champ, ni de s’engager à prendre un panier toutes les semaines ou à venir chercher à une date précise. Les distributeurs sont accessibles tous les jours de 8h à 22h et fonctionne plutôt bien jusqu'à présent. Au bout du Champ projette d’ouvrir quatre nouveaux points de vente. Deux au printemps et deux à la fin de l'été, entre Levallois-Perret et le 17e arrondissement.
Au bout du champ s'est donc associé pour cela à plusieurs producteurs locaux comme Angel Moioli, l'un des derniers champignonnistes de Paris, mais aussi un producteur de fruits rouges, un autre spécialisé dans les œufs et les lentilles, ainsi qu'un maraîcher producteurs de pommes, de poires et de cerises. Suivant le contenu, le casier peut varier d’1,20 euros, pour une salade par exemple, à 10-12 euros pour un panier de légumes.
Un concept novateur dans la capitale qui rappelle les actions déjà entreprises par « La Ruche qui dit oui » pour promouvoir les circuits courts en faisant venir des produits de la ferme à des consommateurs citadins. Au bout du Champ essaie ainsi de réduire encore un peu plus les contraintes à acheter local pour en faire un véritable mode de consommation.
Il n’est plus nécessaire de s’inscrire au préalable sur Internet pour acheter à Au bout du champ, ni de s’engager à prendre un panier toutes les semaines ou à venir chercher à une date précise. Les distributeurs sont accessibles tous les jours de 8h à 22h et fonctionne plutôt bien jusqu'à présent. Au bout du Champ projette d’ouvrir quatre nouveaux points de vente. Deux au printemps et deux à la fin de l'été, entre Levallois-Perret et le 17e arrondissement.
Infos pratiques
Au bout du champ
20 rue des Dames 75017 Paris
Horaires d'ouverture : du lundi au dimanche de 8h à 22h.
20 rue des Dames 75017 Paris
Horaires d'ouverture : du lundi au dimanche de 8h à 22h.